Pas totalement dans le sud de la France, notamment dans les Alpes-Maritimes, le coût de la vie est élevé, principalement en ce qui concerne les loyers. Cependant, je n'ai jamais eu de problème avec la police ou avec des personnes d'origines ethniques différentes. J'ai l'impression que ma ville est une zone sécurisée où les habitants ont atteint un niveau d'éducation élevé. Je sors tous les jours pour courir, faire des courses, me promener sur la place, et je constate que les gens font ce qu'ils ont à faire sans déranger les autres.
Un exemple simple avec les CRS parisiens : il arrive que des policiers parisiens agissent de manière nerveuse. Je pense que depuis 10 ans, les préfets et le ministre de l'Intérieur ont recruté des CRS qui sont nerveux et manquent d'intellect, et les années passants ils ont fait leur preuves avec leur intervention musclé est ont été promus à des postes de maintien de l'ordre en zone urbaine. Ces policiers continuent d'agir de cette manière et contribuent à augmenter les tensions, provoquant ainsi de nouveaux troubles. C'est prévisible, c'est ma théorie personnelle.
La comparaison est claire, et je peux facilement imaginer un policier du sud exprimer cela en utilisant son intelligence pour être pédagogue : "Ils expliquent à ces catégories de personnes qu'elles n'ont rien à craindre en s'arrêtant, qu'il existe un système judiciaire fonctionnel et qu'elles auront la possibilité de défendre leurs intérêts."
En revanche, elles auraient tout à perdre en prenant la fuite. Ce choix entraverait grandement leur défense juridique étant donné que les sanctions seraient nettement plus sévères.
De plus, les personnes compétentes en cybersécurité et ayant accès à la base de données préfectorale, comprenant les identifiants nationaux des résidents, ainsi qu'aux outils de traçage des portables, des plaques d'immatriculation et des caméras 4K à 60 fps, qui enregistrent toutes les allées et venues, pourraient compiler des preuves solides grâce aux messageries, aux vidéos, images des téléphones portables et à l'historique.
Ces policiers spécialisés en cybersécurité, disposant d'outils sophistiqués et ayant un accès direct au réseau local de n'importe quel routeur national via le fournisseur d'accès internet, pourraient même prendre le contrôle de ces routeurs afin d'accéder à des données confidentielles. Grâce à cela, les arrestations pourraient se produire rapidement, que ce soit dans l'heure ou les jours suivants une éventuelle fuite. Cela augmenterait considérablement les chances de se voir infliger une amende à quatre ou cinq chiffres ainsi qu'une peine de prison sans possibilité de remise de peine. En revanche, si vous coopérez, vous aurez une chance d'être défendu convenablement, surtout pour un délit mineur, ce qui pourrait se traduire par une amende à trois chiffres et une peine avec sursis.
Quand le policier est cordial et que le citoyen l'est tout autant , c'est l'entente entre le peuple et la loi, la dissolution de la police de proximité dans les zone à haut risque agissait comme les policier de ma régions le choix de Sarkozy en 2003 fut le fer de lance de ce que ces zones de non-droit sont devenues aujourd'hui, à mon avis personnel.
