Topic de Groslem :

Pourquoi les hommes sont nuls en débat ?

Ils ne font que répéter des youtubeurs redpill et les mêmes livres en boucle (debord, gustave lebon, nietzche, schopenhauer, soral et sa clique, huxley, et baudrillard)
Et rajouter un côté idiosyncrasique à faire le foufou qui a "l'intelligence de la rue" et les refs
Quel ennui... Dois je me coltiner des rhétoriciennes de mon sexe afin de parer mon ennui ?
S'ennuyer est la marque d'un esprit vide.

Le 03 janvier 2023 à 01:52:19 :
S'ennuyer est la marque d'un esprit vide.

Ou d'un esprit las de répétitions qu'il appréhende avec plus clarté que d'autres esprits s’enorgueillissant d'une vie intérieure que mettrait en péril un degré supérieur de réflexivité

Effectivement, la femme est notoirement reconnue pour son logos naturellement supérieur et pour sa rhétorique ineffable.

Pour la subtilité du troll, également.

Le 03 janvier 2023 à 01:55:50 :
Effectivement, la femme est notoirement reconnue pour son logos naturellement supérieur et pour sa rhétorique ineffable.

Pour la subtilité du troll, également.

Plus que l'homme ne l'est pour sa propension à ne pas étoffer des litanies soporifiques d'un ton las et singeant une pédagogie (projetée avec une complicité béate) pour justifier que les femmes précipitent les échanges avec les figures qu'il admire en les fendant d'une indigination irréfléchie et d'un filtre catégoriel psychologisant - non par candeur réelle ou simulée ni inaptitude d'improvisation sur lesquelles elle avorterait de l'humilité mais parce qu'on ne batit rien sur un terreau stérile et que contrairement à ce qu'une cinématographie habile a tenté de faire croire la femme est inoculé au mépris pur, au mépris du savoir plus encore.
La rhétorique n'est pas qu'un jeu de forces devant s'endurer les unes les autres munies de connaissances pénétrantes et enracinantes, mais un vivier syntaxique nécessitant une osmose intentionnelle parfaitement comprise par la femme (là où un centrage sur l'externe chez l'homme lui permet de parler dans le vide - croyant en ce vide trouver les autres hommes, unis par le manque de saveur que la vie leur insuffle).

Le 03 janvier 2023 à 02:08:05 :

Le 03 janvier 2023 à 01:55:50 :
Effectivement, la femme est notoirement reconnue pour son logos naturellement supérieur et pour sa rhétorique ineffable.

Pour la subtilité du troll, également.

Plus que l'homme ne l'est pour sa propension à ne pas étoffer des litanies soporifiques d'un ton las et singeant une pédagogie (projetée avec une complicité béate) pour justifier que les femmes précipitent les échanges avec les figures qu'il admire en les fendant d'une indigination irréfléchie et d'un filtre catégoriel psychologisant - non par candeur réelle ou simulée ni inaptitude d'improvisation sur lesquelles elle avorterait de l'humilité mais parce qu'on ne batit rien sur un terreau stérile et que contrairement à ce qu'une cinématographie habile a tenté de faire croire la femme est inoculé au mépris pur, au mépris du savoir plus encore.
La rhétorique n'est pas qu'un jeu de forces devant s'endurer les unes les autres munies de connaissances pénétrantes et enracinantes, mais un vivier syntaxique nécessitant une osmose intentionnelle parfaitement comprise par la femme (là où un centrage sur l'externe chez l'homme lui permet de parler dans le vide - croyant en ce vide trouver les autres hommes, unis par le manque de saveur que la vie leur insuffle).

Tu peux faire simple ? En quelques mots si possible.

Le 03 janvier 2023 à 02:17:34 :
Pourtant tu es un homme

Mais pas comme les autres enfin il aimerait le croire vue la façon dont il s'exprime.

Utiliser un dictionnaire des synonymes sur Google c'est pas ça être bon en débat
Il n'est pas juste de dire que les femmes sont supérieures ou inférieures aux hommes en débat, car cela dépend de nombreux facteurs différents. Certaines personnes peuvent être de bons débatteurs, indépendamment de leur genre, tandis que d'autres peuvent avoir du mal à se faire entendre ou à défendre leur point de vue, quel que soit leur genre. Il est important de reconnaître que les individus ont des compétences et des forces différentes, et de ne pas les juger sur la base de stéréotypes de genre.

Le 03 janvier 2023 à 02:08:05 :

Le 03 janvier 2023 à 01:55:50 :
Effectivement, la femme est notoirement reconnue pour son logos naturellement supérieur et pour sa rhétorique ineffable.

Pour la subtilité du troll, également.

Plus que l'homme ne l'est pour sa propension à ne pas étoffer des litanies soporifiques d'un ton las et singeant une pédagogie (projetée avec une complicité béate) pour justifier que les femmes précipitent les échanges avec les figures qu'il admire en les fendant d'une indigination irréfléchie et d'un filtre catégoriel psychologisant - non par candeur réelle ou simulée ni inaptitude d'improvisation sur lesquelles elle avorterait de l'humilité mais parce qu'on ne batit rien sur un terreau stérile et que contrairement à ce qu'une cinématographie habile a tenté de faire croire la femme est inoculé au mépris pur, au mépris du savoir plus encore.
La rhétorique n'est pas qu'un jeu de forces devant s'endurer les unes les autres munies de connaissances pénétrantes et enracinantes, mais un vivier syntaxique nécessitant une osmose intentionnelle parfaitement comprise par la femme (là où un centrage sur l'externe chez l'homme lui permet de parler dans le vide - croyant en ce vide trouver les autres hommes, unis par le manque de saveur que la vie leur insuffle).

Pavé emphatique et sans l'ombre d'un intérêt. Remballe ta vulgate, ton troll bas de gamme, et miaule.

Je crois qu'il est entrain de rédiger un nouveau pavé remplit de mots savants pour mieux nous la faire à l'envers.

Je ne peux citer :

Je me doute que l'homme n'aime que ce qui le conforte dans sa vision prototypique, et lui octroie une légitimité à ne pas s'investir dans ce qui n'est pas rassurant. Croyant agresser autrui et le pourfendre en sanglots, il célèbre une image désuète de lui même précédant sa rencontre avec la rationnalisation empruntant son propre timbre de ce dont il se nourrit pour puiser une confiante certitude. Là il révèle alors ce qui irrigue son érudition guillerette : un pragmatisme terrestre et insignifiant, et croyant cracher les dures vérités avec lesquelles il se cravache d'une passion équestre pour motiver une pulsion mourrante de supporter son mimétisme et son vide, comme si en annihilant ses prédicats on enclenchait sa pressante fuite de la véhémence véritable - celle qui est doucereuse et enseignante, pour une classification pragmatique à la fois sympathique et docilement consternante - comme l'éjection d'une évidence unitaire insufflant un plan du devoir résultant, et des images infantiles ; caressant sur le plan intellectuellement celui qui puise sa verve en des plus grands mais qui dissimule rarement longtemps une miévrerie terre à terre et un conformisme n'ayant que sa grandiloquence paternelle pour apparat.

Le 03 janvier 2023 à 02:34:43 :
Je ne peux citer :

Je me doute que l'homme n'aime que ce qui le conforte dans sa vision prototypique, et lui octroie une légitimité à ne pas s'investir dans ce qui n'est pas rassurant. Croyant agresser autrui et le pourfendre en sanglots, il célèbre une image désuète de lui même précédant sa rencontre avec la rationnalisation empruntant son propre timbre de ce dont il se nourrit pour puiser une confiante certitude. Là il révèle alors ce qui irrigue son érudition guillerette : un pragmatisme terrestre et insignifiant, et croyant cracher les dures vérités avec lesquelles il se cravache d'une passion équestre pour motiver une pulsion mourrante de supporter son mimétisme et son vide, comme si en annihilant ses prédicats on enclenchait sa pressante fuite de la véhémence véritable - celle qui est doucereuse et enseignante, pour une classification pragmatique à la fois sympathique et docilement consternante - comme l'éjection d'une évidence unitaire insufflant un plan du devoir résultant, et des images infantiles ; caressant sur le plan intellectuellement celui qui puise sa verve en des plus grands mais qui dissimule rarement longtemps une miévrerie terre à terre et un conformisme n'ayant que sa grandiloquence paternelle pour apparat.

Khey pourquoi tu prends 1h pour pondre ça ?
Viens on débat normalement choisi ton sujet.

Imaginé parler comme l'op lors d'un repas de famille :ouch:
Car l'homme a perdue ses boules avec le temps dans cette société qui se féminise, de plus a chaque mot qu'ont prononce en public peuvent se retournée contre nous :)

Le 03 janvier 2023 à 02:54:46 :
Imaginé parler comme l'op lors d'un repas de famille :ouch:

Perso : tête dans le plat sans sommation

Bordel…
Du calme jean QI hautain, c’est trop tout ça

Données du topic

Auteur
Groslem
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3 janvier 2023 à 01:46:46
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