[PILL] 24h de la vie d'une femme, ZWEIG

Une femme en vacances abandonne du jour au lendemain son mari et ses deux enfants pour un jeune éphèbe rencontré deux jours plus tôt.

Dans la résidence de vacances, la situation prête au débat. Cela fait remonter les souvenirs d'une vieille femme qui va se confier au narrateur sur 24h de sa vie qui l'ont marquée.

La femme avait alors une quarantaine d'années, jeune veuve. A Monaco, elle tombe immédiatement sous le charme (plutôt une obsession dira t elle, mais aucun désir selon elle) d'un bel homme polonais qui joue au casino et dont les mains et la gestuelle l'hypnotisent.

Elle se rend alors compte qu'il est fauché et va se tuer, elle se dirige alors vers lui et lui paie une voiture vers un hôtel bas de gamme.

Arrivés devant l'hôtel, l'homme l'entraine alors (quasiment contre son gré d'après la femme, "je ne me doutais de rien"). Par pudeur, elle ne veut pas décrire cette nuit mais emploie les termes de "passion" et "abandon".

Au réveil, la honte l'empare. Elle se sent sale dans cet hôtel miteux et donne rendez vous à l'homme pour lui remettre une somme qui le libérera de son endettement avant de le quitter à jamais.

Après lui avoir donné l'argent, l'homme s'en va et s'enquit d'un simple remerciement. La femme s'effondre alors. Elle dit "si cet homme m’avait alors saisie, s’il m’avait demandé de le
suivre, je serais allée avec lui jusqu’au bout du monde ; j’aurais déshonoré mon nom et celui de mes enfants… Indifférente aux discours des gens
et à la raison intérieure, je me serais enfuie avec lui"

Le 14 avril 2023 à 16:44:31 :
Je n’aurais pas demandé ni où j’allais, ni pour combien de
temps ; je n’aurais pas jeté un seul regard derrière moi, sur ma vie passée… J’aurais sacrifié à cet homme mon argent, mon nom, ma fortune,
mon honneur… Je serais allée mendier, et probablement il n’y a pas de
bassesse au monde à laquelle il ne m’eût amenée à consentir. J’aurais rejeté tout ce que dans la société on nomme pudeur et réserve ; si seulement il s’était avancé vers moi, en disant une parole ou en faisant un seul
pas, s’il avait tenté de me prendre, à cette seconde j’étais perdue et liée à
lui pour toujours.

Oui ça c'est au début et puis ensuite madame à des maux de tête.

Le 14 avril 2023 à 16:46:25 :

Le 14 avril 2023 à 16:44:31 :
Je n’aurais pas demandé ni où j’allais, ni pour combien de
temps ; je n’aurais pas jeté un seul regard derrière moi, sur ma vie passée… J’aurais sacrifié à cet homme mon argent, mon nom, ma fortune,
mon honneur… Je serais allée mendier, et probablement il n’y a pas de
bassesse au monde à laquelle il ne m’eût amenée à consentir. J’aurais rejeté tout ce que dans la société on nomme pudeur et réserve ; si seulement il s’était avancé vers moi, en disant une parole ou en faisant un seul
pas, s’il avait tenté de me prendre, à cette seconde j’étais perdue et liée à
lui pour toujours.

Oui ça c'est au début et puis ensuite madame à des maux de tête.

Ensuite madame regrette et prend la fuite