Mon poème sur le Big M /10 ?
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La chute
Tel des Romains l'onagre en siège victorieux
écroulant le dédain d'un tyran dépassé.
C'est un souffle, une vague, un océan furieux
qui s'est levé soudain, qui a tout renversé.
Dans son château d'ivoire Il se cache les yeux
Les portes tiennent bon, ses gardes sont armés.
Il vit pour le Pouvoir, se croit pareil aux Dieux.
Perçoit t-il le canon, les cris des opprimés ?
Les murs tremblent ce jour, car la fin se rapproche
Le bruit emplit l'espace et lézarde la roche
de cette haute tour aux fondations pourries.
La poussière en nuage a masqué le soleil
Entends la joie, la rage et les chants du réveil.
Il tombe et se fracasse au dur sol de Paris.
(je l'avais posté tout à l'heure mais j'ai fait des retouches dans la métrique)
Allez un autre
(oui je sais y a des syllabes en trop, notamment sur "celle" en ligne 3 mais j'ai la flemme de changer ça, si quelqu'un a une idée je suis preneur )
Autre fin
Oh ! Ce bruit sourd et fruste ! Ultime soubresaut;
Que l'agonie est belle aux yeux des révoltés
car cette mort est celle des ces Rois détestés
et dont la tête auguste a roulé dans le seau.
Eux qui avaient régné, se croyant sans défaut,
voulu bâtir un monde à leur seule fortune
Au dessus d'eux la ronde; ô ! révolte opportune
Pour avoir trop cogné ils ont eu l'échafaud.
Leurs voix étaient partout, préfets ou présidents
Les voilà mutilés par la seule Justice
Dépossédés de tout, victoire des Sans-Dents
Déjà le jour se lève et l'horizon s'éclaire
La foule se disperse, et reflue la colère
Comme s'éteint l'averse, eau purificatrice.
Je suis preneur de tout avis, sur la forme, le fond...
Le miens ->
Pourquoi Macron ?
Ou étais tu tout ce temps ?
Si loin de toi
Ta présence nous manque ici bas
Où étais tu tout ce temps ?
Ursula se languissait de toi
Comment as tu pu
A ce point nous ignorer ?
Ne nie pas
Ceci est ton jugement
Et il est irrévocable
Raclure de chiotte
Nous donner gratuitement,
Il est le commandant du régiment,
Qui désire seulement,
Un être conscient, il ya du changement.
En aval dans la rivière de l'argent,
La liberté est un sentiment,
Elle aimait ardemment,
Se produisant rarement.
Mais alors il est temps que notre malheur devient,
Opprimer m'a fortement,
Dans la distance que vous, le sentiment,
Or poignard et le poison du Président.
Sent la pensée, penser le sentiment.
Il a moins de sens celui-là je trouve, on voit que l'acrostiche est forcée là ou le 1er marchait bien
Je reposte le mien, j'ai changé quelques rimes pour éviter les répétitions ("seule" qui était deux fois notamment ).
Oh ! Ce bruit sourd et fruste ! Ultime soubresaut;
Que l'agonie est belle aux yeux des révoltés
car cette mort est celle des Rois détestés
et dont la tête auguste a roulé dans le seau.
Eux qui avaient régné, se croyant sans défaut,
voulu bâtir un monde à leur seule fortune
Au dessus d'eux la ronde; ô ! révolte opportune
Pour avoir trop cogné ils ont eu l'échafaud.
Leurs voix étaient partout, préfets ou présidents
Les voilà mutilés par l'aveugle Justice
Dépossédés de tout, victoire des Sans-Dents
Déjà le jour se lève et l'horizon s'éclaire
La foule se disperse et reflue la colère
Comme s'éteint l'averse, eau purificatrice.
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Données du topic
- Auteur
- JeromeLeroy
- Date de création
- 25 mars 2023 à 22:40:17
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