[REDPILL] l'ECOLE sert UNIQUEMENT à vous BRISER
Vous étiez bons à l'école et en même temps vous passiez votre temps à rêvasser ? Rien de nouveau ici car c'est exactement comme ça que faisait les grands inventeurs et scientifiques, edison par exemple, s'assayait sur sa chaise en laissant son esprit vagabonder, qui revenait sur le sujet de façon plus relaxée sur le problème, l'école vous apprend à être sous tension et vous détruit mentalement et intellectuellement vous ne pouvez pas apprendre car l'école vous plonge dans un stress permanent
La confusion est un élément sain du processus d’apprentissage. Quand des étudiants abordent un problème, et qu’ils ne savent pas comment le résoudre, ils décident souvent qu’ils ne sont pas bons dans la matière concernée. Les étudiants les plus brillants, en particulier, éprouvent parfois ce genre de difficultés : comme ils ont suivi une scolarité sans anicroche au lycée, ils n’ont aucune raison de penser que la confusion est normale et nécessaire. Mais le processus d’apprentissage consiste précisément à sortir de la confusion par le travail. Formuler clairement sa question représente 80 % de la tâche. Quand vous aurez compris ce qui prêtait à confusion, il est probable que vous aurez aussi trouvé la réponse à votre question ! C'est précisement parceque vous avez été particulièrement bon et intelligent que vous deviendrez médiocre par la suite du choc du système industriel de l'éducation
Les enfants de l'élite se la coule douce durant l'enfance en étudiant peu mais bien tandis que les futurs ouvriers sont soumis à l'école-usine et à la tension permanente tout en se faisant berner par le mythe de la concentration perpétuelle aliéanant in fine l'individu
Vous pensez vraiment qu'obliger des enfants à amputer leur sommeil de précieuses heures, de se réveiller subitement à 6H de matin pour s'engouffrer dans le stress métropolitain est bénéfique pour le cerveau ?
Le fait d'avoir dormis toute votre jeunesse moins de 10h par nuit et vous être levé systématiquement à 6H du matin vous a sans doute grillé une partie des neurones
Les enfants sont des sauvages qu'il faut éduquer
Éduquer à s'intégrer dans la société
Société française de 2022
Donc c'est assis vissé sur une chaise, apprendre à avoir des horaires, à être enfermé, domestication par des plannings, CPE et surveillants, longues études pour finir d'être lobotomisé sur les bancs de l'université d'une zone urbaine
Arriver à 20,25 ans bien formaté pour consommer, voter, bosser, s'intégrer dans la société (être un rouage)
L'école forme de la main d'oeuvre pas des créatifs, c'est les élites qui s'occupe de voler la création et de l'attribuer a sa descendance
Le système scolaire te formate à être un pur esclave, t'as le choix entre deux choses :
-Sacrifier tes pauvres quelques heures de temps libre pour pouvoir te coucher tôt et passer une journée acceptable
-Sacrifier ton sommeil pour profiter du temps libre que t'aurais eu dans un monde normal
Dans les deux cas t'es baisé, et y a des matrixés qui trouvent ça normal
Les adolescents, c'est esclave de la société, c'est PNJ
Petit 6h-18h, Travailler, Manger, se Laver et ne même pas profiter de son repos on doit aller se coucher et reprendre l'école le lendemain pour un 6h-18h.
le jet-lag social, qui correspond en fait à un décalage entre notre horloge biologique et les conventions temporelles sociales (lever à 7h, coucher à 23h). Et c'est loin d'être anodin : le jet-lag social est en réalité le point de départ d'un cercle vicieux qui pousse la société à discriminer et à décrédibiliser les lève-tard. Zoom sur un phénomène qui devrait réhabiliter les noctambules et les abonnés aux nuits blanches.
ce phénomène a été défini en 2006 par des chronobiologistes de l'Université de Munich comme "un désalignement du temps biologique et social". Explications : ce qu'on appelle "temps biologique" est en fait notre chronotype de sommeil, c'est-à-dire la fenêtre à laquelle nous sommes "programmés" pour nous endormir sur une période de 24 h afin de récupérer au maximum. Le chronotype varie d'une personne à l'autre : certains ont besoin de dormir 8 h pour être reposés, mais en se couchant à 21 h et en se levant à 5 h tandis que d'autres devront aussi dormir 8 h, mais de 2 h du matin à 10 h. Si l'on est en décalage avec son rythme biologique, cela peut causer des insomnies, des difficultés à s'endormir et à se lever, une fatigue accrue... Cela revient en fait à louper un train et à s'acharner à courir derrière en étant persuadé que si vous faites le même chemin, vous arriverez en même temps. Lorsqu'on a des problèmes de sommeil, il est donc primordial de cerner son chronotype et de le respecter.
Or, le temps social se moque allègrement de votre horloge biologique ; il fixe des horaires conventionnelles pour rythmer les journées humaines. Ainsi, la société s'organise autour d'un temps précis : il faut se lever à 7 h pour aller travailler, et se coucher avant minuit pour repartir de plus belle le lendemain. Ce carcan horaire, immuable et très précis, a été complètement normalisé, jusqu'à ce qu'on ne le questionne même plus. Mais pour tous les adeptes de la nuit qui ont besoin de se coucher tard et de se lever tard, c'est une véritable torture : ils sont forcés d'être en permanence en décalage avec leurs chronotypes, et ils en payent le prix fort.
Judith Owen, neurologiste de la faculté d'Harvard et directrice du Center for Pediatric Sleep Disorders à l'hôpital pour enfants de Boston qui a beaucoup étudier le jet-lag social, va jusqu'à parler de mise au ban des lève-tard. De la même manière que la société résume la beauté féminine à 1m80 de jambes, un 36 et un 90C, elle promeut des conventions sociales uniques et figées. Il faut se lever tôt, frais et reposé, manger sainement, boire son café sans sucre et s'endormir avant minuit après une bonne journée de travail ; ceux qui ne parviennent pas à s'adapter à ce modèle, tout simplement parce qu'ils ne sont pas "faits" pour ça, parce que leurs chronotypes les en empêchent, sont immédiatement discriminés.
les conséquences sont lourdes à porter pour les lève-tard forcés de se plier à des conventions d'une inadéquation flagrante pour eux. "Si votre schéma de sommeil est en décalage avec votre rythme interne, cela aura un impact beaucoup plus fort sur votre état général que le nombre d'heures que vous dormez par nuit", explique Owens à The Atlantic. Contrairement à ce que l'on entend couramment, il ne suffit pas de se coucher à 22 h et de dormir 8 h par nuit pour être en forme. Owens a publié à ce sujet une étude dans le journal médical Pediatrics, qui démontre que même s'ils dorment exactement le même nombre d'heures, les lève-tôt et les noctambules présenteront des différences comportementales, émotionnelles et cognitives majeures.
Ces derniers seront beaucoup plus fatigués : lorsqu'on les contraint à suivre un rythme social qui ne leur convient pas, ils perdent tout sens de l'auto-régulation du sommeil. Cela signifie qu'ils n'arrivent plus à contrôler leur sommeil : ils multiplient les insomnies, n'entendent pas leurs réveils, ne se réveillent pas à temps... Et cela entraîne une cascade de problèmes : ils se sentent mous, fatigués et démotivés en permanence, accumulent les retards, les absences, les rendez-vous loupés, la somnolence diurne.. Bloqués dans ce cercle vicieux, ils sont fustigés par l'opinion publique, qui les méprise et les flagelle pour leurs problèmes de sommeil, leur manque de motivation, leur peu de fiabilité... Comme le souligne le NCBI , il est alors fréquent chez ce type de personnes d'observer une grande perte de confiance en eux et en leurs capacités... ce qui les pousse à se noyer encore davantage dans les nuits blanches. Insomniaques, noctambules et couche-tard de tous les horizons, il est donc temps de vous indigner : vous vivez dans un monde qui vous ignore.
Ecole-Usine:
L'école-usine est sous le signe de la sélection et de la compétition, de l'efficacité et du rendement. Son modèle est celui du succès, de la réussite. L'horaire et les options sont des pièces maîtresses de la machine. La fragmentation rejette l'unité, le quantitatif supplante le qualitatif.
Volontiers et inconsciemment, le vocabulaire consacre ce modèle industriel. Il est banal de parler de clientèle scolaire, de ressources humaines, de capital humain, de rentabilité, d'efficacité, d'évaluation, de normalisation, de ratio, de pause-café. L'université n'est pas en reste avec le crédit et ses facultés étanches que le décloisonnement n'ébranle pas. L'enseignant travaille s'il fait ses 25 périodes, le professeur d'université, ses 9 heures de présence devant des étudiants. Les réunions sont fréquentes et indispensables comme les a meetings 'o dans toute industrie qui se respecte. C'est I'hétéro-éducation et non l'auto-éducation, c'est le training et non la culture.
C'est pourquoi l'école-usine n'a que faire de la formation personnelle et sociale. On ajoute une période, ce qui démontre que l'école n'a dans son orientation profonde, cure de ce développement. C'est ainsi que l'histoire et la langue nationale sans parler de la philosophie et de l'art n'ont aucune raison d'être dans cette école et sont condamnées inexorablement à mort. On les tolère, en attendant leur mort naturelle. Le rapport du Groupe Poly confirme le jugement de Toffler : a Ce serait une erreur de die que le système d'enseignement actuel n'évolue pas ... Mais cette évolution consiste en grande partie à parfaire les rouages existants en les rendant plus efficaces dans la poursuite de ses objectifs les plus anarchiques '. a En attendant, le système scolaire demeure l'industrie la plus payante de l'État-entreprise aux frais de la collectivité. C'est ce qui se passe dans les pays en voie de sous-développement. a La machine sociale fonctionnera plus efficacement, du moins le croit-on, si les individus sont réduits à des unités purement quantifiables, dont la personnalité peut être traduite en cartes perforées. Les règles bureaucratiques peuvent administrer plus facilement ces unités parce qu'elles ne créent ni problèmes ni frictions. Afin d'atteindre ce résultat, les hommes doivent être désindividualisés et apprendre également à trouver leur identité dans l'entreprise plutôt qu'en eux-mêmes ?. a La technique et l'homme L'homme, parce que social, a besoin d'institutions, l'école est une de ces institutions quasi naturelles dans une société évoluée, L'homme a également besoin de techniques qu'il crée mais qui le créent en retour. J'aime mon époque, j'en suis fier, c'est pourquoi je peux la critiquer ; on ne critique que les idées victorieuses. Depuis un siècle et demi, l'énergie mise à la disposition de l'homme a connu une expansion prodigieuse. II faut l'apprivoiser car ces moyens énormes appellent un sens et une place pour l'homme qui s'avance comme a un grand mammifère désuet 'o selon l'expression de Leroi-Gourhan. Les institutions sont à refaire, l'école-usine à démolir. Les institutions se corrompent d'elles-mêmes
C'est tellement vrai
La redpill est sévère
Vous savez ce qui est cool aujourd'hui?
Avoir des responsabilités individuelles!
Selon Illich, on vit dans un monde où la société contrôle trop notre vie et notre liberté.
Et vous savez quoi? Ça nous fait du mal! Ça donne aux pauvres encore moins de chances de réussir, et ça rend la société elle-même plus difficile, parce qu'on met l'accent sur le "processus" plutôt que sur le "résultat".
Illich veut qu'on change nos valeurs sociales de fond en comble. Alors, on devrait se concentrer sur l'achèvement plutôt que sur le suivi de procédures socialement acceptées. C'est comme dans le monde du sport et de l'entertainment - si tu veux être un bon footballeur, tu dois montrer que tu es capable de marquer des buts, pas juste avoir un diplôme en foot. Pareil pour les acteurs, les chanteurs, etc.
Alors, les kheys, on devrait s'inspirer de ça et mettre l'accent sur nos réalisations plutôt que sur ce que la société attend de nous. Qu'est-ce que vous en pensez?
Pourquoi Ivan Illich déteste-t-il ce processus ?
Plusieurs raisons : il pense que la société croit à tort qu'elle peut trouver les meilleures personnes grâce aux diplômes.
Selon lui, cela non seulement faux, mais a aussi d'autres conséquences négatives.
Parmi ses arguments : il y a quatre possibilités pour chaque personne et chaque travail
Avoir les compétences et l'aptitude ET être diplômé, avoir les compétences et l'aptitude MAIS PAS être diplômé, ne pas avoir les compétences et l'aptitude MAIS ÊTRE diplômé, ni avoir les compétences et l'aptitude NI être diplômé.
Selon Illich, la position A, selon laquelle les diplômés ont forcément les compétences et l'aptitude, est complètement fausse et on le sait très bien.
Pourtant, de nombreuses récompenses sociales sont liées à cette croyance erronée.
La position B, où une personne a les compétences et l'aptitude mais pas de diplôme, le préoccupe aussi beaucoup. La plupart d'entre nous connaissons des personnes qui feraient de merveilleux enseignants mais qui n'ont aucune chance de le devenir car elles ne sont pas diplômées ou même formellement éduquées à l'université. Cela crée une injustice envers ces individus et une perte pour la société qui se prive de leurs véritables talents et compétences. Enfin, la position C, où un diplôme ne garantit pas forcément les compétences ou les connaissances, est également un sujet de préoccupation pour Illich. Selon lui, le système de crédit par cours à l'université est absurde et ne garantit pas une réelle compréhension des matières enseignées.
Il prône donc un système de formation continue qui permettrait aux individus de développer leurs compétences tout au long de leur vie plutôt qu'à travers un diplôme unique.
Petit Nesquick cancérigène
Petit abrutissement devant Titeuf
Petit stress qui monte au fur et à mesure de l'heure qui tourne
Petit mal au ventre qui commence à arriver dû à la fatigue + ingestion de lait + gluten + Nutella
Petit trajet en chemin avec la tête dans le brouillard
Petits harceleurs que tu croises
Petite prof qui tinterroge au tableau direct alors que tu sais rien
Petit cours de maths à 8h30 alors que c'est de la giga merde
Petit cours d'allemand à 9h30
Petite recré tout seul dans les chiottes à 10h30 car t'as pas d'amis
Petit cours de musique de 10h30 à 11h30
Petite libération conditionnelle à 11h30
les gamins du collége qui ont les mêmes horaires que le gars à l'usine et font les 35 heures vous trouvez ça normal ? nan mais franchement vous trouvez ça normal sans déconner ? des gamins qui se lévent à 6:00 et rentrent à 19 car certains doivent faire une heure et demie de trajet, au mieux ils se lévent à 7:00 et rentrent à 18h00 WAOUH la grande vie, que jeunesse se fasse
et le mec à l'usine a pas des devoirs à faire et doit pas concentrer tout son cerveau à apprendre de nouvelles choses, il se construit pas
H4 : (oui c'est bien le Panthéon qu'on voit depuis la cours)
Pendant ce temps toi le prolo :
Ce sont les derniers bastions de culture et de savoir du pays, et ils sont gratuits en plus d'être non sectorisés
Vos enfants pourront étudier dans le meilleur environnement, leur ouvrant absolument toutes les portes post-bac (des meilleures prépa aux meilleures fac)
Ton excuse pour ne pas mettre ton gosse dans ce genre d'établissement dès le collège ? Elle a intérêt à être bonne
Voilà ce que voient chaque matin les élèves en allant à l'école :
De toutes façons comment tu veux être un personne originale ou créative quand tu suis le même chemin que tous .
Les notions plus difficiles que d'autres ca n'existe pas, le tout cest d aligner la compréhension au fur et a mesure que tu l acquiert dans le bon ordre .Ne surtout pas reposer avec des pièces manquantes sinon tu vas devoir utiliser plus de tes capacités cérébrales afin de les compenser à chaque fois .Tu deviens vite dépassé si tu triches avec du parcoeur
Il faut chercher les origines de la crise de l'école dans sa nature même, celle d'entreprise éducative à cadence industrielle
Le modèle scolaire, pensé comme il a été, n'est utile que pour : former des ouvriers, donc leur inculquer les fondamentaux suivants : La discipline, la ponctualité et la soumission à des taches avilissantes
Le but ultime de l'école et de donner conscience à l'ouvrier de son rôle dans le processus de production afin de susciter en lui un "sens de la responsabilité"
Bien évidemment cela s'est accompagné d'un programme d'éducation plus "chrétien" : apprendre à lire, à écrire et à compter
Aujourd'hui, avec le temps, l'école-usine s'est confondue avec l'éducation bourgeoise -en préparation à des études plus prestigieuses- mais le rôle de l'école usine reste fondamentalement le même : Former des gens capable et formater pour taffer dans des usines et puis c'est tout
Mais la société a changé : Pourquoi on apprendrai pas des choses importantes comme gerer son budget, politique, enfants etc..
En contrepartie, le cursus "bourgeois" de l'école - collège et lycée - ce le surplus qui s'est greffé à l'éducation nationale avec l'arrivé des bourgeois à l'école, nous apprend du Sheakspear, des formules en maths totalement inutile et que vous aurez oublié pour la plus part car il vous était inutile à l'instant T où vous l'avez appris - Et pour cause, un manque de stimulation de votre milieu qui vous aurais poussé à leur trouver un quelconque intêret vital -socialement parlant .
Données du topic
- Auteur
- AnimeFITNESS
- Date de création
- 21 janvier 2023 à 17:17:42
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