J'ai BAISÉ ma PROF sur du PNL sur JvArchive forum 18-25

24 juillet 2023 à 20:50:38

J'avais une prof particulier, châtain, la trentaine, 7,5/10, qui venait chez moi les jeudi soirs pour m'aider à préparer le concours ENS. :-)))

Ce soir là mes parents allaient à une crémaillère, ils ont donc attendu qu'elle arrive, lui ont donné l'argent et sont partis.

Elle arrive, on travaille pendant une heure et demi, et la dernière demi-heure, on s'est détendu, on a rigolé, on a parlé de l'évolution de la littérature, elle disait que dorénavant les mots sont galvaudés, les textes pauvres et je défendais que le rap était probablement l'évolution logique de la poésie, en bien comme en mal. :-)

Face à ses doutes, je lui propose de lui mettre un peu de musique.

Je mets Chang.

Elle fait un sourire que je n'ai pu vraiment interpréter, qui ressemblait à une moquerie immédiatement effacée par une bonne surprise.

"Créé pour tout plier, j'n'aurai pas à tâter ton pouls
Car non, j't'ai pas oublié, remercie Dieu, tu lui dois tout"

Son sourire s'est soustrait, laissant apparaître une mélancolie sur son visage, et le silence continuait de régner.

Puis j'entendais un léger gémissement, maladroitement camouflé.
Je savais déjà ce que c'était, je n'avais pas besoin de regarder ; elle s'était faite envahir par la profondeur du son. :oui:

"Laisse-moi toucher c'que t'as touché, laisse-moi aimer c'que t'as aimé
Et dans l'œilleton d'la porte j'aimerais passer
Pour juste une fois ressentir le passé
Revenir là où tout a commencé car on était aussi heureux, je le sais
J'aimerais sonner à la porte et voir ton visage
Sans les rides sur ton visage
Te prévenir de ce qui te fera du mal pour ne pas te voir souffrir toute ma vie
P't-être que ça m'permettra de devenir quelqu'un d'autre
P't-être que j'aurais plus de lumière pour les nôtres"

À mesure qu'N.O.S récitait son couplet, la larme continuait son chemin de ses yeux bleus vers sa bouche.

Elle s'excusa de se montrer si émotive, et voulu partir.

Attends, dis-je.

Je sus qu'elle avait du vécu, que les paroles ravivaient une ecchymose en elle, je voulais tout savoir.

Elle m'expliqua que son mari était décédé, 2 ans après leur mariage, quand elle avait 24 ans, elle en avait presque 35 maintenant et parfois, elle ne se souvient plus très bien de son visage, elle en oublie les traits, les expressions, elle ne se souvient plus si elle l'aimait tant que ça. Elle s'en veut pour ça. :-(

PNL continuait son art en arrière-plan, renforçant l'intensité des confessions de ma professeur de Français. Mais à mesure que l'intimité s'installait, elle devenait bien plus que ça. :oui:

C'est au tour de Bambina de passer.

"Tu m'fascines, tu m'rends stupide, ça m'abîme
Si tu m'aimes, est-ce que tu signes si je saigne?
Si fragile, tu serais copine sans le sale
J'aime quand t'as pas d'thème
J'aime comme la fin d'peine, j'aime
J'traîne souvenirs par centaines
Qu'est-ce qu'on riait, comme c'était bon à l'ancienne
J'aime, t'aimes
J'aime comme la fin d'peine
J'traîne souvenirs par centaines
Comme c'était bon à l'ancienne"

Elle mit sa tête sur mon épaule.

Vous devinez la suite....

Elle me suçait la queue.

Les battements de mes couilles sur son menton s'accordaient au rythme de la musique.En gobait mon sexe comme si elle voulait toucher son coeur avec. Au bord d'entrer en éruption je retirai sa tête et embrassai sa bouche dans laquelle se mélangeait liquide séminale et salive.
À chaque mouvement de bassin, des vagues se créaient sur ses fesses, tendres comme la brioche de 4h. :bave:

La musique changea. C'était Au DD. Le rythme a accéléré et moi aussi, je passe mon bras sous son ventre, nous nous emboîtons. Collés, je lui embrasse le cou, suintant de plaisir ; elle s'accroche aux draps à en les déchirer et ses jouissements s'accordent au refrain, si bien que j'eus cru que c'est elle qui rappait. :bave:

Cette fois c'est moi qui pleurait. Je pensais à cette Tour Eiffel, qu'Ademo et N.O.S visaient de loin dans DA ; qu'ils ont conquis 3 ans après dans Au DD. Cette femme, c'était elle, ma Tour Eiffel. Et j'étais dessus à contempler la vue. :content:

Je me redressais et l'emportant avec moi, une main sur son vagin accompagnant ma verge, l'autre sur ses seins, fermes comme un pectoral d'Ademo. C'était le meilleur orgasme de ma vie, et le siens aussi.
C'était la consécration ultime, le paroxysme du sexe et le paroxysme de la musique qui combinent, deux puissances, deux êtres qui s'aiment, Deux Frères. :ok: