Je lui ai demandé d'écrire un poème sur le GR:
"Dans un monde tordu, plein de mystères ardents,
Où l'imagination déploie ses tourments,
La théorie du grand remplacement s'épanouit,
Comme un conte absurde qui jamais ne finit.
Les esprits fantasques, aux pensées échevelées,
Imaginent des histoires de foules déplacées,
Des êtres supposés venir d'ailleurs,
Pour envahir nos terres, semant la peur.
Mais voici que je vous conte une autre histoire,
Une version loufoque, pleine de dérisoire,
Où les animaux, las de notre comportement,
Décident d'un grand remplacement déconcertant.
Les chats, ces êtres félins si sages et malins,
Se réunissent en secret, prêts à prendre le destin,
Ils élaborent un plan machiavélique et rusé,
Pour remplacer les humains, les félins sont prêts.
Au clair de lune, dans des danses félines,
Ils s'entraînent à miauler, à ronronner sans peine,
Leurs miaulements deviennent des chants envoûtants,
Et les humains, hypnotisés, tombent dans leurs filets.
Les chiens, quant à eux, se joignent à la danse,
Avec leurs yeux doux, ils ensorcellent la balance,
Ils aboient en harmonie, tel un chœur céleste,
Et les humains, subjugués, suivent leur manifeste.
Les oiseaux sifflent des mélodies enchanteresses,
Leurs chants délicats, empreints de finesse,
Les humains, charmés, se mettent à voler,
S'envolent dans les airs, ne sachant plus se poser.
Les grenouilles et les insectes, petits êtres étranges,
Font des croassements et des bourdonnements échangeables,
Et les humains, désorientés, se transforment en amphibiens,
Sautent et rampent, comme de véritables citoyens.
Les animaux du monde entier, dans une joyeuse farandole,
S'échangent les corps, c'est une symphonie folle,
Les humains deviennent poissons, éléphants ou fourmis,
La planète se métamorphose en un tableau de l'infini.
Ainsi va la théorie du grand remplacement loufoque,
Où les animaux, unis, créent un chaos baroque,
Mais rassurez-vous, cher lecteur, ceci est pure fiction,
Juste une histoire farfelue, fruit de mon imagination."
