Au collège j'en mettais toujours, je me cachais et attendais ensuite qu'un élève aille déverser pour m'empresser de mettre le morceau de pain mouiller en bouche, presser le jus d'urine avec mes dents, essorer ce pain à la pisse dans ma gorge, mâchouiller jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien d'autre qu'un morceau aussi sec que la chatte grise de ma grand-mère, et enfin reposer le morceau dans l'urinoir, attendant une fois de plus, les lèvres encore acidulées, qu'un autre camarade viennent tremper mon pain sec de son jet puant