Il n'y a aucune issu, aucun chemin de traverse pour esquiver la souffrance de se savoir mourir
Lorsque l'on sait que la fin de notre vie sur la Terre va nous frapper, l'on ressent un mal terrible qui nous pousse aux péchés capitaux et à bien pire que cela, au plaisirs du sang et de la déviance
Cependant l'on s'habitue à être un mort-prochainement, alors ces plaisirs déviants nous les cachons, nous les enterrons de la même manière que plus tard notre enveloppe corporelle sera enterrée (si l'on a de la chance et que les bêtes ou les infectes insectes ne nous digèrent pas avant)
Cette forme de rejet de la mort, de refoulement des désirs liés à la mort pousse l'homme à la folie furieuse
Tous les hommes sont fous malades car ils sont mortels