[BORDEL] Ce massacre commis par un CARTEL MEXICAIN
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_2011_%C3%A0_San_Fernando
Bordel est ce que ça existe pire engeance du démon que les cartels mexicains ?
"Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.
Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville1.
Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des masques de ski et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.
Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demandé d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».
Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demandé de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus où tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers1.
Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée »"
Le 31 janvier 2023 à 18:39:32 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_2011_%C3%A0_San_Fernando
Bordel est ce que ça existe pire engeance du démon que les cartels mexicains ?"Le 18 avril 2011, le journal mexicain El Informador publie le témoignage anonyme d'un survivant du massacre du 25 mars.
Selon son témoignage, il se trouvait ce jour-là dans un autobus de la compagnie Autobuses de Oriente (ADO) en direction de Reynosa, une ville industrielle située au bord du Río Grande, à la frontière avec les États-Unis. En début de soirée, le bus fait son arrêt obligatoire à San Fernando. À la station, deux personnes descendent et deux autres montent, pour un total de 15 passagers. Le chauffeur reprend la route à environ 20 h 30 le plus vite possible, effrayé à l'idée d'être victime d'un des cartels qui opèrent en ville1.
Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des masques de ski et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.
Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demandé d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».
Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demandé de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus où tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers1.
Le Comandante 40 leur dit alors : « bienvenue chez les Forces spéciales Zetas, l'autre armée »"
BTG désolé mais il fallait le dire.
Le 31 janvier 2023 à 18:50:58 :
je comprends pas comment ils peuvent se dire chrétiens du coup
Le culte de la muerte.
Le 31 janvier 2023 à 18:50:58 :
je comprends pas comment ils peuvent se dire chrétiens du coup
Tout le monde se drape de religion pour cacher leurs vices et faire une façade pour ne pas s'entretuer entre truands, mais ils sont très loin de la religion quand on sait tout ceci...
continue de leur faire de la publicité
c'est une belle preuve d'intelligence
Données du topic
- Auteur
- Lameromodo151
- Date de création
- 31 janvier 2023 à 18:39:32
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