Les HOMMES au moyen age devaient avoir des ORGASMES EXTRA-ORDINAIRE

Imaginez , grandir sans aucune image sexuelle, sans aucune video porno , sans magazine, rien. Seulement l'imagination.

Les jeunes khey du moyen age qui se dépucelaient devait avoir des orgasmes cosmiques, qu'on ne connaitra jamais.

En une journée, on voit plus de femmes dénudées sur les écran/IRL que nos ancêtres n'en voyaient en 100 ans.

Le porno a véritablement détruit la jeunesse, maintenant même une fille bandante ne suffit plus. Il faut toujours plus de nouveaux contenus

jai grandit sans grand chose et jai pas des orgasme extra ordinaires

si ca peut te rassurer...

Le 31 mai 2023 à 20:59:20 WotanEtOdin a écrit :
Suffit de stop porno totalement ahurin

ça diminuera un peu l'impact mais ça n'effacera jamais totalement les souvenirs du porno dans ton cerveau

tu n'effaces pas des milliers d'heure de visionnage comme ca en claquant des doigt

mais ta pas tord à 100%...le porno à l'excès détruit les fantasmes, et la sexualité, des jeunes hommes c'est une réalité non contestable

Le 31 mai 2023 à 21:00:01 BelIeDeIphine a écrit :
jai grandit sans grand chose et jai pas des orgasme extra ordinaires

si ca peut te rassurer...

respect khey

jai grandit avec la redoute pour seul "porno"
et marie clair aussi (merci maman avec tes abonnements mensuels)

ca parlera à certains

Ce que Victor Hugo écrivait sur les nuits de noce : <spoil> Ici nous nous arrêtons. Sur le seuil des nuits de noce est un ange debout, souriant, un doigt sur la bouche.

L’âme entre en contemplation devant ce sanctuaire où se fait la célébration de l’amour.

Il doit y avoir des lueurs au-dessus de ces maisons-là. La joie qu’elles contiennent doit s’échapper à travers les pierres des murs en clarté et rayer vaguement les ténèbres. Il est impossible que cette fête sacrée et fatale n’envoie pas un rayonnement céleste à l’infini. L’amour, c’est le creuset sublime où se fait la fusion de l’homme et de la femme ; l’être un, l’être triple, l’être final, la trinité humaine en sort. Cette naissance de deux âmes en une doit être une émotion pour l’ombre. L’amant est prêtre ; la vierge ravie s’épouvante. Quelque chose de cette joie va à Dieu. Là où il y a vraiment mariage, c’est-à-dire où il y a amour, l’idéal s’en mêle. Un lit nuptial fait dans les ténèbres un coin d’aurore. S’il était donné à la prunelle de chair de percevoir les visions redoutables et charmantes de la vie supérieure, il est probable qu’on verrait les formes de la nuit, les inconnus ailés, les passants bleus de l’invisible, se pencher, foule de têtes sombres autour de la maison lumineuse, satisfaits, bénissants, se montrant les uns aux autres la vierge épouse doucement effarée, et ayant le reflet de la félicité humaine sur leurs visages divins. Si, à cette heure suprême, les époux éblouis de volupté, et qui se croient seuls, écoutaient, ils entendraient dans leur chambre un bruissement d’ailes confuses. Le bonheur parfait implique la solidarité des anges. Cette petite alcôve obscure a pour plafond tout le ciel. Quand deux bouches, devenues sacrées par l’amour, se rapprochent pour créer, il est impossible qu’au-dessus de ce baiser ineffable il n’y ait pas un tressaillement dans l’immense mystère des étoiles.

Ces félicités sont les vraies. Pas de joie hors de ces joies-là. L’amour, c’est là l’unique extase. Tout le reste pleure.

Aimer ou avoir aimé, cela suffit. Ne demandez rien ensuite. On n’a pas d’autre perle à trouver dans les plis ténébreux de la vie. Aimer est un accomplissement.
</spoil>

Le 31 mai 2023 à 21:15:10 gptbis a écrit :
C’est clair qu’ils devaient être moins blazer qu’aujourd’hui mais tu n’as pas besoin de remonter jusqu’au moyen âge depuis les années 90 et avant il n’y avait presque pas de porno et pas insta etc où toutes les meufs sexualisent leurs corps

Exact
Nos ancêtres devenaient comme des dingues quand ils voyaient une cheville alors j'imagine même pas le reste
On est bombardé par des culs instagrammables et ça nous insensibilise

Le 01 juillet 2023 à 12:49:42 :
Ils devaient surtout chopper des MST a chaque rapport

le chibrax purulent après une journée harassante aux moissons qui enivrait les sens.