Depuis le milieu du 19eme siècle et l'arrivée de la médecine moderne, la sélection naturelle par la mortalité infantile s'est presque totalement arrêtée et les individus naissant faibles et fragiles, ou atteints de diverses tares plus ou moins graves sont sauvés artificiellement d'une mort prématurée avant leur puberté, ce qui fait que leur patrimoine génétique défaillant risque d'impacter le pool génétique de l'espèce avec des gènes indésirables, alors que ceux-ci auraient dû être éliminés par la Nature via la sélection de Darwin et donc jamais transmis aux générations suivantes.
Ce phénomène s'appelle le dysgénisme, et il peut avoir de lourdes conséquences sur la viabilité de notre espèce à terme.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Dysg%C3%A9nisme#:~:text=Le%20dysg%C3%A9nisme%20est%20une%20augmentation,des%20individus%20de%20cette%20population.
On constate déjà ses effets avec la baisse considérable du QI moyen dans le monde développé depuis 1 siècle, alors que celui-ci ne faisait que monter graduellement depuis l'aube des temps de génération en génération.
HEUREUSEMENT, l'autre voie de la sélection naturelle est la sélection sexuelle, par le biais des femelles, dont le rôle est de trier les mâles et de n'offrir leurs faveurs sexuelles qu'aux plus dominants et aux mieux adaptés. Ce phénomène parfaitement naturel est commun à presque tous les mammifères.
Par conséquent, notre espèce ayant artificiellement détruit la sélection par la mortalité grâce à la médecine, il ne reste que la sélection sexuelle pour lui permettre malgré tout de conserver un patrimoine génétique solide et apte à permettre à l'espèce de perdurer et de survivre, et c'est ce phénomène qui induit l'hypergamie féminine et leur instinct salutaire de ne sélectionner que les meilleurs mâles.
Il est donc parfaitement SOUHAITABLE que cette sélection par les femmes perdure, et que l'hypergamie AUGMENTE la difficulté d'accès à la reproduction des mâles, afin de contrebalancer les effets délétères de la fin de la sélection par la mortalité.
Par conséquent, il est souhaitable que les femmes deviennent encore beaucoup plus difficiles et exigeantes qu'elles ne le sont aujourd'hui quant au choix de leur partenaire, pour le bien de l'espèce, sans quoi le genre homo sapiens s'affaiblira de génération en génération et sera de moins en moins apte à évoluer positivement en adéquation avec un environnement de plus en plus incertain.
Ainsi, il est réjouissant de voir les hommes d'aujourd'hui se plaindre de l'hypergamie féminine, car c'est un excellent signe pour l'avenir de notre espèce, et un état de fait que les hommes n'ayant pas accès aux femmes doivent comprendre et accepter comme une bénédiction, leurs difficultés personnelles dans le domaine amoureux étant in fine le salut collectif futur de l'espèce.
