Cette histoire est véridique. Elle s’est passée il y a de cela 6 ans. Bien sur les noms ont été changés.
Je m'appelle Jacob. Depuis quelques mois, je regarde avec intérêt Claudine, la femme de Paul mon ami. C’est une belle poule de 32 ans. Petite mais bien galbée. J’ai bien vu que de son coté elle n’est pas indifférente. Mais je me disais que je me faisais des idées. Aussi, je n’ai jamais osé franchir le pas. Surtout que ma femme Michelle est toujours présente lors de nos rencontres.
Alors que nous étions, ma femme et moi, invités chez mon ami, j’ai remarqué que Claudine était troublée par ma présence. Il faisait chaud et elle n’avait qu’une sorte de robe large et légère.
Quand elle a commencé à servir le repas, elle s’est arrangé pour que j’aie une vue plongeante sur sa poitrine. Ses seins sont petits et très beaux. J’ai senti le sang qui me montait à la tête. J’ai vite fait de détourner mon regard de peur d’éveiller les soupçons de ma femme ou de rencontrer le regard de Claudine. Il faut dire que j’ai toujours peur d’avoir mal interprété ses agissements.
Un jour que je l’avais au téléphone, nous parlions de choses et d’autres. Nous sommes venus aux confidences et elle m’encourageait en m’assurant que ce que je lui dirais restera entre nous quoi qu’il en soit.
Alors j’ai pris mon courage à deux mains et je lui ai avoué mes fantasmes la concernant. Sur quoi elle me dit qu’elle a longtemps attendu et espéré cet instant.
Les jours qui suivirent, nous avions passé beaucoup de temps au téléphone. Nous ne parlions que de sexe. J’ai appris que Paul est un éjaculateur précoce et qu’il n’a jamais réussit à donner du plaisir à sa femme. Elle m’a déclaré qu’elle voudrait des choses qui sortent de l’ordinaire. « Car, disait-elle, l’ordinaire je l’ai déjà, et toi aussi je suppose ».
Ça promettait des moments exceptionnels.
Dès lors, je ne cherchais qu’une excuse pour aller chez mon ami. J’ai tellement envie de regarder Claudine dans les yeux.
L’occasion ne tardera pas à se présenter. Une après midi, je me suis rendu sans ma femme cette fois-ci- chez mon ami. Il m’avait invité à prendre un verre avec lui. Sa femme a fait le service. Elle était joyeuse. Paul et moi regardions un film, Claudine allait et venait dans la salle de séjour.
A un certain moment, Paul s’est absenté pour quelques minutes. Alors Claudine fonça sur moi et me roula un patin comme jamais je n’en ai eu. Lorsque Paul revint dans la pièce, j’étais encore sur mon petit nuage. Le gout des lèvres de Claudine ne me quitta plus de l’après midi.
Quelques jours plus tard, elle m’apprit que son mai allait s’absenter quelques heures et elle me demanda de la rejoindre. Bien sûr, j’y suis allé. Dès que j’ai mis les pieds chez elle, elle a refermé la porte et a entrepris de sortir ma queue. J’avais beaucoup d’appréhension et de scrupules. Je ne bandais pas. Claudine a tout compris. Elle me prit dans sa bouche et commença à me tailler une pipe d’enfer. Lorsque ma queue a atteint des proportions raisonnables, elle renouvela sa robe et se mit en levrette. Je l’ai pénétrée d’une seule poussée, tellement elle était mouillée. Pendant que je lui bourrais la chatte, elle poussait des gémissements. Je n’ai pas tardé à me répandre dans son ventre. Elle m’a avoué qu’elle n’a jamais été baisée de la sorte.
Le plus beau était à venir. Alors que son mari devait s’absenter pour quelques jours pour raison de travail, et que m’a femme était auprès de son père malade, Claudine m’a reçu chez elle. Elle avait préparé un repas spécial pour moi. Lorsqu’est venu le moment d’aller au lit, elle était toute tremblante d’impatience.
Elle me tailla une pipe d’enfer. Lorsque ma queue est devenue grosse et dure, elle écarta les cuisses et me demanda de la prendre brutalement. Je ne me le fis pas dire deux fois. Elle a joui très très fort. Elle ne s’est pas arrêtée de dire des cochonneries pendant que je la prenais dans tous les sens. « Baise moi salaud », « donne moi ta queue », « bien fait pour Paul. Il devrait prendre des leçons », « j’aime ta grosse queue ; elle me fait du bien », « défonce moi à fond, n’aies pas peur »…etc.
Nous avions passé la nuit à baiser comme des malades. Au petit matin, elle n’en pouvait plus. Sa chatte était irritée. Elle n’avait pas l’habitude d’un tel régime.
Des mois sont passés. Avec Paul, nous nous sommes brouillés pour des broutilles qui n’ont rien à voir avec ma relation avec sa femme. Cela a évacué tous les scrupules que je pouvais avoir.
Je ne vais plus chez Paul. Alors Claudine a trouvé une solution. Une cousine à elle possède un logement pas loin de la ville où nous habitons. Plusieurs fois, nous nous sommes retrouvés chez cette cousines. Même la maman de Claudine est dans la confidence. Il est arrivé qu’elle nous a reçoive chez elle. Pendant que je m’envoie sa fille, elle nous concocte un bon repas. Elle aussi me regarde avec des yeux envieux. J’aimerais bien la sodomiser elle aussi. Un truc à trois avec la maman, la fille et moi. Je ne serais pas contre la participation de la cousine qui doit être une belle salope, elle aussi.
Mais Claudine est très possessive. Elle se fâche dès que j’aborde la question.
Ceci dit, elle ne me refuse rien. A titre d’exemple, j’avais une envie folle de l’enculer. Apres avoir résisté un moment elle accéda à ma demande. La première fois que nous nous sommes vus chez sa cousine, elle m’a fait une belle surprise. Elle avait préparé un pot de vaseline. Elle s’est mise sur sa rondelle et elle m’en a mis sur la queue. « Pour apprendre à Paul à rester tranquille, tu vas devoir lui enculer sa femme, me dit elle. Vas-y franchement. Tu as tous les droits ». Je vous laisse imaginer la suite.
