Vous avez probablement lu cet infâme tweet dont le but est de discréditer Nael et ses amis: https://twitter.com/rohff/status/1674116415798779904?t=vyFLa71Pd3DTr-McFmG8Tg&s=19
Ils étaient en realite tous de brillants élèves, en bon chemin pour intégrer les plus prestigieuses institutions de notre pays. J'en veux pour preuve la VRAIE description des faits qui ont eu lieu a Nanterre il y a deux jours.
Voici l'intégralité des faits dans leur plus pure vérité, ces maudits réseaux n'étant constitués que d'ignares patentés et de mythomanes notoires.
S'il est authentique que nous refusâmes de nous soumettre aux forces de l'ordre, il demeure indubitablement factuel que nous nous arrêtâmes. Tentant d'éviter toute bastonnade intempestive, nous tentâmes de clore les fenêtres ; je parvins en ce qui me concerne à condamner trois fenêtres : les deux se trouvant à l'arrière du véhicule ainsi que celle qui m'était adjacente, à la place du mort ; Naël de son côté tenta en vain de bloquer la sienne, mais fut interdit par le fonctionnaire de la maréchaussée arrivé à notre niveau.
En effet, ce dernier fit opposition de sa main tandis que son compagnon fustigea le chef de mon ami de quatre horions, funestes revers de son arme de service. Le crâne de mon malheureux camarade d'infortune fut irrépressiblement projeté vers l'arrière alors même que la boîte de vitesse n'était pas au point mort ! Une frappe succédant à une autre, mon ami perdit son emprise sur la pédale de décélération, et en conséquence notre véhicule s'ébroua sans crier gare. Céans, le sinistre agent de l'ordre fit feu, et parvint même à rester près de 3 secondes à notre contact, actionnant le clairon d'avertissement automobile.
Quant à mon malheureux compagnon, son pied glissa d'une pédale l'autre, provoquant l'accélération du véhicule ; je compris alors que notre automobile, échappant à tout contrôle, était vouée à l'écrasement dans la palissade située à notre avant. Je tournai alors mon regard vers mon camarade qui, soudainement, fut pris d'une crise d'apoplexie. Je tentai de le réanimer afin que nous pussions nous éclipser mais il était intégralement amorphe, de bouche comme de corps.
Ainsi donc je pris la fuite...