Le Marquis du Lidl, d'après Alexandre Dumas
Le Marquis du Lidl
Prologue
D'Artagnan, le lieutenant des mousquetaires, se présenta devant le roi Louis XIV. Il était venu pour annoncer une nouvelle qui allait certainement susciter une grande surprise chez le souverain. D'Artagnan s'avança avec assurance et détermination. Il s'inclina respectueusement devant le roi, puis s'exprima avec une grande solennité. Il lui révéla alors la nouvelle qui, il en était certain, allait bouleverser le cours des choses.
« Majesté, je viens vous annoncer que je quitte mon poste de lieutenant des mousquetaires pour travailler au Lidl. J'ai décidé de prendre cette décision car je souhaite me consacrer à une carrière plus stable et plus lucrative. Je sais que cela peut paraître étrange, mais je pense que c'est la meilleure chose à faire pour moi et pour ma famille.»
Le roi, abasourdi par l'annonce qui venait de lui être faite, resta un moment sans voix. Il était loin de s'attendre à une telle nouvelle et il lui fallut un certain temps pour réaliser la portée de ces mots. Une fois la surprise passée, Louis se tourna vers d'Artagnan et, après avoir médité un instant, lui déclara :
« Je comprends votre décision et je vous souhaite bonne chance dans votre nouvelle carrière. Je sais que vous serez un grand atout pour le Lidl et je vous souhaite tout le succès possible.»
Le Souverain, plus que quiconque, était conscient de l'impact que la chaîne de magasins Lidl avait sur son royaume. Il percevait leur contribution à la prospérité de son domaine, et leur capacité à offrir des produits de qualité à des prix abordables. Il savait que cette entreprise était un atout pour son peuple, et qu'elle leur permettait de vivre plus confortablement. Il était conscient que cette chaîne de magasins était un moteur de l'économie, et qu'elle contribuait à la stabilité et à la croissance de son royaume. Il comprenait que Lidl était un partenaire précieux pour son peuple, et qu'elle leur offrait des opportunités qu'ils n'auraient pas autrement. Le roi était conscient que Lidl était un atout pour son royaume, et il était reconnaissant pour leur contribution à sa prospérité.
L'honneur qui émanait de la bénédiction royale était pour D'Artagnan une source de fierté et de motivation. Il se sentait prêt à relever ce nouveau défi, à s'engager dans cette aventure avec une détermination sans faille. Il était conscient que cette mission serait difficile, mais il était prêt à affronter les obstacles qui se dresseraient devant lui et à relever le défi avec courage et détermination.
Par la force des choses, le Roi Louis XIV, souverain de la nation française, devait se présenter la même journée devant une multitude de personnes pour prononcer un discours qui expliquerait pourquoi le Lidl était son magasin préféré. Il était conscient que cette déclaration serait scrutée par les yeux et les oreilles de ses sujets, et qu'elle serait donc d'une importance capitale. Il se tenait là, à la fois intimidé et honoré par la tâche qui lui incombait, et il était prêt à partager avec ses sujets les raisons qui le poussaient à choisir le Lidl comme son magasin préféré.
« Mes chers sujets, je vous parle aujourd'hui du Lidl, mon magasin préféré. Je suis un grand fan de ce magasin car il offre une variété de produits à des prix très abordables. Je peux trouver tout ce dont j'ai besoin pour ma maison et pour mon royaume.
Le Lidl est également très pratique car il est situé à proximité de mon château. Je peux y aller facilement et rapidement, ce qui me permet de faire mes courses sans perdre trop de temps.
Enfin, le Lidl est très bien organisé et propre. Les employés sont toujours très serviables et sympathiques. Ils sont toujours prêts à m'aider à trouver ce dont j'ai besoin et à me donner des conseils sur les produits.
Voilà pourquoi le Lidl est mon magasin préféré. Je vous encourage à y faire vos courses et à profiter des nombreux avantages qu'il offre.»
Les acclamations de la foule résonnaient dans l'air, témoignant de l’enthousiasme de la populace envers le discours qui venait d’être prononcé par le Roi. Les visages s'illuminèrent, et les cœurs s'emplirent de joie à l'idée de pouvoir bénéficier des bienfaits du Lidl.
Le lendemain, D'Artagnan s'éveilla à l'aube, et entreprit de se préparer pour sa première journée de labeur. Il s'habilla avec soin, et se prépara à affronter les défis qui l'attendaient. Il était conscient que cette journée serait déterminante pour son avenir, et il était déterminé à faire de son mieux. Il se sentait prêt à relever les défis qui se présenteraient à lui, et à faire face aux difficultés qui se dresseraient sur sa route. Il était prêt à affronter le monde et à montrer ce dont il était capable.
D'Artagnan s'empressa de revêtir son uniforme de Lidl, et se mit en route pour le magasin. Il se sentait fier et honoré de pouvoir porter cet uniforme, symbole de sa nouvelle mission. Il marchait d'un pas décidé, conscient que cette journée allait être déterminante pour son avenir. Il était impatient de découvrir ce que le magasin lui réservait, et de voir comment il allait s'en sortir. Il était nerveux, mais aussi excité à l'idée de commencer une nouvelle aventure.
Une fois arrivé au magasin, D'Artagnan fut accueilli par le directeur, qui lui expliqua les tâches qu'il devrait effectuer. Il devrait aider à réapprovisionner les rayons, à nettoyer le magasin et à aider les clients. D'Artagnan était un peu déçu de ne pas avoir à se battre, mais il était prêt à relever le défi. La journée passa rapidement et D'Artagnan s'aperçut qu'il aimait son nouveau travail. Il était heureux de pouvoir aider les clients et de voir le magasin se remplir de produits.
Alors que le soleil commençait à décliner à l'horizon, un individu encapuchonné s'introduisit dans le magasin. Il se dirigea vers les rayons, et s'empara de produits qu'il tenta de subtiliser. Ce n'était pas Léo. Son intention était claire, mais il ne réussit pas à mener à bien son projet, et fut contraint de quitter les lieux sans avoir pu réaliser son forfait. D'Artagnan s'était précipité pour l'arrêter et avait réussi à le maîtriser. Le directeur était très impressionné par son courage et sa détermination, et D'Artagnan était fier de lui-même. Il était heureux d'avoir pu servir à quelque chose et de s'être montré à la hauteur.
Après quelques jours de travail acharné, le directeur du magasin s'adressa à D'Artagnan. Il était visiblement impressionné par le dévouement et l'engagement dont il avait fait preuve :
« D'Artagnan, je suis très impressionné par votre travail et votre dévouement. Vous êtes un vrai héros et je vous offre une promotion. Vous serez désormais responsable de la sécurité du magasin.»
D'Artagnan était transporté de joie à l'idée de pouvoir assumer cette nouvelle responsabilité. Il se sentait honoré de pouvoir contribuer à la protection du magasin et de ses clients. Il était conscient d'avoir trouvé sa vocation et d'être à sa place. Sa fierté était immense et il se sentait investi d'une mission.
Autrefois lieutenant des mousquetaires, D’Artagnan avait décidé se réinventer et de trouver un nouveau métier. Il s'était donc tourné vers la grande distribution et avait trouvé un emploi dans un magasin Lidl, où il était chargé de veiller à la sécurité des lieux. Il s’efforçait désormais de maintenir l'ordre et la paix dans le magasin.
Un jour, alors qu'il était de service, un groupe disparate de huguenots et d'Espagnols, armés jusqu'aux dents, s'abattit sur le magasin. Une scène de chaos et de confusion s'ensuivit, les assaillants se ruant à l'intérieur, leurs armes étincelant dans la lumière du soleil. Les employés se précipitèrent pour se mettre à l'abri, mais il était trop tard. Les assaillants étaient déterminés à prendre ce qu'ils voulaient et à ne pas être arrêtés. Ils pillèrent le magasin, emportant tout ce qui leur tombait sous la main.
D'Artagnan se rua à l'intérieur, sa voix résonnant dans tout le magasin. Il s'écria avec une autorité qui ne souffrait aucune contestation : « Arrêtez ! Vous n'avez pas le droit de commettre une telle infraction ! » Sa présence imposante et son ton déterminé firent taire les occupants du Lidl, qui se figèrent sur place. D'Artagnan avait réussi à imposer son autorité et à faire cesser l'action illégale qui était en train de se dérouler.
Les huguenots et les Espagnols s'immobilisèrent, leurs yeux s'écarquillant de surprise. Un des Espagnols s'avança, scrutant l'inconnu avec une expression interrogative. Sa voix résonna dans l'air, portant la question qui leur brûlait les lèvres : « Qui êtes-vous ? ». Une question qui, à cet instant, semblait plus importante que toutes les autres.
« Je suis D'Artagnan, ancien lieutenant des mousquetaires » , répondit-il fièrement. « Et je ne vous laisserai pas faire de mal à ce magasin. »
Les rires des huguenots et des Espagnols s'élevèrent dans l'air, résonnant dans la pièce. L'un des Espagnols s'adressa alors à l'homme courageux qui se tenait devant eux :
« Vous êtes un homme courageux, certes, mais vous ne pouvez pas nous arrêter ». Ces mots furent prononcés avec une assurance qui ne laissait aucun doute quant à leur sincérité. Les Espagnols étaient convaincus que leur force et leur nombre étaient supérieurs à celui de l'homme courageux, et qu'il ne pourrait pas les empêcher de poursuivre leur méfait.
« Peut-être pas, mais je peux vous demander de partir » , répondit D'Artagnan. « Je vous promets que si vous partez maintenant, je ne vous dénoncerai pas à la police. »
L'instant était chargé d'une tension palpable. On aurait pu entendre une mouche voler. Les deux camps s'observaient, chacun attendant que l'autre fasse le premier pas. Les huguenots et les Espagnols hésitèrent un instant, puis ils se retirèrent. Grâce à son courage et à sa bravoure, il avait réussi à sauver le magasin et ses clients des griffes de l'ennemi. Une fois la menace écartée, les clients poussèrent un soupir de soulagement et remercièrent D'Artagnan pour son intervention.
Le Marquis du Lidl
Chapitre 1 : La jeune femme aux cheveux d'or
Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht, la caissière hollandaise à la poitrine généreuse, était de retour au Lidl, après son arrêt maladie, et elle était ravie de retrouver le soleil de cette belle journée d'été à Paris. Elle s'était absentée pendant plusieurs semaines, et elle était heureuse de retrouver ses collègues et ses clients, avec qui elle partageait des conversations animées et des rires complices. Elle était également ravie de retrouver le rythme effréné de la caisse, qui lui permettait de s'évader dans un monde de mouvement et de concentration, où elle pouvait oublier ses soucis et s'immerger dans un état de bien-être et de satisfaction. La caissière avait passé des semaines à se remettre de sa maladie, et elle était impatiente de retrouver ses collègues et ses clients. Elle se sentait revigorée par le soleil et l'air frais, et elle était prête à reprendre son poste avec enthousiasme. Elle savait que sa présence était nécessaire pour maintenir le bon fonctionnement du magasin, et elle était déterminée à offrir le meilleur service possible à ses clients.
Elle était vêtue d'une robe blanche immaculée, ornée d'un tablier bleu ciel, et ses cheveux blonds, soyeux et brillants, étaient attachés en une queue de cheval élégante et raffinée. Sa silhouette gracieuse et élancée était mise en valeur par sa tenue, et ses yeux bleus pétillants, qui reflétaient la lumière du soleil, ajoutaient une touche de charme à sa beauté naturelle. Elle ne portait point l'uniforme du Lidl, mais cela ne semblait pas déranger son manager ni aucun autre employé. Elle était une exception à la règle, une île de liberté dans un océan de conformité. Sa présence était comme une brise de fraîcheur qui s'insinuait dans le quotidien monotone de l'entreprise, et elle était toujours accueillie avec un sourire et une chaleur qui réchauffaient le cœur de ses collègues. Elle était une source d'inspiration pour tous ceux qui la côtoyaient, une muse qui les encourageait à s'élever au-dessus des conventions et à s'épanouir dans leur individualité.
Elle était une caissière d'une efficacité remarquable, qui s'appliquait à offrir à ses clients un service impeccable. Elle se montrait diligente et assidue, s'efforçant de satisfaire les attentes de chacun avec une détermination sans faille. Son travail était un véritable modèle de précision et de minutie, et elle s'acquittait de ses tâches avec une grande habileté et une remarquable adresse. Sa dévotion à son métier était telle qu'elle ne ménageait pas ses efforts pour s'assurer que chaque client était entièrement satisfait.
Elle prenait le temps de s'entretenir avec eux, de leur prodiguer des conseils avisés sur les articles qu'ils s'apprêtaient à acquérir. Elle était une source inépuisable de sagesse et de bienveillance, dispensant ses précieux avis avec une infinie patience et une grande délicatesse. Sa voix douce et mélodieuse, empreinte d'une sagesse ancestrale, résonnait dans le magasin, enveloppant les clients d'un cocon de bienveillance et de chaleur. Elle était un véritable trésor pour tous ceux qui avaient la chance de la rencontrer, un ange gardien qui leur offrait ses précieux conseils.
Malgré son labeur incessant, Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht trouvait toujours le moyen de s'adonner à des divertissements et de savourer la vie. Elle affectionnait particulièrement les escapades à la plage et à la piscine, et elle était ravie de se rendre en compagnie de ses amis dans des lieux où elle pouvait s'abandonner à la danse et à la joie. Elle était une âme sociable, toujours à la recherche de nouvelles rencontres. Elle était comme un papillon qui s'envolait de fleur en fleur, s'arrêtant pour savourer chaque nouvelle conversation et chaque nouvelle personne qu'elle rencontrait. Elle était une fontaine de joie et de bonheur, qui répandait sa chaleur et sa lumière sur tous ceux qui croisaient son chemin. Elle était une source inépuisable de sagesse et de connaissance, qui partageait ses richesses avec tous ceux qui étaient prêts à l'écouter. Elle était une fée des mots, qui enchantait les cœurs et les esprits avec ses mots magiques et ses métaphores poétiques.
Mais sa maladie avait été longue et pénible, comme un voyage interminable à travers un paysage désolé et inhospitalier. Elle avait été une épreuve cruelle et douloureuse, une lutte acharnée contre des forces invisibles qui l'avaient affaiblie et minée jusqu'à ce qu'elle soit à bout de forces. Elle avait été une lente et inexorable descente aux enfers, un voyage sans fin à travers les ténèbres de la souffrance et de la douleur. Elle avait été une longue et interminable agonie, un supplice cruel et insupportable qui avait laissé des traces indélébiles sur son âme et son corps.
La jeune femme aux cheveux d'or, retourna au Lidl après son arrêt maladie, le cœur lourd et les yeux embués. Elle avait passé des jours interminables à se remettre de sa maladie, à s'accrocher à l'espoir de retrouver sa vie d'avant. Elle avait lutté contre la douleur et la fatigue, et s'était armée de courage pour affronter le monde extérieur. Elle avait fait face à ses démons intérieurs et avait trouvé la force de reprendre le cours de sa vie. Elle était prête à reprendre son travail, à affronter les regards curieux et les murmures des autres employés. Elle était prête à reprendre sa place et à reprendre le combat pour sa survie.
Seulement le retour au travail de la caissière s'annonçait comme un voyage périlleux, parsemé d'obstacles et de difficultés. Lors de son retour au travail au Lidl après son arrêt maladie, elle fut confrontée à une situation inédite et surprenante, qui dépassait tout ce qu'elle avait pu rencontrer auparavant dans sa carrière de caissière. Elle se retrouva face à un défi inattendu, qui lui paraissait presque insurmontable, et qui la plongea dans un état d'incertitude et d'anxiété. Elle se sentit submergée par une vague de confusion et de doute, et elle se demanda si elle serait capable de surmonter cette épreuve inédite. Elle se sentit soudainement dépassée par l'ampleur de la tâche qui l'attendait, et elle se demanda si elle serait à la hauteur de cette situation extraordinaire.
En cette journée fatidique, elle se retrouva face-à-face avec le nouvel employé D'Artagnan, un ex-mousquetaire qui était désormais chargé de la sécurité du magasin. Son allure martiale et sa stature imposante ne lui inspirèrent pas de bons égards, et ses manières frustres et rustres ne firent qu'accroître son sentiment de méfiance. Son regard perçant et ses gestes brusques ne laissèrent aucun doute quant à sa nature impétueuse et autoritaire, et elle se sentit intimidée par sa présence imposante. Sa posture arrogante et son attitude hautaine ne lui inspirèrent pas de sympathie, et elle se demanda si elle pourrait jamais s'habituer à sa présence.
Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht était abasourdie de voir D'Artagnan et elle ne put s'empêcher de lui adresser une question, empreinte d'une curiosité mêlée d'incrédulité : « Que faites-vous ici ? Vous étiez un mousquetaire, n'est-ce pas ?». Elle le dévisageait avec une expression de surprise, ses yeux s'agrandissant à mesure que ses pensées se bousculaient dans sa tête. Elle se remémorait avec frayeur sa silhouette élancée et son air déterminé lorsqu'il s'était précipité, l'épée à la main, pour apaiser les insurgés lors de l'émeute de Paris où elle-même brandissait une banderole clamant : « Defund the musketeers».
D'Artagnan répondit : « Oui, j'étais mousquetaire. Mais je me suis retiré de l'armée et je suis venu travailler ici. Je suis chargé de la sécurité du magasin. »
Mlle d'Utrecht était très sceptique et elle répliqua avec une pointe de dédain : « Je ne comprends pas pourquoi vous avez choisi ce travail. Vous étiez un mousquetaire, vous auriez pu trouver un travail plus intéressant, plus prestigieux, plus gratifiant et plus exaltant. »
D'Artagnan répondit : « Je ne voulais pas rester dans l'armée. Je voulais faire quelque chose de différent. Et je pense que je peux être utile ici. »
-- Je ne suis pas sûre que vous soyez à la hauteur de la tâche, renchérit Mlle d'Utrecht. Vous n'avez pas l'air très compétent.
-- Bah, Je suis plus compétent que vous ne le pensez. Je sais ce que je fais et je peux vous assurer que je ferai un excellent travail.
-- Je n'en suis pas si sûre. Je pense que vous devriez trouver un autre travail.
D'Artagnan était en proie à une fureur incontrôlable, et il répliqua avec une détermination farouche : « Je ne m'en irai pas, Mordious ! Je suis venu pour m'établir ici et je m'acquitterai de ma tâche avec une grande efficacité. Vous verrez bientôt de quoi je suis capable. » Sa voix était empreinte d'une assurance inébranlable, et ses yeux lançaient des éclairs de défi. Il était prêt à affronter tous les obstacles qui se dresseraient sur sa route, et à prouver à ses détracteurs qu'il était capable de réaliser des exploits extraordinaires.
Le 06 février 2023 à 22:40:49 :
La qualité putain ça fait longtemps que j'avais pas lu ça, merci kheyou
Merci. Ça fait plaisir à entendre.
Bientôt le chapitre 2. Je travaille dessus en ce moment.
Le 06 février 2023 à 22:40:49 :
La qualité putain ça fait longtemps que j'avais pas lu ça, merci kheyou
Merci. Ça fait plaisir à entendre.
Bientôt le chapitre 2. Je travaille dessus en ce moment.
up
c'est bien écrit, ça te prend combien de temps à écrire les paragraphes ?
Le 06 février 2023 à 22:58:04 :
upc'est bien écrit, ça te prend combien de temps à écrire les paragraphes ?
L'écriture en elle même ne prend pas beaucoup de temps. C'est trouver les idées qui est plus long.
Le 06 février 2023 à 22:58:04 :
upc'est bien écrit, ça te prend combien de temps à écrire les paragraphes ?
L'écriture en elle même ne prend pas beaucoup de temps. 15-20 min peut-être. C'est trouver les idées qui est plus long mais c'est un truc qui se fait tout seul au fil de la journée en y pensant de temps en temps. Par contre, comme tout travail créatif c'est usant.
Le Marquis du Lidl
Chapitre 2 : Où sa Majesté est tirée, par la bravoure de D’Artagnan, d’un péril certain
Les gouttes de pluie s'abattaient sur Paris, ce jour-là, comme si le ciel lui-même pleurait sur la tristesse de la ville. Les habitants se préparaient à affronter les intempéries, enfilant leurs manteaux et leurs chapeaux pour se protéger des eaux torrentielles qui s'abattaient déjà sur la métropole. Les rues se remplissaient de flaques et les gouttières débordaient, tandis que tout un chacun se hâtait de rentrer chez lui pour se mettre à l'abri.
À Versailles, les rues étaient désertes et le silence régnait, seulement troublé par le bruit de la pluie qui tombait sur les toits. Le roi Louis, assis sur son trône, se sentait oppressé par l'ennui. Il regardait autour de lui, mais ne trouvait aucun réconfort dans les murs de son palais. Les courtisans qui l'entouraient étaient silencieux et immobiles, comme s'ils attendaient quelque chose.
Soudainement, le roi sursauta sur son trône. Il avait pris sa décision.
Le roi Louis XIV, s'ennuyant et n'ayant rien à faire, il se décida soudainement à aller faire ses courses au Lidl. Il était bien conscient que cette tâche ne serait pas aussi palpitante que les affaires de l'État, mais il était aussi conscient que c'était une tâche nécessaire et qu'il devait s'en acquitter. Ainsi, il se mit en route pour le Lidl, espérant trouver là-bas des produits de qualité et des prix abordables.
Parallèlement, Jean, membre du tiers état et frondeur, se trouvait dans la même situation que le roi. Il allait donc lui aussi faire ses courses. C’est ainsi que Jean se dirigeait d'un pas décidé vers le Lidl, l'endroit où il pourrait trouver tout le nécessaire. Il se sentait comme un chevalier partant à la recherche du Graal, et il était déterminé à trouver ce dont il avait besoin pour satisfaire ses besoins. Comme il avait hâte d’arriver, il se mit à marcher plus vite, impatient de voir ce que le Lidl lui réservait.
Plus tard, alors que Jean était en train de parcourir les rayons du magasin, ses yeux s'arrêtèrent sur un produit qui lui semblait intéressant. Il s'apprêtait à le prendre quand il entendit une voix familière derrière lui.
« Bonjour Jean, comment allez-vous ? »
Jean se retourna, stupéfait, et découvrit le roi Louis XIV qui se tenait devant lui. La majesté de sa présence était telle que Jean ne put s'empêcher de rester bouche bée, subjugué par la grandeur de ce monarque qui incarnait à lui seul la puissance et la gloire de la France.
« Votre Majesté, que faites-vous ici ? »
Le roi, dont le visage était illuminé par un sourire bienveillant, se tenait debout devant Jean. Son sourire était comme message d'espoir et de réconfort, et Jean se sentait honoré d'être en sa présence.
« Je fais mes courses, comme vous. Je suis venu ici pour trouver des produits de qualité à un prix raisonnable. »
Jean était abasourdi. Il ne s'attendait pas à ce que le roi soit si proche du peuple.
« Votre Majesté, je suis honoré de vous rencontrer. Je suis un frondeur et je me bats pour les droits des membres du tiers état. »
Le roi hocha la tête.
« Je comprends. Je sais que vous avez des opinions différentes des miennes, mais je vous respecte et je vous écouterai. »
Jean était surpris. Il ne s'attendait pas à ce que le roi soit si ouvert.
« Votre Majesté, je pense que nous devrions faire la paix. Je crois que nous pouvons trouver un terrain d'entente. »
Le roi sourit.
« Je suis d'accord. Je pense que nous pouvons trouver un moyen de nous entendre. »
Jean et le roi se serrèrent la main et firent la paix. Ils réalisèrent qu'ils avaient plus en commun qu'ils ne le pensaient. Ils partagèrent leur amour pour les produits du Lidl et leur respect pour le peuple. Ce jour-là, Jean et le roi firent la paix et réalisèrent grâce à Lidl qu'ils étaient plus proches qu'ils ne le pensaient. Le bonheur de cette rencontre, qui avait illuminé leurs cœurs et leurs âmes, devait malheureusement être terni par un malheur équivalent. Alors qu’il venait de quitter Jean pour terminer ses courses, le roi venait d’apercevoir Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht.
Les frondeurs étaient une force impétueuse et indisciplinée, mais, en leur parlant, le roi savait qu’il pouvait en convaincre bon nombre d’entre-eux. Mais tout les frondeurs ne pouvaient pas être aussi raisonnables que Jean. Le roi Louis XIV, dans un élan de discrétion, s'était caché dans une allée. Il ne voulait pas être aperçu par la caissière hollandaise, dont la poitrine généreuse était visible à travers sa robe. Il se tenait là, immobile, attendant que le danger soit passé. Louis XIV se disait que parmi tous les frondeurs, elle était la pire. Une menace pour son trône et pour son royaume, elle était une force à ne pas sous-estimer.
Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht était une femme de caractère qui ne se laissait pas faire. Depuis que le roi avait proposé sa réforme des pensions royales pour les membres du tiers état, elle militait activement contre lui, déterminée à faire entendre sa voix et à défendre ses convictions.
Hendrika-Magdaleentje Ingeborg d'Utrecht militait activement contre le roi, depuis sa proposition de réforme des pensions royales pour les membres du tiers état.
Louis XIV se disait que si on la laissait faire, elle causerait la fin de son régime. Il était conscient que cette situation était très précaire. Il était persuadé qu'il devait prendre des mesures pour éviter que cela ne se produise. Le roi savait qu'il devait agir rapidement et avec détermination pour sauver son royaume.
Mais pour le moment, il valait mieux ne pas se montrer. Le roi, conscient de la nécessité de se cacher pour le moment, s'était retiré dans l'ombre d’une allée mal-éclairée au fond du magasin. Il savait que sa présence ne devait pas être connue, et qu'il devait rester caché pour le moment. Il se sentait impuissant face à la situation, mais il savait qu'il devait attendre le bon moment pour révéler sa présence.
Le pire, se disait le roi, c’était que Mlle d'Utretch était une femme dont la poitrine était un joyau de perfection. Ses seins, qu’on devinait à travers son vêtement, étaient des merveilles de la nature, des globes parfaits qui semblaient avoir été sculptés par les mains d'un artiste divin. Le roi se disait qu’ils étaient sûrement doux et fermes, comme des pommes mûres, et leur couleur devait être celle des roses les plus pures. Si elle n’avait pas été une harpie, il aurait aimé l’inviter dans son château. Cette femme suscitait toujours chez le roi un sentiment de fascination. Sa beauté était telle qu'il aurait aimé l'inviter dans son château, si seulement elle n'avait pas été une harpie, se disait-il, créature maléfique dont le caractère acariâtre et la langue acérée étaient aussi redoutables que les griffes de ses ailes.
Alors qu’il se dissimulait dans le Lidl, le roi aperçut d'Artagnan qui patrouillait. La présence imposante de l’ex-mousquetaire résonnait dans les allées du magasin. Le roi s'arrêta et regarda d'Artagnan avec admiration, car il savait que cet homme était un grand guerrier et un fidèle serviteur de la couronne.
Le roi, caché dans l'ombre, fit un petit bruit. D'Artagnan, qui l'avait aperçu, s'approcha et lui demanda : « Que faites-vous caché ici votre majesté ? »
Le roi resta silencieux, comme s'il était pris en faute. D'Artagnan attendit une réponse, et le roi lui répondit enfin : «Je me cachais, pour échapper à cette furie hollandaise».
D'Artagnan s'adressa alors au roi : «Voulez-vous parler de Mlle d'Utretch ?». Le roi acquiesça d'un simple «Oui», et un silence s'installa entre eux, comme si le nom de cette jeune femme avait éveillé eux deux à la fois des souvenirs douloureux.
D'Artagnan s'adressa alors au roi avec une grande assurance : «Votre Majesté, je vais détourner l'attention de votre ennemie. Profitez de cette occasion pour vous échapper, je vous en conjure. »
Le roi, reconnaissant, hocha la tête et s'éclipsa discrètement. D'Artagnan, quant à lui, se tourna vers Mlle d'Utretch et se mit à lui parler avec une grande assurance. D'Artagnan, le visage illuminé par une feinte curiosité, s'adressa à Mlle d'Utretch avec une question qui semblait lui brûler les lèvres. Il s'agissait de savoir si elle était en mesure de lui fournir un produit spécifique qu'un client avait demandé à trouver dans le Lidl. Elle alla chercher le produit en question et le roi fut en mesure de quitter le magasin sans encombre.
À la suite de l’incident, le roi se trouva profondément reconnaissant envers d'Artagnan, cet homme dont le courage et la bravoure l'avaient sauvé de cette situation périlleuse.
Le 07 février 2023 à 19:46:40 :
AHI rédiger le tout en 15 minutes. Tu lis combien de livres par semaine ?
Moins que je voudrais. J'ai du mal à lire en ce moment.
Le 07 février 2023 à 19:46:40 :
AHI rédiger le tout en 15 minutes. Tu lis combien de livres par semaine ?
Environ 15-20 minutes par chapitre.
Je lis moins que je voudrais. J'ai du mal à lire en ce moment.
Données du topic
- Auteur
- Psodeu12
- Date de création
- 6 février 2023 à 22:21:45
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