Une camarade de classe m'a envoyé un message au cœur de l'été pour prendre de mes nouvelles.
Après 2 ans passé dans ma ville (Lyon) elle est littéralement le seul "contact" que j'ai réussi à établir (mais bien évidemment pas à baiser).
Physiquement elle est banale, elle n'a presque pas de poitrine, le bassin étroit, les cuisses fines. Elle est petite (1m63 environ) et a le nez un peu tordu. Seuls points positifs ses cheveux roux, sa jeunesse (21 ans) et sa bonne humeur.
Compte tenu de mon isolement social elle se trouve nonobstant à des années lumières au dessus de ma ligue. Ce qui ne m'empêche pas, depuis son message ce matin, de fantasmer la prendre sauvagement en empoignant de mes mains ses flancs maigres. Je donnerais mon âme pour qu'elle pose son jeune visage serein sur mon torse fier, elle sentirait alors ses minuscules mamelons se comprimer contre mon ventre chaud sous la pression de mes bras sur son blanc dos nu. Je rêve de la soumettre totalement, de la reduire, de faire d'elle mon esclave consentante, l'objet ravi de toutes mes pulsions. Je veux l'entendre pousser un soupir de douleur et d'extase quand la masse de mon corps s'affaisera sur son buste mince péniblement soutenu par deux clavicules apparentes et fragiles. Dans son délire, propre aux jouissances féminines, je veux que ses cuisses, ouvertes, écartées et ses bras agités s'accrochent désespérément au roc inamovible de mon dos puissant.
Après l'avoir ainsi montée au septième ciel, tandis que son plaisir fablira, je me retirerait alors et lui présenterai mon sexe inassouvi. Elle comprendra d'elle même en avoir la charge et l'attaquera, d'abord, par les bourses en posant délicatement ses lèvres sur les deux glandes velues. J'aurai depuis longtemps passé mes grosses mains sur l'arrière de sa petie tête lorsqu'elle aura commencé à gober mon turgescent pénis en abandonnant mes testicules à ses fines mains.
Mes mouvements de bassins se feront lent, d'abord, puis forts, comme de véritables coups qu'elle encaissera sans broncher, mon chibbre solidement fixé dans sa bouche. Jusqu'à ce qu'enfin, sans la prévenir, je n'enfonce mon gland derrière ses dents, au bord de sa glotte, pour y lâcher ma sève nourricière.
Les hoquets épuisés de son maigre cops souffreuteux, le balancement chaotique de ses minuscules mamelons, le rire mi-amusé mi-crispé qu'elle m'adressera.
Tout sera la preuve de ma victoire complète, la preuve que ce soir la cette petite bourgeoise de papier blanc à été ma femme.