Quelles conséquences de la course à la rentabilité et des conditions de travail des salariées sur les enfants ? « Il y a moins d’attention et des « douces violences », c’est quand il y a une forme de désintérêt, d’indifférence par rapport à l’enfant », décrit Bérangère Lepetit. Des « douces violences » qui sont « l’antichambre de la maltraitance », précise Christine Schuhl, éducatrice de jeunes enfants et universitaire citée dans le livre. « C’est traiter les enfants comme des « petits gigots », nous disait une psychologue. » Et parfois, la maltraitance survient : « punitions », « humiliations », « comme cette mère qui nous a raconté qu’elle était dans une crèche où on enfermait les enfants dans le dortoir à l’étage quand ils pleuraient ».
Le 07 septembre 2023 à 08:46:36 Aierahsa a écrit : Prendre une minorité et en faire une généralité. Un classique sur ce forum
Dieu seul sait les trucs cachés qui ne sont pas encore sortis au grand jour. J'ai pas envie de jouer à la roulette russe pour confier mes enfants à des gens blasés qui font leur métier comme à l'usine
Le 07 septembre 2023 à 08:46:30 novaa3854jm a écrit : elles n'ont qu'à s'occuper elles-mêmes de leurs enfants plutôt que de les confier à autrui
Tous les foyers ne peuvent pas tourner avec le petits SMIC de papa, c'est la crise Mais d'accord avec toi dans le fond, le modèle de la maman au foyer reste le plus adéquat