Je préfère la période où j'étais un alcoolique

Je pour situais un peu je buvais au sol du lit, j'ai même vomis sur le chemin du travail. J'étais alcoolisé dés 9h du mat

Entre midi et deux j'allais toujours me recharger au franprix en bouteille de 1l de vodka que je transportais dans mon sac.

Jen ai même menacé des gens a travers la salle de formation c'était tellement marrant d'être déshinibé en permanence.

Le 16 juin 2023 à 11:58:41 :
Pareil, depuis que je me suis "repris en main" je vis très très mal alors que je me sentais si bien seul avec l'alcool avec un petit travail et mon appartement pour moi seul à délirer sur le sol

Jai repris le sport et m'entretiens dur a la place mais je pense honnêtement à reprendre l'alcool du moins en période de prisse de masse pour limiter les dégâts. Avec un petit opiacé pour combler les descentes et ainsi pouvoir tourner je pense que c'est jouable.

Le 16 juin 2023 à 11:59:48 :
C'est si bien l'alcool ? Je pense à m'y mettre à la place des médocs. Mais niveau digestif ça me défonce

Le problème c'est qu'en ça retombe les jours d'après donc soit on se traite soit on peut chuter

Pareil.

J'étais un alcoolique qui buvait 3 à 5 fois par semaine, parfois même plusieurs semaines de suite, j'étais plus ou moins heureux, je profitais, je sortais, etc.

Depuis que j'ai arrêté, mon état se détériore, j'ai développé plusieurs troubles neurologiques

Oui pareil, même si les chutes étaient toujours extrêmement rudes. Trous noirs, se réveiller presque toutes les nuits dans des endroits différents sans aucuns souvenirs. Je m'étais même un jour cassé la gueule dans les escaliers avec la porte de l'appartement grande ouverte. Je savais même pas si quelqu'un m'avait vu

Mais je sortais, je kiffais. La c'est morne. Le pire dans cette histoire, c'est que j'ai les même effets néfastes de l'alcool quand je suis fatigué Alors à quoi bon s'abstenir ?

Le 16 juin 2023 à 12:29:24 PoulishaxENT a écrit :
Oui pareil, même si les chutes étaient toujours extrêmement rudes. Trous noirs, se réveiller presque toutes les nuits dans des endroits différents sans aucuns souvenirs. Je m'étais même un jour cassé la gueule dans les escaliers avec la porte de l'appartement grande ouverte. Je savais même pas si quelqu'un m'avait vu

Mais je sortais, je kiffais. La c'est morne. Le pire dans cette histoire, c'est que j'ai les même effets néfastes de l'alcool quand je suis fatigué Alors à quoi bon s'abstenir ?

Ceci bordel

Se taper les effets négatifs même des années après avoir arrêter

Tout en étant dans un état plus que médiocre