Topic de GneuChonkle25 :

quand François MITTERRAND parlait du "LOBBY KARATEKA"

Supprimé

(vous savez par quoi remplacer karateka dans les liens :oui: )

Propos rapportés par Jean d'Ormesson dans son livre "Rapport Gabriel"

https://www.liberation.fr/france/1999/08/27/quand-mitterrand-parlait-du-lobby-karateka_280524/
https://www.lemonde.fr/archives/article/1999/08/27/selon-jean-d-ormesson-francois-mitterrand-s-inquietait-de-l-influence-du-lobby-karateka_3584688_1819218.html

Dans le Rapport Gabriel, vrais-faux mémoires à paraître début septembre chez Gallimard, l'écrivain raconte son ultime entrevue avec le défunt. La scène se passe à l'Elysée, le 17 mai 1995, quelques minutes avant que le Président ne transmette ses pouvoirs à son successeur, Jacques Chirac. Entre thé, confitures et discussion à bâtons rompus sur «la maladie des hommes d'Etat», Jean d'Ormesson aborde l'affaire Bousquet. L'automne précédent, le journaliste Pierre Péan a révélé que François Mitterrand a conservé jusqu'au soir de sa vie des relations d'amitié avec René Bousquet, ancien secrétaire général de la police de Vichy. «Beaucoup reprochent au Président les liens qui l'unissent à ce personnage qui a joué un rôle important dans la collaboration avec l'Allemagne moustachu, écrit Jean d'Ormesson. François Mitterrand m'écoute sans irritation apparente. Et il me regarde. "Vous constatez là, me dit-il, l'influence puissante et nocive du lobby karateka en France. Il y a un grand silence.»

Le fils de François Mitterrand approuve les propos de son pére

https://www.liberation.fr/france/1999/08/30/jean-christophe-mitterrand-les-lobbies-karatekas-existent_280327/
https://www.lemonde.fr/archives/article/1999/08/31/un-fils-de-francois-mitterrand-approuve-ses-propos-sur-les-lobbys-karatekas_3576976_1819218.html

Dans une interview accordée, hier, au quotidien Il Corriere della sera, le fils de l'ancien président assure que son père était «contre toute discrimination de r***, de foi et même d'amitié». Mais il ajoute: «Je ne vois aucun accent antikaratéka dans la phrase attribuée à mon père ["] Je n'étais pas présent au déjeuner mais je ne trouve rien d'antikaratéka dans cette phrase et cela ne me surprend pas que mon père ait abordé la question des lobbies karatékas. Pourquoi pas? Ils existent.» Selon lui, la politique moyen-orientale de l'ancien chef de l'Etat déplaisait à «certains lobbies karatékas»: «Ils ont fait du combat contre Mitterrand leur fonds de commerce. Ils soutiennent les partis de droite en terre de Karatéka et ensuite, grâce à leur appui, ils font des affaires.» Au passage, Jean-Christophe Mitterrand s'en prend au quotidien le Monde («toujours intellectuellement malhonnête envers mon père») qui a récemment titré: «Mitterrand et l'antikaratékisme»: «Le Monde n'est pas seulement un journal, c'est la caisse de résonance de certains mondes. Qui sait, peut-être également d'un certain lobby karatéka.».

Jean d'Ormesson réagit a la polémique chez Thierry Ardisson dans l'émission "Tout le monde en parle" du 11 décembre 1999

https://youtu.be/4jIRbkPYSuI?t=702 (de 11:44 a 15:28)

la réaction de l'Élite?

Perso: https://image.noelshack.com/fichiers/2019/12/5/1553236071-7780099495-jean-marie-le-pen-le-5-septembre-2015-a-marseille.png

J'en tombe des nues, je suis absolument abasourdi par la nouvelle, on a rien vu venir

Le 09 février 2023 à 15:47:41 Beacarbonate a écrit :
J'en tombe des nues, je suis absolument abasourdi par la nouvelle, on a rien vu venir

:rire:

Finkelstein distingue l'« holocauste nazi » (le fait historique) et l'« Holocauste » (avec un H majuscule, la campagne de relations publiques menée selon lui depuis 1967 surtout aux États-Unis). C’est ce second aspect qu’il appelle « l’industrie de l'Holocauste ».

Dans son livre, il défend la thèse d'une « industrie » qui consiste en l’exploitation, sous des dehors éthiques, de l’holocauste nazi pour générer du pouvoir et amasser de gros capitaux. Cette industrie aurait à sa tête des organisations juives américaines cherchant la suprématie ethnique et les gains politique et financier2.

Quelques-unes des principales critiques formulées par Finkelstein dans son ouvrage :

Le gain politique pour ces organisations juives se manifesterait dans l’effort de rendre pratiquement impossible toute critique, fondée ou non, sur Israël et sur la communauté juive américaine3 ;
La poussée vers le gain financier se manifesterait par la pression exercée sur des gouvernements et des entreprises. Elle serait également mise en lumière par une supposée incitation à des sentiments de culpabilité au sein des populations allemande et suisse dans leur ensemble, en relation avec de nombreux dépôts bancaires faits par des Juifs avant ou pendant le nazisme et que leurs descendants n'arriveraient pas à récupérer (fonds en déshérence) ;
Les musées de l’holocauste monopoliseraient la souffrance de la Shoah pour les Juifs en excluant les autres groupes persécutés par les nazis ;
Les survivants de l’holocauste seraient plus nombreux en 1998 qu'en 1945 ;
Un grand nombre de réclamations d’indemnité indues ont été introduites par des fraudeurs prétendant à tort avoir survécu à l’holocauste ;
Certains efforts pour compenser la souffrance des survivants juifs à l’holocauste se font de façon malhonnête ;
Certaines agences (représentant des groupes juifs) qui prétendent représenter des survivants juifs de l’holocauste dans des cas judiciaires auraient retenu pour leur propre usage des fonds destinés à des survivants individuels ;
De nombreux Juifs américains ne pratiquent pas le judaïsme mais l’ont remplacé par un dogme : la récolte de fonds pour les intérêts juifs.

Le 09 février 2023 à 15:47:41 :
J'en tombe des nues, je suis absolument abasourdi par la nouvelle, on a rien vu venir

Il sortait les voisins et disait bonjour aux poubelles pourtant

Ce sont les Laurel et Hardy de la Shoah : Maurice, le père, dirige le musée de l'Holocauste à Washington. Il est cynique, menteur, uniquement obsédé par l'appât du gain. Norman, le fils, préside une société qui attribue, contre forte rémunération, des licences officielles « Holocauste compatible ». Sa boîte a pour clients tous les professionnels de l'humanitaire, qui, dans les domaines les plus divers, font commerce de la souffrance, animale ou humaine. C'est un marché fort juteux. Comment Norman et Maurice s'y prennent-ils pour remplir leurs comptes en banque sur le dos des victimes ? Ils organisent des voyages privés à Auschwitz pour milliardaires américains prêts à contribuer, au nom de la mémoire estropiée, à leur petite entreprise. Leur numéro est minable, mais, sur les lieux de la tragédie numéro un, qui ne tomberait pas dans le panneau ?

D'autant que Maurice n'hésite pas à embellir son CV : il raconte volontiers comment, avec d'autres partisans juifs, il a réussi à résister aux nazis, à en tuer même. Chaque fois, Norman, son fils, rit jaune. Il craint que les gros mensonges de son père ne soient découverts et que, le scandale éclatant, ils ne soient forcés de fermer boutique. Au moins Maurice a-t-il effectivement vécu l'Holocauste. Car lui, Norman, le représentant archétypal de la deuxième génération, de quel héroïsme peut-il se prévaloir ?

Abraham Foxman, président de la Ligue contre la discrimination, la plus ancienne des organisations américaines de lutte contre l'antisémitisme, ne décolère pas. A la veille de la conférence de Washington sur le pillage des biens juifs pendant l'Holocauste, ce survivant des camps s'en est pris, dans le New York Times, à «une industrie qui exploite la mémoire des victimes et réduit l'Holocauste à une histoire de juifs qui réclament de l'argent», risquant de conforter les clichés les plus éculés de propagande antisémite. Un émoi partagé par un nombre croissant de représentants des communautés juives en Amérique et en Europe. Comme le constate le New York Times, «une campagne motivée à l'origine par une révolte morale est en train de tourner à une lutte pour le pouvoir et l'argent». «La plus grande chasse au trésor de l'Histoire» (dixit lord Greville Janner, président de l'Holocaust Educational Trust britannique) mobilise les principales organisations du «lobby juif» américain, une armée d'avocats alléchés par la perspective de commissions juteuses sur quelque 350 000 survivants des camps et leurs descendants. Ces derniers risquent fort d'être les premières victimes du «Shoah business».

https://www.liberation.fr/planete/1998/12/01/le-shoah-business-inquiete-les-juifs-americains-des-associations-de-victimes-se-disputent-le-marche-_254864/

Existe-t-il un lobby du 18-25?

Des armes israéliennes auraient été utilisées en 1994 au Rwanda

https://fr.timesofisrael.com/des-armes-israeliennes-auraient-ete-utilisees-en-1994-au-rwanda/

Yair Auron explique devant le tribunal : « Envoyer des armes dans un pays où un génocide se déroule est semblable à l’envoi d’armes à l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Nous avons fourni des armes à la Serbie pendant l’embargo, et nous avons fourni des armes au gouvernement rwandais lors du génocide ».

A cette période, Yitzhak Rabin était à la fois ministre de la Défense et Premier ministre. Shimon Peres était ministre des Affaires étrangères. Bien que profondément impliqués dans les efforts de paix en 1994, les pétitionnaires estiment que l’approbation d’un envoi d’armes depuis l’aéroport Ben Gurion, ne pouvaient avoir eu lieu à leur insu.

mais pas de chance

Les archives des ventes d’armes israéliennes durant le génocide rwandais resteront closes

https://fr.timesofisrael.com/les-archives-des-ventes-darmes-israeliennes-durant-le-genocide-rwandais-resteront-closes/

Il n'avait pas froid aux yeux le Mitterrand, à l'époque si un dissident donnait ne serait-ce que l'impression d'en parler il se prenait une prise et ne se relevait pas https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2013/01/29/retour-israel-reconnait-avoir-controle-les-naissances-des-immigrees-ethiopiennes_6001547_4832693.html

https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2013/01/29/retour-israel-reconnait-avoir-controle-les-naissances-des-immigrees-ethiopiennes_6001547_4832693.html

Le Dépo-Provera, d'une durée d'action de trois mois, fait partie des progestatifs injectables, une méthode hormonale de contraception. Il ne s'utilise en général qu'en dernier recours, lorsqu'il n'est pas possible d'utiliser d'autres méthodes contraceptives, pour les femmes placées en institution ou souffrant de handicap par exemple. 57 % de ses usagers en Israël seraient éthiopiens, alors que cette communauté ne représente que 2 % de la population du pays.

Depuis les années 1980, près de 100 000 Falachas (ou Beta Israel) ont quitté l'Ethiopie en vertu de la loi du retour, votée en 1950, qui garantit à tout juif le droit d'émigrer en Israël. Mais la question de la judéité de ces "Juifs noirs" est régulièrement remise en question par certains rabbins et les franges les plus radicales de la population.

EPSTEIN FAISAIT DU CHANTAGE AUX POLITICIENS POUR LE MOSSAD

Le financier étatsunien décédé et délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein et sa petite amie Ghislaine Maxwell étaient des espions israéliens qui utilisaient des filles mineures pour faire chanter les politiciens afin qu’ils donnent des informations à Israël, selon leur présumé maître d’œuvre du Mossad.

Le couple aurait mené une opération de » piège à miel » dans le cadre de laquelle ils ont fourni des jeunes filles à des politiciens éminents du monde entier en échange de faveurs sexuelles, puis se seraient servis de ces incidents pour les faire chanter afin d’obtenir des informations pour les services de renseignements israéliens.Ces allégations sont faites par le présumé ancien espion israélien Ari Ben-Menashe dans un livre qui sera bientôt publié, » Epstein » : Epstein : Dead Men Tell No Tales » dans lequel il dit être le contact du père de Ghislaine, Robert Maxwell, qui était aussi un agent d’espionnage israélien et qui a présenté sa fille et Epstein au Mossad.

« Vous voyez, faire l’imbécile n’est pas un crime. Cela pourrait être embarrassant, mais ce n’est pas un crime », a écrit Menashe dans le livre. « Mais baiser une fille de 14 ans est un crime. Et il prenait des photos de politiciens en train de baiser des filles de 14 ans… si vous voulez bien comprendre… Ils [Epstein et Maxwell] auraient fait du chantage aux gens comme ça. »

Le suspect étatsunien du trafic sexuel Epstein a révélé ses liens avec l’Israélien Barack.

Le responsable Ben-Menashe, lui-même un homme d’affaires israélien né en Iran qui dit avoir travaillé pour le Mossad de 1977 à 1987, est un personnage mystérieux qui a été arrêté en 1989 aux États-Unis pour trafic d’armes. Il a été acquitté en 1990, seulement après qu’un jury ait accepté qu’il agissait au nom de l’État israélien. Israël a alors nié que Menashe ait des liens avec ses services de renseignement et a tenté de se distancer de lui, malgré le fait que d’autres rapports de presse, tant aux États-Unis qu’en Israël, aient confirmé qu’il agissait pour le compte du pays.

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GneuChonkle25
Date de création
9 février 2023 à 15:43:46
Date de suppression
9 février 2023 à 16:04:00
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