[ZINZOLAX] Exercice
Supprimé- 1
Afin de combler le terrible ennui qui m'assaille avec un brin de perfidie, le malandrin, j'ai usé de mon temps (par ailleurs fort précieux) pour m'atteler à la confection d'un texte - fortement inspiré d'American Psycho, je ne renierai pas mon inspiration, ma singularité demeurant malgré tout palpable - aux horizons multiples.
M'étant, à l'écrire, retrouvé fort enjoué, j'ai - peut-être naïvement, car mon humilité n'a d'égal que mon talent - été pris de la folie d'imaginer qu'il pourrait provoquer chez l'élite quelques gloussements, si ce n'est une admiration sans faille devant ce qui est, à l'évidence, un chef-d'œuvre annonciateur de gloire et d'une postérité très certaine.
Mes kheys - à qui j'offre, de bon cœur, le privilège de dire qu'ils m'auront connu - le voici :
" Lors de mon premier viol, je n’ai pas réussi à bander. Ç’aurait été un samedi comme les autres si, sur les conseils de Jérémy, je ne m’étais pas essayé au GHB dans le verre de cette fille. Elle s’appelait Susie, elle avait des yeux de biche, noisettes, des pommettes exquises et les joues pleines. Un corps à tomber par terre, un cul rond comme la lune. Elle m’a immédiatement intéressée. Elle enchaînait les Gin Tonic, la boisson des pochtronnes qui ne s’assument pas. Elle portait des lunettes à monture épaisse, un tailleur gris, peu de maquillage ; elle affichait un potentiel monstre pour la saloperie. La cible idéale, Susie.
J’ai suivi la procédure habituelle. Elle s’est levée, quittait son groupe d’amies qui riait comme les greluches qu’elles devaient probablement être. Susie se dirigeait vers le comptoir prendre une tournée. En faisant mine de ne pas la regarder, je l’ai imitée. Puis en passant près d’elle, je l’ai bousculée. J’ai renversé tout mon whisky sur son chemisier.
Avec le doigtée qui est le mien, je suis même parvenu à ce qu’un glaçon se faufile dans le sillon de sa poitrine. Quand sa stupeur fut passée, sa première réaction fut ainsi de partir à la recherche de ce glaçon ; elle s’est touché les seins avant même de m’adresser la parole. Première case cochée.
Ensuite, je l’ai regardé intensément - et j’ai le regard très intense - et lui ai sorti : “ Tu peux pas faire attention où tu marches ?”. Elle s’est figée ; de près elle avait encore plus l’air d’une très gentille fille. Elle ne trouva pas ses mots, balbutia une vague : “ Excusez-moi…”. Il faut dire que je mesure 1m87 pour 92 kg de muscle et que ma chemise était très saillante. Sur moi, elles le sont d’ailleurs toutes. Ce qui produit toujours son effet. J’ai donc dit à Susie : “ Tu vois, ton tailleur est fichu. C’est dommage, il t’allait plutôt bien. T’as un très joli corps. Mais tu devrais arrêter de boire, ça brouille ton teint. T’as la peau sensible non ?”
Susie ouvrait grand les yeux. Elle sembla m’être reconnaissante de lui avoir fourni une question simple à laquelle elle pouvait répondre par des mots simples. Elle me dit : “ Oui, plutôt sensible” ; elle baissa les yeux, signe de soumission. Deuxième case cochée.
Je lui dis :
- Tu mets de la crème hydratante ?
Elle me répond du bout des lèvres:
- Oui, tous les matins…
- On dirait pas. T’utilises quelle marque ?
- NIVEA, je…
- Normalement ça fonctionne bien NIVEA, c’est bizarre… Trop de Gin, je pense, dis-je avec un sourire que je voulus complice.
Je poursuivis :
- D’ailleurs, en parlant de gin, je vais t’en payer un. Ensuite tu me parleras de ta mauvaise peau et je verrai ce que je peux faire.
Je commandai un gin et, du coup, un autre whisky. Je pris Susie par le bras et l’assis sur une table opposée à celle de ses copines, de sorte à ce qu’elle soit dos à elles et que je puisse moi les observer. Susie n’opposa qu’une faible résistance physique qui ne se traduisit pas en mots prononcés. Mon charme opérait. Troisième case cochée.
Elle fut adorable. Je fis de mon mieux pour la regarder comme j’aurais regardé une vache dans un concours de bovins. Les femmes apprécient en général qu’on les regarde comme des vaches dans un concours de bovins. Il faut cependant veiller à ce qu'elles ne s’en rendent pas compte ; sinon elles se vexent, forcément… J’ai souvent pu observer que les femmes avaient une forte propension à prendre les choses personnellement. Elles ont raison, en un sens.
J’ai vanté les mérites de l’acide salicylique. En effet, cet actif convient parfaitement aux peaux comme celle de Susie. Ses propriétés astringentes lui permettent de réparer les imperfections sans agresser le derme, effectuant une véritable action kératolytique. Il faut tout de même prêter attention à la concentration et choisir une crème peu dosée si on a la peau sensible. Mais, ensuite, l’application quotidienne est préconisée. Ayant moi-même une très belle peau, mais, je le déplore, assez sensible, je veille toujours à ce que ma crème hydratante ait une concentration peu élevée d’acide salicylique. Ainsi mes quelques rougeurs disparaissent et mon teint est irréprochable.
N’étant, malgré tout, pas expert en produit de beauté féminin, je ne pus conseiller à Susie une crème en particulier. J’ai néanmoins mis l’accent sur l’importance de l’acide salicylique dans la composition. Entre-temps, elle m’avait dit son nom et commencé à me tutoyer, le gin aidant. Donc j’ai dit : “ Considère sérieusement l’acide salycique Susie”. À haute voix, l'assonance était palpable. Cela m’a fait rire, et donc elle a ri aussi. “ Je suis un poète même à l’oral” ai-je dit. Elle m’a regardé doucement.
Elle ne parlait pas beaucoup, riait à mes blagues, ouvrait grand les yeux, buvait beaucoup. C’était trop facile et cela commençait à m’ennuyer. Du bout de la salle, ses copines me lançaient des regards déments. Je leur répondais par des clins d’œil. Au bout d’un moment, Susie s’est tout de même énervée de mes appels de phare répétés mais qui ne lui étaient pas destinés. Elle a donc, à son tour, lancer un regard noir à ses copines, l’air de dire : “ Il est à moi”. Mais pour ce faire, elle a dû se retourner. C’est là que j’ai mis le GHB dans son verre pour pimenter la soirée. "
Le 24 juin 2023 à 20:16:38 :
Le 24 juin 2023 à 20:09:48 :
C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nulEn l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Le 24 juin 2023 à 20:18:31 :
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C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nulEn l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
Le 24 juin 2023 à 20:21:28 :
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C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nulEn l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.
Le 24 juin 2023 à 20:24:53 :
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C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nulEn l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.
Bah là c'est 500 mots écrits à la première personne. Faudrait que je rajoute d'autres personnages pour présenter des point de vue différents. J'ai pensé à faire un truc archi border, genre un clubs où les violeurs parlent entre eux de leur rapport quelque peu malsain au sexe opposé J'appelerais la nouvelle "les violeurs anonymes"
Faudrait que le narrateur soit un célestin tout innocent et bien attentioné, genre qui divinise les meufs, qu'iil se retrouve là par hasard, et que ce texte soit le récit d'un fiéffé violeur qui prend la parole. Ça serait sans doute peut-être plus quilibré niveau haine du coup
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> Le 24 juin 2023 à 20:09:48 :
>C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nul
En l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.Bah là c'est 500 mots écrits à la première personne. Faudrait que je rajoute d'autres personnages pour présenter des point de vue différents. J'ai pensé à faire un truc archi border, genre un clubs où les violeurs parlent entre eux de leur rapport quelque peu malsain au sexe opposé J'appelerais la nouvelle "les violeurs anonymes"
Faudrait que le narrateur soit un célestin tout innocent et bien attentioné, genre qui divinise les meufs, qu'iil se retrouve là par hasard, et que ce texte soit le récit d'un fiéffé violeur qui prend la parole. Ça serait sans doute peut-être plus quilibré niveau haine du coup
Nan mais je me fiche de l'aspect moral, je te dis pas que c'est bien ou mal, je dis juste que prendre le point de vue du violeur, tueur en série, psychopathe c'est un truc galvaudé.
Faut plus que ça, plus qu'un violeur qui a ses motifs, c'est du vu et revu, si vraiment tu veux explorer le viol sous les yeux du violeur je te conseille une autre voie
Le 24 juin 2023 à 20:34:20 :
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>> Le 24 juin 2023 à 20:09:48 :
> >C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nul
>
> En l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
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> C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
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Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.Bah là c'est 500 mots écrits à la première personne. Faudrait que je rajoute d'autres personnages pour présenter des point de vue différents. J'ai pensé à faire un truc archi border, genre un clubs où les violeurs parlent entre eux de leur rapport quelque peu malsain au sexe opposé J'appelerais la nouvelle "les violeurs anonymes"
Faudrait que le narrateur soit un célestin tout innocent et bien attentioné, genre qui divinise les meufs, qu'iil se retrouve là par hasard, et que ce texte soit le récit d'un fiéffé violeur qui prend la parole. Ça serait sans doute peut-être plus quilibré niveau haine du coup
Nan mais je me fiche de l'aspect moral, je te dis pas que c'est bien ou mal, je dis juste que prendre le point de vue du violeur, tueur en série, psychopathe c'est un truc galvaudé.
Faut plus que ça, plus qu'un violeur qui a ses motifs, c'est du vu et revu, si vraiment tu veux explorer le viol sous les yeux du violeur je te conseille une autre voie
Une autre voie, laquelle par exemple ?
Sinon, tu te doutes bien que l'aspect moral je m'en fiche aussi. C'est juste qu'un récit trop centré sur un seul point de vue, ça peut vite tourner à la masturbation quoi, et devenir très déplaisant. Faut des contradicteurs pour créer de la tension.
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> > >C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nul
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> > En l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
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> > C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
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> Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
J'en ai peut-être un peu trop mis
Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.Bah là c'est 500 mots écrits à la première personne. Faudrait que je rajoute d'autres personnages pour présenter des point de vue différents. J'ai pensé à faire un truc archi border, genre un clubs où les violeurs parlent entre eux de leur rapport quelque peu malsain au sexe opposé J'appelerais la nouvelle "les violeurs anonymes"
Faudrait que le narrateur soit un célestin tout innocent et bien attentioné, genre qui divinise les meufs, qu'iil se retrouve là par hasard, et que ce texte soit le récit d'un fiéffé violeur qui prend la parole. Ça serait sans doute peut-être plus quilibré niveau haine du coup
Nan mais je me fiche de l'aspect moral, je te dis pas que c'est bien ou mal, je dis juste que prendre le point de vue du violeur, tueur en série, psychopathe c'est un truc galvaudé.
Faut plus que ça, plus qu'un violeur qui a ses motifs, c'est du vu et revu, si vraiment tu veux explorer le viol sous les yeux du violeur je te conseille une autre voieUne autre voie, laquelle par exemple ?
Sinon, tu te doutes bien que l'aspect moral je m'en fiche aussi. C'est juste qu'un récit trop centré sur un seul point de vue, ça peut vite tourner à la masturbation quoi, et devenir très déplaisant. Faut des contradicteurs pour créer de la tension.
Je ne sais pas, la tension ne se situe en tout cas pour moi plus dans le fait de partager le point de vu du "méchant" ou de lui trouver des motifs, elle doit être ailleurs
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> >> Le 24 juin 2023 à 20:16:38 :
> > >> Le 24 juin 2023 à 20:09:48 :
> > > >C'est vraiment à chier, faire du texte d'incel pour ressembler à Houellebecq c'est nul
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> > > En l'occurence je pompe Breat Easton Ellis, qui, il est vrai à lui-même inspiré Houellebecq.
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> > > C'est que c'est vraiment trop marrant à écrire les textes d'incels
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> > Il n'y a que ça ici, des textes d'incels, la haine des femmes c'est vu et revu, éculé au possible, peu d'intêret.
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> Tu trouves que ça transpire vraiment la haine des femmes ?
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> J'en ai peut-être un peu trop mis
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> Mais j'aimais bien ma première phrase : " Lors de mon premier viol, je n'ai pas réussi à bander". Être soft après ça c'était un pari plutôt risqué
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C'est plus subtile que la plus part, mais oui.
Je trouve ça un peu attendu comme phrase, il semble évident que prendre le viol par le regard du violeur sous le seul prisme du plaisir et de la pulsion, c'est trop simple. Après oui, ça peut être intéressant en un sens.Bah là c'est 500 mots écrits à la première personne. Faudrait que je rajoute d'autres personnages pour présenter des point de vue différents. J'ai pensé à faire un truc archi border, genre un clubs où les violeurs parlent entre eux de leur rapport quelque peu malsain au sexe opposé J'appelerais la nouvelle "les violeurs anonymes"
Faudrait que le narrateur soit un célestin tout innocent et bien attentioné, genre qui divinise les meufs, qu'iil se retrouve là par hasard, et que ce texte soit le récit d'un fiéffé violeur qui prend la parole. Ça serait sans doute peut-être plus quilibré niveau haine du coup
Nan mais je me fiche de l'aspect moral, je te dis pas que c'est bien ou mal, je dis juste que prendre le point de vue du violeur, tueur en série, psychopathe c'est un truc galvaudé.
Faut plus que ça, plus qu'un violeur qui a ses motifs, c'est du vu et revu, si vraiment tu veux explorer le viol sous les yeux du violeur je te conseille une autre voieUne autre voie, laquelle par exemple ?
Sinon, tu te doutes bien que l'aspect moral je m'en fiche aussi. C'est juste qu'un récit trop centré sur un seul point de vue, ça peut vite tourner à la masturbation quoi, et devenir très déplaisant. Faut des contradicteurs pour créer de la tension.
Je ne sais pas, la tension ne se situe en tout cas pour moi plus dans le fait de partager le point de vu du "méchant" ou de lui trouver des motifs, elle doit être ailleurs
Bah en l'occurence je n'imaginais aucun motif particulier, si ce n'est celui de combler l'ennui.
Comment dire ça de manière civilisé... Il est vrai qu'avec les filles, à force, certains schémas comportementaux, de notre côté comme du leur, ne peuvent que nous apparaître. Et, une fois qu'on les a compris et qu'on a appris à s'en servir, le succès devient un peu fade. Le viol - dans la fiction, cela va sans dire - m'est apparu comme un possible piment, une aventure inédite.
Ce que j'aurais trouvé nul, par exemple, c'est de faire un texte purement incel en mode : "Je peux violer une fille, t'façon c'est toutes des putes. Donc le viol n'existe pas, à la rigueur on pourrait parler de vol. Au pire, je le dédommagerai, cette pute. À ce propos, je vous ai déjà expliqué pourquoi les filles c'étaient TOUTES des putes ?"
- 1
Données du topic
- Auteur
- Ahasverus2
- Date de création
- 24 juin 2023 à 20:03:23
- Date de suppression
- 24 juin 2023 à 21:42:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
- 13
- Nb. messages JVC
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