[Metaphysique] Sommes nous immortels ?

Si on considère la conscience comme un état purement relié à la matière (cerveau + connexions neuronales précises dans un "état" précis), alors puisque tout ceci est simplement composé d'atomes, eux mêmes composés de plus petites particules (neutrons, protons, electrons) et que tout ceci trait uniquement à la matière et à l'espace alors en considérant les choses suivantes :

- L'univers aura une fin, mais la matière qui le compose non, rien ne se perd d'après Descartes

- La fin entropique de l'univers se résumera en une soupe gigantesque (et froide) de particules subatomiques (à même de s'assembler pour composer la matière telle qu'on la connait)

- Si je laisse un singe taper sur une machine à écrire pendant une durée infinie, alors il finira (avec une probabilité de 100%) par écrire des oeuvres ayant du sens voir même l'entièreté de ce que l'humanité à écrit et écrivera et même ce qu'elle aurait écrit si les choses se seraient déroulé autrement etc...

- La température de l'univers n'atteindra le 0 absolu laissant les particules en mouvement

Partant de ces principes, plausibles d'après nos connaissances actuelles (mais pas démontrés notamment à cause de l'expansion inexpliquée de l'univers), alors il existe une probabilité de 1 pour que, même après votre mort (bien après), bien après la "mort thermique" de l'univers, les particules qui le composent se mettent à reformer des structures complexes, et entre autres, la structure de votre cerveau à un cet instant t avec les états de toutes les particules qui le composent au même stade qu'à ce même instant t, faisant possiblement de ce moment que vous vivez, un moment absolument pas unique.

Qu'en pensez vous ? En ce qui me concerne je crois en l'âme et en une conscience qui ne dépend donc pas de la matière mais ce n'est pas là le sujet, ici nous débattons avec des choses empiriques.

Quand tu fais une élévation spirituelle tu remarque que chaque choses est connectées et pure énergie.

Si tu suis bien ces deux informations, oui en soit ton postulat est le bon.
Ça c’est pas du domaine empirique, mais les grands esprits avaient le même ressenti, le dogme qui diffère seulement