Vains soubresauts convulsifs, L'âme dépérit. Si je le perds, je suis perdu. Si je le porte, je me fourvoie. Colombe aux vols vains, retourne à la terre. Les nuages se disperseront, Et de ma volonté naîtra l'Éden.
J'entre dans la pièce vide. Qui l'a mise là ? Je l'inspecte, elle semblait faire de même. Inexorablement, impossible de savoir. Je renonce, mais c'était trop tard. Tout est gris maintenant. Je cours, en vain. Je crie, en vain. Je tape, en vain.
Assis sur mon nuage, je garde la tête haute. Le ciel est magnifique. Cette étoile semble proche. Soudain, je m'enfonce. Cette matière incertaine se désagrège. Je rassemble frénétiquement les morceaux, En vain.
Né du sable et grandissant, Mon esprit naquit. Je n'y vois que des lueurs, Le froid me corrompt. Ces curiosités me dévisagent, Leurs yeux aveugles ne perçoivent pas la Lumière.
Né du sable et grandissant, Mon esprit naquit. Je n'y vois que des lueurs, Le froid me corrompt. Ces curiosités me dévisagent, Leurs yeux aveugles ne perçoivent pas la Lumière.
Né du sable et grandissant, Mon esprit naquit. Je n'y vois que des lueurs, Le froid me corrompt. Ces curiosités me dévisagent, Leurs yeux aveugles ne perçoivent pas la Lumière.