Le printemps est là, l'odeur des chattes puantes m'enivre, j'ai les couilles tellement pleines que j'entends des voix
Putain bouffer une chatte ça me manque tellement, avoir les effluves de la meuf en plein dans la tronche, qu'elle dandine son clito sur ta langue, hum putain je deviens zinzolin
L'âcre odeur des chattes crasseuses me rend dingue. Je rôde dans les rues tel un prédateur : tachycardie, pupilles dilatées, sueur abondante et pénis gonflé, c'est avec fébrilité que je mate les culs du printemps, bite à la main tel un australopithèque
Que ne donnerai-je pas pour m'enivrer des effluves du trou de balle d'une petite chienne du printemps ? J'ai faim bordel, tellement faim qui si mon nez se retrouve entre les deux fesses joufflues d'une petite gourgandine, je ne me porte pas garant de mes actes
Bordel, le parfum enivrant des fleurs de la gente féminine agît sur le mâle en rut comme un bout de sucre tombé dans une fourmillière