"Le 23 juillet, il fait 40 degrés à l’ombre dans toute la France, et la chaleur ne faiblissant pas, le chroniqueur scientifique Max de Nansouty du quotidien Les Annales politiques et littéraires commente dans un article scientifique intitulé La chaleur en juillet 1911 du numéro 30 juillet les effets de cette persistance :
Le mois de juillet 1911 nous laissera le souvenir d’une chaleur des plus désagréables, accompagnée d’une sécheresse dont l’agriculture a été ravie. Comme le dit le vieux proverbe : « Ce qui fait le malheur des uns, fait le bonheur des autres. »"
"La température de ces jours derniers a été incontestablement excessive. A-t-elle été anormale ? s’interroge Max de Nansouty. Non. Car les maxima qui se produisent presque toujours, à Paris du moins, en juillet et août, varient, de temps immémorial, entre 36°1 C et 39° C. Nous avons observé 39° C récemment, lors de l’Exposition universelle de 1900."
Bon après, pour être honnête, l'article précise bien que ces événements sont exceptionnels et ne se répètent pas tous les ans.