Sept heures, je me lève. Pas besoin de réveil, mon corps est programmé pour se lever à cette heure. Je me lève lourdement de mon matelas au sol pour nettoyer mon corps encore couvert de la sueur du jour précédant et je remets le même t-shirt
Vers huit heures, une Kro et une Gitane plus tard, je marche sous le ciel gris jusqu'au PMU le plus proche de chez moi. Les clients sont déjà là, des maghrébins du bâtiment travaux publics avec des habits sales et surtout des grosses mains aux ongles sales de travailleurs manuels virils
Je m'assoie à l'arrêt de bus le plus proche et j'attends qu'un daron rebeu sorte du PMU. J'ai mes critères, je sais ce que j'aime. Je les aime trapus, poilus mais surtout j'aime les hommes qui sentent. Souvent ils sentent un mélange de sueur, de pisse, de café et de bière de superette indienne. Tout ce que j'adore
Une fois la cible bloquée je le suis dans le bus et je fais en sorte de m'asseoir à côté de lui. Là, je me serre du mieux que je peux à lui pour me délecter de toutes ces effluves et je reste jusqu'à ce qu'il descende du bus. Je descends généralement un arrêt suivant et je rentre chez moi me masturber