j'ai pris mes medocs c'est bon
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La femme est chiante. Pas la peine de lui courir après. J'y pensais alors que je faisais le tour de la tour Montparnasse, admirant ainsi ce joyau du capitalisme à la papa du général de Gaulle. L'heureuse époque où l'économie était dirigée par la politique. Je pensais que Dubaï avait un fonctionnement gaullien avant de me rappeler la gaule que javais eu la première fois que je vis une black en bas de cette tour.
Mais la femme est chiante. J'étais avec la mienne par dépit. Je ne foutais rien au lycée agricole. Je me branlais. Il m'arrivait de sortir quand on m'y forçait, auquel cas je fumais raisonnablement quelques pétards et regardais les paires de seins généreuses des femmes qui me resservaient du coca dans mon whisky ou plutôt du whisky dans mon coca. Car en tant que mâle blanc dominateur, je ne me levais pas, mais elles se levaient.
Pourtant c'est elle qui était venue me chercher pour que je la lève. La salope. Elle avait un cul musclé, des cuisses larges. Des nibards bien laiteux. Tout était ouvert à la vie dans son corps. Jean-Paul II eut pu écrire une encyclique entière sur son Temple de l'Esprit. Mais à l'époque j'avais écouté ma bite. Et je l'avais baisé proprement. Comme à l'époque Mitterrand. Sans traces, sans honte,sans responsabilité et sans avortement car cela faisait mauvais genre. Pas comme l'autre pute d'Annie Ernaux. Y avait pas à dire, ma femme était distinguée. Et nous baisions allègrement plusieurs fois par semaine,elle dans le don à moi, moi dans la réception et le tout avec des capotes Durex, ce qui n'aurait pas plus à Jean-Paul II pour le coup.
Oui mais voilà, ni les bouddhistes qui haïssent la chair, ni les gnostiques qui la détestent encore plus, ni les hindous qui lui préfèrent la chair bovine sans pour autant la manger, ni les musulmans qui préfèrent orienter leur cul vers le ciel avec la tête vers la Mecque et encore moins les catholiques qui subordonnent leur bite à la raison et leur raison au cœur n'auraient approuvé mon comportement. Et je me dis, alors que j'arrivais chez Truffaut pour acheter des plantes vertes que cela avait une raison.
Je suis un personnage houellebecquien, je suis divorcé.
J'ai vu une MILF se changer sur un parking de plage. J'ai vu sa paire de seins après qu'elle aie enlevé sa combinaison. De profil et avec un recard oblique en faisant semblant de regarder ailleurs et furtivement. Parfaitement dessinés, les seins, ils avaient beau avoir été mouillés par la mer, ils étaient vraiment fermes. Et puis ses fesses. Nues. Un peu charnues mais franchement c'est sympa de voir une paire de fesses aussi grosses soient-elles au naturel. Dans notre société, on voit rarement des fesses féminines nues et rarement aussi bien. Elle avait une serviette mais c'était vraiment "pour la forme". Hop elle la mettait. Hop elle l'enlevait pour se changer confortablement. Et moi de la mater copieusement. Elle n'a rien vu. Ou feinte de rien voir. Sa fille,qui elle maîtrisait la technique de la serviette m'a vu la mater mais a feint de ne rien voir. Enfin,alors que je m'étais bien éloigné pour tout de même pas me faire taxer de harcèlement sex*el, j'ai vu ses fesses cette-fois ci dans un string noir avant qu'elle mette un pantalon bleu, du même bleu que son t-shirt. Bien érotique le string. Et plus sexy que les fesses nues ! Amusant paradoxe de l'érotisme. Le semi caché est plus sexy.
Qu'on ne se mente pas. Cette matronne Espagnole était désirable car à poil. Ou plutôt car à poil tout en feignant la pudeur. Maladresse de sa part ? Que nenni... Je suis persuadé qu'elle se savait matée. Sa fille ne jouait pas ce jeu. Elle avait mon âge et comme moi pas envie de jouer à ça.
Mais alors ? Aurais-je dû aller parler à la MILF ? La draguer ? Tirer mon coup ?
Non. Je ne pense pas. Son fantasme est à mon sens, précisément d'allumer sans donner lieu à un feu de forêt. D'entretenir le désir sans conséquence.
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Données du topic
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- Date de création
- 27 juin 2023 à 21:41:54
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