🔴 [ DICAPRIO ] Un colis plein d'ESCREMENTS deversés sur un employé de la POSTE

https://twitter.com/CerfiaFR/status/1691771898013614446?t=nnZKDdKRFRl8nqXKjX5ixw&s=19

Putain les anciennes colonies anglaises sont vraiment des QI limités.

Ils ont conquis de magnifiques territoires mais les peuplent désormais de teubés.

Toutes ces histoires à la con n'arrivent qu'aux USA, Canada ou Australie.

Le 16 août 2023 à 22:37:48 :
Imaginez le mec payer minimum 30€ par colis

L'odeur de merde au moment de poster le colis on en talkent ?

Le 16 août 2023 à 23:34:44 :

Le 16 août 2023 à 22:37:48 :
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L'odeur de merde au moment de poster le colis on en talkent ?

Ca peut pas être pire que l'odeur dans le sous-marin qui a fait scrouik

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Ca peut pas être pire que l'odeur dans le sous-marin qui a fait scrouik

Au départ, l'odeur à bord du sous-marin "La Canette" était celle de l'aventure - une combinaison de l'acier fraîchement poli, des huiles mécaniques et de l'air recyclé, mélangé à l'arôme d'anticipation. Les premières heures de la plongée ont laissé dans l'air une trace de nervosité et d'excitation, le tout saupoudré d'un soupçon de la salinité océanique qu'ils venaient de quitter.

A mesure que les jours passaient, l'odeur de l'aventure a lentement commencé à s'effacer. La première à apparaître a été celle des hommes - une odeur humaine, faite de sueur et de souffle, accentuée par l'effort et la tension. Le mélange a commencé à s'intensifier, à devenir plus âpre et plus âcre.

Puis est arrivé l'odeur de la boîte - l'unique toilette à bord. C'était un changement indéniable, une transformation qui a réorienté l'atmosphère de "La Canette". Le mélange des déchets organiques dans un espace confiné a commencé à saturer l'air, devenant de plus en plus piquant et amer.

Après quelques jours, cette odeur était devenue une entité, une créature vivante et puissante qui dominait l'habitacle, attaquant les narines de chaque survivant. Chaque inspiration devenait une lutte contre cet ennemi invisible, mais tellement tangible.

L'odeur s'est intensifiée à mesure que leur nombre diminuait. La perte de chaque camarade semblait rendre l'odeur plus présente, plus lourde. L'air était chargé d'un mélange de sueur, de peur et de chagrin, un cocktail d'arômes qui rendait chaque inspiration plus douloureuse que la précédente.

Finalement, lorsque le dernier survivant restait, l'odeur avait atteint son apogée. Elle avait envahi tous les recoins de l'habitacle, imprégné chaque surface. Elle s'était mêlée à l'odeur de la solitude et de la désolation, créant une senteur presque insupportable. La puanteur des déchets, la sueur, la peur, le chagrin et la solitude étaient tous combinés en une seule odeur omniprésente - un rappel constant et poignardant de l'épreuve qu'ils avaient tous traversée. Dans ce moment d'isolation, l'odeur était devenue la seule compagnie du dernier survivant, un témoignage muet de l'histoire vécue à bord de "La Canette".

Le 16 août 2023 à 23:37:32 :

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A mesure que les jours passaient, l'odeur de l'aventure a lentement commencé à s'effacer. La première à apparaître a été celle des hommes - une odeur humaine, faite de sueur et de souffle, accentuée par l'effort et la tension. Le mélange a commencé à s'intensifier, à devenir plus âpre et plus âcre.

Puis est arrivé l'odeur de la boîte - l'unique toilette à bord. C'était un changement indéniable, une transformation qui a réorienté l'atmosphère de "La Canette". Le mélange des déchets organiques dans un espace confiné a commencé à saturer l'air, devenant de plus en plus piquant et amer.

Après quelques jours, cette odeur était devenue une entité, une créature vivante et puissante qui dominait l'habitacle, attaquant les narines de chaque survivant. Chaque inspiration devenait une lutte contre cet ennemi invisible, mais tellement tangible.

L'odeur s'est intensifiée à mesure que leur nombre diminuait. La perte de chaque camarade semblait rendre l'odeur plus présente, plus lourde. L'air était chargé d'un mélange de sueur, de peur et de chagrin, un cocktail d'arômes qui rendait chaque inspiration plus douloureuse que la précédente.

Finalement, lorsque le dernier survivant restait, l'odeur avait atteint son apogée. Elle avait envahi tous les recoins de l'habitacle, imprégné chaque surface. Elle s'était mêlée à l'odeur de la solitude et de la désolation, créant une senteur presque insupportable. La puanteur des déchets, la sueur, la peur, le chagrin et la solitude étaient tous combinés en une seule odeur omniprésente - un rappel constant et poignardant de l'épreuve qu'ils avaient tous traversée. Dans ce moment d'isolation, l'odeur était devenue la seule compagnie du dernier survivant, un témoignage muet de l'histoire vécue à bord de "La Canette".

Putain mais d'où tu sors ça toi