On se rend compte qu'Obertone est un génie car tout ce qui se passe actuellement est décrit dans le livre, en particulier les déclarations du gouvernement, des associations, des partis de gauche, des journalistes de gauche. Chacun joue sa partition à la perfection, tout le monde joue son petit numéro
Les mêmes mots creux, la même indignation ridicule, la diabolisation de la police et du racisme systémique.
Le nom des rues semble être tiré de Guerilla (où l'action se passait dans la cité Taubira). Pour Nahel, le voyage s'arrête sur la place Nelson Mandela.