Mon père était un Boomer communiste, type Daniel Cohn Bendit.
A l'âge de 11 ans, venant de la classe moyenne (basse++ mon père ayant un travail salarié normal, ma mère sans emploi), j'allais au collège public.
Je fus tabassé plusieurs fois par des chances pour la Fronsse. Les professeurs (tous de gauche) me mettaient des heures de colle avec les chances car nous nous "battions". Malheureusement nous ne nous "battions" pas je me faisais massacrer par 3 triples redoublants qui faisaient trois fois ma taille mais c'était difficile à admettre pour ces religieux du camp du bien.
Mon anxiété, et ma phobie sociale commencèrent alors.
Mon père me disait des platitudes "Défends toi" "Victime" etc. quand ma mère me disait juste que si j'étais gentil avec eux ou que si je les ignorais le harcèlement cesserait. Ils ne m'ont jamais changé de collège et jamais pris au sérieux, je suis donc resté 4 ans en plein enfer.
J'exécutais ma première tentative de S. à 12 ans. Fort heureusement j'étais maladroit, je m'y étais mal pris, je ne dois ma vie actuelle qu'à ma maladresse.
Le lycée fut désagréable avec mes premières désillusions amoureuses et mes redpills sur les relations homme / femme. J'eus la terrible idée, boosté par les PUA et dragueurs (ArtDeSeduire pour ceux qui connaissent) de tenter de draguer la Stacy de ma classe. Terrible erreur : je perdis tous mes potes et fut humilié de manière très intense par toutes les femmes
La fac fut malheureusement un passage difficile également, à cause de mes relations tendues avec les bourgeois. Je ne dirais pas mon cursus, mais encore une fois les pires pervers étaient à 80% pro - NUPES, le 20% un certain type de bourgeoisie catholique. Tous méritocrates, contrairement à ce qu'affirme la gauche