T’es là, les coudes sur les genoux, la tête dans les mains et tu pousses
C’est une vraie bataille, personne ne peut deviner qui en ressortira vainqueur
Quand enfin le calvaire prend fin, tu te retournes pour découvrir le monstre qui vivait dans tes entrailles
Au moment de tirer la chasse, le stress monte : les toilettes vont-elles finir bouchées ?
Quand le monstre disparaît enfin, c’est un vrai soulagement, mais on sent encore sa présence à travers l’odeur digne d’un cadavre en décomposition qu’il laisse derrière lui
En sortant, on prie pour que personne ne pénètre dans cette antre de puanteur dont on est à l’origine