Ah, le travail ! Vous savez, cette chose qui nous occupe pendant des heures et des heures, et pour laquelle on se réveille tous les matins avec un sourire béat... ou pas.
Dans certains pays, protestants ou asiatiques, le travail est perçu comme un sésame vers la réussite, un peu comme si vous grattiez un ticket de loto et que vous remportiez systématiquement le gros lot. Vous bossez dur, vous suez, et hop ! Le paradis, la fortune, et la gloire sont à vous. C'est un peu comme si le travail était le dernier obstacle avant de devenir un super-héros, sauf que la cape et les collants ne sont pas fournis.
Dans d'autres pays, en particulier les pays catholiques, le travail est vu comme une sorte de souffrance, une épreuve insupportable qui s'abat sur vous comme un mal de dent qui ne veut pas partir. Là, on cherche à fuir le travail comme on fuirait un monstre terrifiant au cinéma, sauf que dans la vraie vie, on ne peut pas vraiment échapper à cette créature nommée "travail".
Et dans ces pays, la fortune ne garantit pas la vie éternelle, alors pourquoi se donner tant de mal ? C'est un peu comme courir après un mirage, vous savez, cette illusion d'eau au milieu du désert : vous courez, vous courez, et finalement, vous vous rendez compte que vous avez juste perdu du temps et de l'énergie.
Quant aux actionnaires, ces êtres mystérieux et parfois insaisissables, on dit qu'ils se nourrissent de la valeur ajoutée des travailleurs, comme des vampires assoiffés de profits. Pendant ce temps, les salariés sont souvent laissés pour compte, sans être intéressés intellectuellement, politiquement et financièrement aux réussites de l'entreprise. C'est un peu comme si on vous invitait à une fête sans vous laisser entrer dans la salle, vous laissant à la porte avec un ballon dégonflé et un party popper qui ne fonctionne pas.