Par contre l'auteur oublie de parler de la misère quotidienne générale et surtout sociale, sexuelle et humaine
Se casser le dos sur son champ de pommes de terre chaque année pour ensuite survivre l'hiver en les mangeant une par une, seul, dans sa cuisine-chambre-salon-salle de bain (seule pièce de vie chauffée par un poêle)
Le bruit des épluchures de patates qui tombent sur la table en bois
*poc poc poc* dans le silence de la pièce mal éclairée
d'année en année jusqu'à ce que la mort te sépare de cette activité