D’autres publications pointent que les hommes présentent en moyenne des membres plus longs, une masse musculaire plus importante, un cœur plus large et une capacité pulmonaire plus grande, qui permet une meilleure circulation de l’oxygène et une plus grande endurance. Des avantages physiologiques que les femmes trans seraient susceptibles de conserver après leur transition.
En l’absence de preuves, les instances s’appuient sur la testostérone, qui demeure, selon la communauté, l’indicateur le plus acceptable
Leurs auteurs affirment par ailleurs que certaines femmes cis admettent un taux de testostérone «se situant dans la plage masculine soi-disant normale» et de nombreux athlètes masculins «présentent un taux de testostérone dans la plage féminine soi-disant normale». Dit autrement : il semble impossible d’établir une «parité biologique». Prétendre à une équité sportive relèverait donc du fantasme ?
Oui donc il y a bien une disparité entre les sexes, seulement elle ne se limite pas qu'à la seule testostérone. Leur seul argument c'est "mdr y a déjà des disparités biologiques entre les individus d'un même sexe, donc finalement on s'en fout de l'équité sportive"
Du relativisme bien gras, bien cochon comme l'aime la gauche.