[...] c'est alors qu'ils eurent envie de jouer, oui, de jouer à la «biscotte» comme ils disaient. Cet infâme jeu qui consiste à faire jouir les garçons un à un sur un biscuit sec, le plus rapidement possible, afin de ne pas être le dernier... Car ce malheureux dernier recevait en punition une double peine, celle de ne pas jouir, premièrement, mais aussi celle de devoir ingurgiter l'immonde tartine.
Les sexes commençaient à se durcir lorsque l'un des membres annonça au groupe qu'il ne restait plus de biscuit pouvant faire office de jouet pour le divertissement tant attendu.
«Utilisez moi ! Je vous en prie ! Je vous en prie ! Je suis votre biscotte à sperme !» criai-je, pleine d'espoir et de salive aux lèvres !
C'est alors qu'ils m'extirpèrent de l'étroit casier dans lequel j'étais enfermée, afin de me jouir tour à tour sur le visage, exigeant tantôt une pipe, tantôt une branlette.
Le triste retardataire, Joshua, fut assigné à la tout aussi triste tâche : me baiser en m'embrassant et en me léchant le visage, sous les regards moqueurs et pesants.
Je sentais le plaisir monter en lui, lorsque je lui murmurai à l'oreille «vas-y, jouis dans ta petite biscotte, je t'en supplie !», ce qui provoqua en lui le paroxysme de l'excitation et en moi, l'irruption de son sperme; je devins alors la salope la plus comblée de la Terre pendant un court instant.