Ça se passerait comment ? Personnellement en extérieur, pas envie de mourir dans une pièce aseptisée avec un néon tremblotant, je veux le ciel comme toit et l'air sur ma peau comme ultime sensation Mourir sans la main d'un autre, ce n'est pas un autre humain qui m'a ôté la vie Et surtout mourir sans lutter pour vivre, pas d'artifices pour me tenir en vie, c'est mon heure et je l'accepte, je suis prêt pour moment
Dans mon lit, après plusieurs jours d'agonie d'une tuberculose. Entouré de mes amis, de mes enfants, de ma femme, avec quelques mots pour chacuns. Une mort d'artiste du XIXeme siècle.