La philosophie c'est de l'ergonomie cérébrale pour attardés, rien de plus
Ça sert à raisonner et garder son cerveau en bonne santé pour ceux qui n'aiment pas les maths et la physique
Ça reste quand même un domaine intéressant même si la conclusion est propre à chacun
« On ne peut être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul ; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul. Toute société a pour compagne inséparable la contrainte et réclame des sacrifices qui coûtent d'autant plus cher que la propre individualité est plus marquante. Par conséquent, chacun fuira, supportera ou chérira la solitude en proportion exacte de la valeur de son propre moi.
Car c'est là que le mesquin sent toute sa mesquinerie et le grand esprit toute sa grandeur ; bref, chacun s'y pèse à sa vraie valeur. En outre un homme est d'autant plus essentiellement et nécessairement isolé, qu'il occupe un rang plus élevé dans le nobiliaire de la nature.
C'est alors une véritable jouissance pour un tel homme, que l'isolement physique soit en rapport avec son isolement intellectuel : si cela ne peut pas être, le fréquent entourage d'êtres hétérogènes le trouble ; il lui devient même funeste, car il lui dérobe son moi et n'a rien à lui offrir en compensation.
De plus, pendant que la nature a mis la plus grande dissemblance, au point de vue moral comme au point de vue intellectuel, entre les hommes, la société, n'en tenant aucun compte, les fait tous égaux, ou plutôt, à cette inégalité naturelle, elle substitue les distinctions et les degrés artificiels de la condition et du rang qui vont souvent diamétralement à l'encontre de cette liste par rang telle que l'a établie la nature. »
Le 07 mars 2023 à 14:51:05 :
Bordel le forum lisez et éduquez vous au lieu de dire des conneries pareille
Hormis briller en société en citant un aphorisme en grec ça sert à quoi ?
Tu ne fais que poursuivre des chimères car une question appelle une autre question alors que la vérité te tend les bras dans l'instant présent
Le 07 mars 2023 à 14:51:57 :
« On ne peut être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul ; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul. Toute société a pour compagne inséparable la contrainte et réclame des sacrifices qui coûtent d'autant plus cher que la propre individualité est plus marquante. Par conséquent, chacun fuira, supportera ou chérira la solitude en proportion exacte de la valeur de son propre moi.Car c'est là que le mesquin sent toute sa mesquinerie et le grand esprit toute sa grandeur ; bref, chacun s'y pèse à sa vraie valeur. En outre un homme est d'autant plus essentiellement et nécessairement isolé, qu'il occupe un rang plus élevé dans le nobiliaire de la nature.
C'est alors une véritable jouissance pour un tel homme, que l'isolement physique soit en rapport avec son isolement intellectuel : si cela ne peut pas être, le fréquent entourage d'êtres hétérogènes le trouble ; il lui devient même funeste, car il lui dérobe son moi et n'a rien à lui offrir en compensation.
De plus, pendant que la nature a mis la plus grande dissemblance, au point de vue moral comme au point de vue intellectuel, entre les hommes, la société, n'en tenant aucun compte, les fait tous égaux, ou plutôt, à cette inégalité naturelle, elle substitue les distinctions et les degrés artificiels de la condition et du rang qui vont souvent diamétralement à l'encontre de cette liste par rang telle que l'a établie la nature. »
Hors sujet et je ne suis pas vraiment d'accord vous oubliez toujours la demi-mesure c'est en sortant de sa routine et en s'ouvrant au monde qu'on peut vivre, certes il faut prendre garde à ne pas se faire dévorer par le flux d'information
Le 07 mars 2023 à 14:57:15 :
Le 07 mars 2023 à 14:51:57 :
« On ne peut être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul ; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul. Toute société a pour compagne inséparable la contrainte et réclame des sacrifices qui coûtent d'autant plus cher que la propre individualité est plus marquante. Par conséquent, chacun fuira, supportera ou chérira la solitude en proportion exacte de la valeur de son propre moi.Car c'est là que le mesquin sent toute sa mesquinerie et le grand esprit toute sa grandeur ; bref, chacun s'y pèse à sa vraie valeur. En outre un homme est d'autant plus essentiellement et nécessairement isolé, qu'il occupe un rang plus élevé dans le nobiliaire de la nature.
C'est alors une véritable jouissance pour un tel homme, que l'isolement physique soit en rapport avec son isolement intellectuel : si cela ne peut pas être, le fréquent entourage d'êtres hétérogènes le trouble ; il lui devient même funeste, car il lui dérobe son moi et n'a rien à lui offrir en compensation.
De plus, pendant que la nature a mis la plus grande dissemblance, au point de vue moral comme au point de vue intellectuel, entre les hommes, la société, n'en tenant aucun compte, les fait tous égaux, ou plutôt, à cette inégalité naturelle, elle substitue les distinctions et les degrés artificiels de la condition et du rang qui vont souvent diamétralement à l'encontre de cette liste par rang telle que l'a établie la nature. »
Hors sujet et je ne suis pas vraiment d'accord vous oubliez toujours la demi-mesure c'est en sortant de sa routine et en s'ouvrant au monde qu'on peut vivre, certes il faut prendre garde à ne pas se faire dévorer par le flux d'information
Chez la bête et chez l'homme, la même vérité éclate bien plus évidemment. Vouloir, s'efforcer, voilà tout leur être: c'est comme une soif inextinguible. Or tout vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur: c'est par nature, nécessairement, qu'ils doivent devenir la proie de la douleur. Mais que la volonté vienne à manquer d'objet, qu'une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et les voilà tombés dans un vide épouvantable, dans l'ennui: leur nature, leur existence leur pèse d'un poids intolérable.
La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui: ce sont là les deux éléments dont elle est faite, en somme. De là ce fait bien significatif par son étrangeté même: les hommes ayant placé toutes les douleurs, toutes les souffrances dans l'enfer, pour remplir le ciel n'ont plus trouvé que l'ennui.
Le 07 mars 2023 à 14:51:05 :
Bordel le forum lisez et éduquez vous au lieu de dire des conneries pareille
L'OP a raison de A à Z, c'est toi qui te ridiculises là
Le 07 mars 2023 à 15:08:08 :
La philosophie c'est de la branlette intellectuelle mais certains philosophes de l'antiquité étaient intéressants
T'es un ignare qui n'a jamais lu le moindre ouvrage, Qu'est ce que tu saurais de tout ça?
Chez la bête et chez l'homme, la même vérité éclate bien plus évidemment. Vouloir, s'efforcer, voilà tout leur être: c'est comme une soif inextinguible. Or tout vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur: c'est par nature, nécessairement, qu'ils doivent devenir la proie de la douleur. Mais que la volonté vienne à manquer d'objet, qu'une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et les voilà tombés dans un vide épouvantable, dans l'ennui: leur nature, leur existence leur pèse d'un poids intolérable.
La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui: ce sont là les deux éléments dont elle est faite, en somme. De là ce fait bien significatif par son étrangeté même: les hommes ayant placé toutes les douleurs, toutes les souffrances dans l'enfer, pour remplir le ciel n'ont plus trouvé que l'ennui.
Si de l'homme nait le désir et que du désir nait l'ennui alors il y a une étape temporelle transitoire de la satisfaction à l'ennui et de l'ennui au désir c'est trop réducteur bien que ce soit bien écrit et vrai
Données du topic
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- 7 mars 2023 à 14:45:28
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