Topic de
Ane_Ibal_Barca
:
J'ai couché avec une paraplégique.
Supprimé- 1
Ca faisait presque un an que j'avais pas baisé
C'était l'été sur la plage. J'avais repéré cette fille aux cheveux noirs bouclés et très maigre. Elle n'allait pas se baigner avec ses amis et semblait très coincée, elle ne bougeait jamais de sa serviette.
J'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai proposé de jouer avec des raquettes de plage. C'est là que j'ai appris qu'elle était paraplégique (elle peut bouger légèrement ses jambes mais pas se soutenir et encore moins marcher). Ca aurait pu être un gros malaise mais en fait elle était très contente qu'un mec l'aborde donc elle a poursuivi la conversation comme si de rien n'était. On a sympathisé et parlé pendant plus d'une heure même une fois que ses amis étaient revenus. On a échangé nos nums puis on s'est revus deux fois pendant la semaine de vacances, je l'ai emmenée au restaurant et à nouveau à la plage. On a passé la journée ensemble.
Par chance nous sommes tous les deux parisiens, donc cette semaine de retour de vacances je lui ai proposé de se voir sur Paris, nous sommes allés au cinéma (c'était galère avec son fauteuil ) puis au restaurant. Et après je lui ai proposé de prendre un "dernier verre chez moi" sans la prévenir qu'il y avait 5 étages sans ascenseurs
Je lui ai servi un verre de coca pour la forme mais elle n'avait même pas fini son verre que j'étais déjà entrain de l'embrasser sur le cou. Elle a fait mine de résister un bon quart d'heure puis s'est brusquement tue lorsque je l'ai soulevée de son fauteuil pour la jeter comme une masse inerte sur mon lit. Sans plus de ménagement je l'ai retournée sur le ventre et j'ai commencé à déboutonner sa robe bleue ciel qui devait bien coûter dans les 600 balles (elle a masse de fric, elle habite chez ses parents dans le 8ème). La panique a commencé à la gagner, elle me posait plein de questions à la suite, toutes plus bandante les une que les autres : "tu veux qu'on fasse ça maintenant... bon d'accord mais tu m'expliqueras quoi faire alors" "tu as déjà fait ça avec une fille en fauteuil ?" "Je n'ai jamais fait ça avant aujourd'hui, s'il te plaît ne te moques pas"
Sa robe bleue enfin avait capitulé et ne couvrait plus aucune parcelle de son corps qui se dévoilait dans toute sa nudité, à l'exception d'une petite culotte noire à dentelle. Bien qu'elle rentrait de vacances, sa peau était blanche comme l'albâtre; elle avait la chair de poule, preuve que sa terreur naïve n'était pas feinte. D'ailleurs comment une créature si fragile aurait pu éprouver autre chose que de la peur dans un instant si décisif ? L'absence totale d'exercice imposée par sa paralysie avait prodigieusement produit un corps à la fois gras et maigre, sans masse et tout en rondeur, totalement dépourvu de force, absolument à ma merci. Sa culotte noire contenait avec peine des fesses molles et immobiles. J'étais resté interdit devant le spectacle triomphant de son corps infirme. Elle avait les yeux fixés sur le mur et n'osait faire un mouvement, l'air nocturne faisait frissonner sa chair nue qui pour la première fois se montrait si vulnérable à un homme.
Sa voix stressée brisa ce moment le silence :
<< Alors... tu... tu me trouves comment ? >>
Ses mots innocents me fouettèrent le sang et pour toute réponse je me jetais brusquement sur elle en agrippant son cul de toutes mes forces pendant que ma bouche écrasait passionnément ses lèvres roses. Elle glapit de surprise et de plaisir et je sentis son corps fondre sous le mien, elle était vaincue. Après ce rapide baiser animal je la retournais violemment sur le dos, nos visages se faisaient face, à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses longs cheveux noirs tombaient en fines bouclettes sur son visage charmant, mais se furent surtout ses deux grands yeux verts qui imprimèrent leur clarté dans mon esprit. Il s'y mêlait subtilement de l'excitation et de la peur, de l'envie et de la crainte, une envie irrépressible de se faire prendre masquée sous un voile de pudeur factice.
Je ne me maitrisais plus, j'arrachais violemment sa culotte de soie, j'écartais ses cuisses inertes et les bloquaient sous mon ventre pour les fixer solidement et baissait à peine mon pantalon en dessous des fesses. Je pénétrais presque du même coup son sexe humide, mer Rouge pour la première fois ouverte par un impérieux commandement.
J'étais vêtu et elle était nue, j'avais le dessus et elle le dessous, j'étais fort et elle était faible, j'étais valide et elle était infirme, j'étais homme et elle était femme. Je martelais frénétiquement son sexe et tout son corps semblait ressentir chaque coup une douleur orgiaque. J'embrassais à chaque offensive son front fiévreux tandis que mes larges mains empoignaient ses seins ronds dont le gras chavirait au rythme de nos ébats.
Elle passait ses doigts fins dans la jongle de mes cheveux blonds comme on agrippe la crinière d'un cheval au galop, ses yeux mis clos étaient fixés au plafond. Entièrement soumise à son vainqueur, son corps figé subissait tout l'empire de ma loi et sa bouche entrouverte laissait échapper des soupirs d'extases interrompus de questions naïves :
<<Ca va comme ça ? Ca te plait ? Dis-moi comment je peux t'aider>>
Son innocence exaspérante redoublait mon ardeur, je lui répondais sans poésie d'une voix déformée par le plaisir et par une fougue virile :
<< Oh oui putain, oh oui t'es tellement bonne. Laisse moi juste te baiser et ferme là>>
Et joignant le geste à la parole j'imprimais mes deux mains sur sa gorge, libérant du même coup ses deux seins qui se ballotèrent dès lors frénétiquement, comme s'ils cherchaient l'air que leur maitresse étouffée ne trouvait plus. Après quelques dizaines de secondes, j'éjaculais dans un grognement de bête tandis que son visage terrifié n'émettait plus un son. Ma semence virile se répandit avec vigueur dans sa matrice suppliciée, un frisson parcouru son corps; elle était devenue une femme.
Mes muscles se relâchèrent d'un coup et je m'affalais haletant et suant comme une bête sur ma proie. Je ne sentais plus que ses baisers endiablés sur mon torse. Elle répétait sans fin :
<< Oh merci, merci ! Je suis à toi maintenant, je suis à toi ! Merci, merci !>>
A son grand désarroi je m'endormis juste après cette épuisante bataille. Elle était trop faible pour regagner seule son fauteuil et n'eu d'autre choix que de se blottir fébrilement dans mes bras et de méditer sur cette expérience nouvelle à l'ombre de mes ronflements.
C'était l'été sur la plage. J'avais repéré cette fille aux cheveux noirs bouclés et très maigre. Elle n'allait pas se baigner avec ses amis et semblait très coincée, elle ne bougeait jamais de sa serviette.
J'ai pris mon courage à deux mains et je lui ai proposé de jouer avec des raquettes de plage. C'est là que j'ai appris qu'elle était paraplégique (elle peut bouger légèrement ses jambes mais pas se soutenir et encore moins marcher). Ca aurait pu être un gros malaise mais en fait elle était très contente qu'un mec l'aborde donc elle a poursuivi la conversation comme si de rien n'était. On a sympathisé et parlé pendant plus d'une heure même une fois que ses amis étaient revenus. On a échangé nos nums puis on s'est revus deux fois pendant la semaine de vacances, je l'ai emmenée au restaurant et à nouveau à la plage. On a passé la journée ensemble.
Par chance nous sommes tous les deux parisiens, donc cette semaine de retour de vacances je lui ai proposé de se voir sur Paris, nous sommes allés au cinéma (c'était galère avec son fauteuil ) puis au restaurant. Et après je lui ai proposé de prendre un "dernier verre chez moi" sans la prévenir qu'il y avait 5 étages sans ascenseurs
Je lui ai servi un verre de coca pour la forme mais elle n'avait même pas fini son verre que j'étais déjà entrain de l'embrasser sur le cou. Elle a fait mine de résister un bon quart d'heure puis s'est brusquement tue lorsque je l'ai soulevée de son fauteuil pour la jeter comme une masse inerte sur mon lit. Sans plus de ménagement je l'ai retournée sur le ventre et j'ai commencé à déboutonner sa robe bleue ciel qui devait bien coûter dans les 600 balles (elle a masse de fric, elle habite chez ses parents dans le 8ème). La panique a commencé à la gagner, elle me posait plein de questions à la suite, toutes plus bandante les une que les autres : "tu veux qu'on fasse ça maintenant... bon d'accord mais tu m'expliqueras quoi faire alors" "tu as déjà fait ça avec une fille en fauteuil ?" "Je n'ai jamais fait ça avant aujourd'hui, s'il te plaît ne te moques pas"
Sa robe bleue enfin avait capitulé et ne couvrait plus aucune parcelle de son corps qui se dévoilait dans toute sa nudité, à l'exception d'une petite culotte noire à dentelle. Bien qu'elle rentrait de vacances, sa peau était blanche comme l'albâtre; elle avait la chair de poule, preuve que sa terreur naïve n'était pas feinte. D'ailleurs comment une créature si fragile aurait pu éprouver autre chose que de la peur dans un instant si décisif ? L'absence totale d'exercice imposée par sa paralysie avait prodigieusement produit un corps à la fois gras et maigre, sans masse et tout en rondeur, totalement dépourvu de force, absolument à ma merci. Sa culotte noire contenait avec peine des fesses molles et immobiles. J'étais resté interdit devant le spectacle triomphant de son corps infirme. Elle avait les yeux fixés sur le mur et n'osait faire un mouvement, l'air nocturne faisait frissonner sa chair nue qui pour la première fois se montrait si vulnérable à un homme.
Sa voix stressée brisa ce moment le silence :
<< Alors... tu... tu me trouves comment ? >>
Ses mots innocents me fouettèrent le sang et pour toute réponse je me jetais brusquement sur elle en agrippant son cul de toutes mes forces pendant que ma bouche écrasait passionnément ses lèvres roses. Elle glapit de surprise et de plaisir et je sentis son corps fondre sous le mien, elle était vaincue. Après ce rapide baiser animal je la retournais violemment sur le dos, nos visages se faisaient face, à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses longs cheveux noirs tombaient en fines bouclettes sur son visage charmant, mais se furent surtout ses deux grands yeux verts qui imprimèrent leur clarté dans mon esprit. Il s'y mêlait subtilement de l'excitation et de la peur, de l'envie et de la crainte, une envie irrépressible de se faire prendre masquée sous un voile de pudeur factice.
Je ne me maitrisais plus, j'arrachais violemment sa culotte de soie, j'écartais ses cuisses inertes et les bloquaient sous mon ventre pour les fixer solidement et baissait à peine mon pantalon en dessous des fesses. Je pénétrais presque du même coup son sexe humide, mer Rouge pour la première fois ouverte par un impérieux commandement.
J'étais vêtu et elle était nue, j'avais le dessus et elle le dessous, j'étais fort et elle était faible, j'étais valide et elle était infirme, j'étais homme et elle était femme. Je martelais frénétiquement son sexe et tout son corps semblait ressentir chaque coup une douleur orgiaque. J'embrassais à chaque offensive son front fiévreux tandis que mes larges mains empoignaient ses seins ronds dont le gras chavirait au rythme de nos ébats.
Elle passait ses doigts fins dans la jongle de mes cheveux blonds comme on agrippe la crinière d'un cheval au galop, ses yeux mis clos étaient fixés au plafond. Entièrement soumise à son vainqueur, son corps figé subissait tout l'empire de ma loi et sa bouche entrouverte laissait échapper des soupirs d'extases interrompus de questions naïves :
<<Ca va comme ça ? Ca te plait ? Dis-moi comment je peux t'aider>>
Son innocence exaspérante redoublait mon ardeur, je lui répondais sans poésie d'une voix déformée par le plaisir et par une fougue virile :
<< Oh oui putain, oh oui t'es tellement bonne. Laisse moi juste te baiser et ferme là>>
Et joignant le geste à la parole j'imprimais mes deux mains sur sa gorge, libérant du même coup ses deux seins qui se ballotèrent dès lors frénétiquement, comme s'ils cherchaient l'air que leur maitresse étouffée ne trouvait plus. Après quelques dizaines de secondes, j'éjaculais dans un grognement de bête tandis que son visage terrifié n'émettait plus un son. Ma semence virile se répandit avec vigueur dans sa matrice suppliciée, un frisson parcouru son corps; elle était devenue une femme.
Mes muscles se relâchèrent d'un coup et je m'affalais haletant et suant comme une bête sur ma proie. Je ne sentais plus que ses baisers endiablés sur mon torse. Elle répétait sans fin :
<< Oh merci, merci ! Je suis à toi maintenant, je suis à toi ! Merci, merci !>>
A son grand désarroi je m'endormis juste après cette épuisante bataille. Elle était trop faible pour regagner seule son fauteuil et n'eu d'autre choix que de se blottir fébrilement dans mes bras et de méditer sur cette expérience nouvelle à l'ombre de mes ronflements.
elle est bonne ?
ddb pour le pavé
ddb pour le pavé
Le 26 août 2023 à 01:41:18 :
elle est bonne ?
ddb pour le pavé
Lis le pavé et tu le sauras
J’ai bandé
Soumets ta fanfiction inclusive sur Mademoiselle.fr et nous saoûle pas frère
Le 26 août 2023 à 01:44:19 :
J’ai bandé
Cimer chef. A quelle partie c'est venu ?
- 1
Données du topic
- Auteur
- Ane_Ibal_Barca
- Date de création
- 26 août 2023 à 01:40:53
- Date de suppression
- 26 août 2023 à 01:55:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
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- Nb. messages JVC
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