Idriss Aberkane est désormais une vache sacrée dans certaines franges de la population qualifiées sommairement de "complotistes" par les journalopes dites "fact-checkeurs".
Sous prétexte de sa loghorrée creuse mais apte à tromper un non-spécialiste, le jeune homme de 36 ans, proche de Jacques Attali, est devenu un référent pour d'innombrables internautes trop naïfs ou paresseux pour vérifier l'exactitude de ses dires. Il n'est évidemment pas le seul bonimenteur mais il est celui qui pose ostensiblement en rebelle, vent debout (soi-disant) contre le pouvoir macronien et les médias mainstream.
Anti-système, Aberkane ? Et tout cela à cause de vagues portraits superficiellement à charge dans la presse sioniste, tels L'Express de Patrick Drahi et Libération de Dov Alfon ? Ou d'attaques insipides par les zozos zététiciens (comme le guignol psychorigide Thomas Durand) qui ont ainsi trouvé un nouvel ennemi fantasmé pour exister ?
Pas vraiment quand on sait que ce résident suisse et originaire d'Algérie appartient secrètement à la franc-maçonnerie. Plus précisement : ce soufi vaguement revendiqué (membre de la Tariqa Alawiya du Cheikh Bentounes, un collaborateur du Crif) est l'adhérent et surtout l'auteur du grandiloquent manifeste (publié en novembre 2012) du Grand Orient Arabe Oecuménique, une obédience maçonnique fondée en 2010 et entièrement pilotée (jusqu'au site web) par une figure mystérieuse… Son nom ? Jean-Marc Aractingi, diplomate franco-libanais, conseiller de plusieurs chefs d'État, longtemps membre haut-gradé de la Grande Loge de France et businessman international.
Un temps proche du clan Chirac, l'influent mais discret Aractingi (qui semble doté d'un vaste carnet d'adresses dans les cercles dirigeants) était notamment capable d'obtenir (en 2012) une salle au Sénat avec le parrainage du ministère de la Culture… Parmi ses invités ce jour-là : un certain Karim-Hervé Benkamla, son co-auteur (avec Aberkane mais aussi Bruno Étienne, professeur d'anthropologie religieuse à l'IEP d'Aix-En-Provence) d'un ouvrage sur l'ésotérisme musulman. Benkamla est le vice-président de l'Amitié judéo-musulmane, mouvement sioniste chouchouté par le Crif, supervisé par le rabbin Serfaty et cofondé (sous le co-parrainage du Crif) par un certain Younes Aberkane, le père d'Idriss Aberkane. La boucle est bouclée.
Depuis son plus jeune âge, Idriss Aberkane est encadré par le lobby juif d'un côté (via son père, compagnon de route du Crif et du Consistoire), la franc-maçonnerie de l'autre (via son père spirituel Aractingi). Ce double parrainage est d'ailleurs parfaitement incarné par Attali, dernier mentor d'Aberkane, intime de Macron et chantre par excellence de la vaccination qui travaille (avec le milliardaire israélien Patrick Drahi) à faire de Jérusalem la capitale mondiale de l'humanité.
En 2014, d'Attali avait délcaré (tenue -excusez du peu- au Congrès juif mondial) : « Notre rôle est d’aider à la création d’une bourgeoisie musulmane ». Le cas Idriss Aberkane (plus sophistiqué que l'escroc intellectuel et antivax vitupérant Salim Laïbi, secrètement relié à la Licra) ratisse évidemment plus large.
Il ne s'agit pas juste de capturer l'attention des musulmans mais plus globalement des nombreux citoyens défiants sur la politique sanitaire, pour mieux ensuite les divertir et les retenir sur une voie de garage, politiquement sans avenir. Les désamorcer, en un mot. Telle est la mission du bateleur Aberkane, pion zélé de la franc-maçonnerie sioniste et cheval de Troie du projet mondialiste.
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