J'ai pas encore tout vu, mais, comme d'habitude, dès qu'il parle de l'économie financiarisée, il est beaucoup trop clément avec son sujet (l'influence du protestantisme de son pays d'adoption surement )
Quand on voit comment il peut être critique sur les religions (surtout le catholicisme) il y aurait pourtant de quoi faire avec l'obscurantisme contemporain.
À quoi s'occupent les brillants esprits de notre époque ?
SI on prend les mathématiciens par exemple; certainement pas aux "problèmes du millénaire". Ils sont dans des places de marchés à consacrer toute leur énergie et tous leurs talents à des martingales débiles, à optimiser des algos de trading haute fréquence.
Difficile d'imaginer ce qu'on perd au change, le retards qu'on accumule.
Je me demande comment ça sera jugé par l'Histoire.
Mais quand il parle de ça, il est en extase, aucune critique. Il s'est trouvé un moyen de compter les points avec les monnaies, et ça lui va. Il ne remet pas ça en question et s'extasie devant ses conférences de banquiers (cette lie qu'on ne peut décrire sans risque de censure).