Parfois je fume une clope au bord des quais, seuls. J'aime a m'imaginer être le centre de l'attention de la foule, que tout le monde suppose un esprit torturé luttant contre une pulsion de mort incommensurable, prêt a basculer a toute instant. Qu'ils me pensent poète maudit a la personnalité complexe et changeante. Pourtant mon cerveau est vide, ma lâcheté éteint toute volonté de mort, je ne suis qu'un minable faisant un simulacre de s*icide