Je pense que si les hommes sont des sous-hommes aujourd'hui, c'est parce qu'ils acceptent le salariat, et les embouteillages.
Moi j'ai jamais accepté le salariat, ni les embouteillages. Et c'est pour ça que je suis un être humain encore.
C'est-à-dire que je communie directement avec Bayard. "Français sans peur, chrétien sans reproche".
Parce que quand on a été salarié du tertiaire, et qu'on a conduit une bagnole dans Paris pendant des années, on est un untermensch. Voyez? Un sous-homme. C'est-à-dire qu'on a été émasculé par la violence et la structure du système.