Les mutilations de bétail
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Un premier incident isolé fut enregistré en septembre 1967. C’est le fameux cas du cheval Snippy qui s’est produit à Alamosa, Colorado. Il s’agissait en fait de la jument Lady, mère de Snippy selon l’enquêtrice Linda Moulton-Howe. En 1968, trois cas se produisirent au Canada.
C’est en automne 1973 qu’une série de découvertes du même type éveilla l’attention des chercheurs. Jusqu’en 1986, les mutilations de bétail déferlèrent en vagues successives, avec des hauts et des bas.
Dans 90% des cas, ce sont les organes sexuels qui sont enlevés, découpés presque toujours avec soin, ce qui laisse une zone de chair à nu généralement circulaire sans la moindre trace de dents de carnivores.
La mamelle des vaches est également une cible courante, et il arrive que le coeur soit prélevé d’une façon ahurissante : à travers un trou trop petit pour permettre son extraction.
La chair consommable en boucherie n’est jamais touchée, ce qui écarte aussi les actions de viandards. Des cas d’oreilles et de langues découpées ont aussi été signalés, ainsi que l’enlèvement de foetus dans le cas de vaches gravides.
Dans certains cas, le sang a été ponctionné, et chose étonnante, des autopsies ont montré que dans plusieurs dépouilles le collapsus des veines et des artères ne s’était pas produit, ce qui représente une autre anomalie physique.
En effet, si l’on enlève le sang, veines et artères s’affaissent comme une chambre à air dégonflée. Des rapports d’autopsies et des coupures de presse ont souvent indiqué que les plaies observées étaient géométriques, toujours exsangues, comme si elles avaient été faites avec un instrument tranchant quelconque.
On a signalé aussi des découpes cautérisées par ce qui pourrait être un rayon calorifique du genre laser ayant développé une chaleur de plus de 350° Fahrenheit soit environ 162° Celsius, chose prouvée par des examens microscopiques.
Certains policiers venus in situ ont constaté l’absence de mouches sur les dépouilles, même en dépit de températures élevées qui auraient dû favoriser leur apparition en multitudes.
L’absence d’asticots dans les chairs explique mieux pourquoi l’autolyse ne se produit pas.
Autre détail à noter : les éleveurs concernés ont remarqué que les corps laissés sur place n’intéressaient pas les animaux carnivores et nécrophages. En effet, ces derniers ne viennent pas se nourrir dessus.
Il se trouve que des carcasses ont été découvertes sur le dos, les quatre pattes raides en l’air, ou couchées sur un flanc avec les deux pattes opposées raides en l’air.
Cela indique que les victimes périssent en un lieu différent. En effet, un bestiau qui meurt tombe sur le côté et la “rigor mortis” laisse les pattes raidies au sol.
D’autres indices vont dans le même sens : pattes, colonne vertébrale et cornes brisées, comme si on avait largué les corps d’une certaine hauteur.
Le Dr. John H. Altshuler, pathologiste, déclara ceci en 1991 :
« De telles morts ne sont pas accidentelles, ni dues à des prédateurs ou à des sacrifices rituels.
A la suite des examens radioscopiques, il est difficile d’éviter la conclusion incontournable que les tissus des animaux victimes de ces mutilations ont subi une dissection opérée avec un outil produisant une très haute température.
L’instrument utilisé et les moyens employés demeurent un mystère ; le but recherché est encore plus énigmatique.
Le fait que ces animaux soient découverts dans des zones reculées, loin de traces humaines ou animales, à l’écart des routes et des chemins, alors qu’étaient observés des phénomènes aériens insolites, tout cela suggère que des facteurs extraterrestres doivent être considérés. »
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- Daemonika
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- 8 avril 2023 à 16:49:25
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