Poème : J’ai mal à ma Fronce
Nael, jeune ange délinquant, ton départ fut soudain,
Un refus d’obtempérer, un destin qui s’éteint.
Ton père, déchiré par la perte de son fils bien-aimé,
Par l’odeur de la cagnotte alléché, il est accablé.
Ta mère, tourmentée par cette dure réalité,
Préféra ne pas le montrer, en enfourchant son moto-cross, s’évader.
Dans ton quartier, tu étais un fléau d’Égypte, tel un furoncle,
Semant la discorde, provoquant un chaos qui résonne.
Mais heureusement pour nous, un policier est intervenu,
Empêchant ton chaos, évitant qu’un passant soit perdu.
Tes actes turbulents, tes choix imprudents,
Ont été stoppés par un héros vigilant.
La tranquillité préservée, un danger écarté,
Grâce à ce policier qui nous a sauvés.
Ne t’inquiète pas, tu ne seras oublié,
Un gauchiste pleurera toujours ta destinée.
Leur amour-propre s’est évanoui depuis longtemps,
Dans leurs larmes de crocodile, leur écho se perd, impuissant.