L'immigration détruit la cohésion sociale des sociétés Occidentales
SuppriméLes sciences sociales ont observé que l'incorporation de différentes cultures sur un même sol détruit systématiquement le capital social d'une nation qui repose sur des rituels communs.
https://www.annualreviews.org/doi/abs/10.1146/annurev-polisci-052918-020708
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ».
https://www.puttingourdifferencestowork.com/pdf/j.1467-9477.2007.00176%20Putnam%20Diversity.pdf
Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
Le 03 novembre 2022 à 08:52:16 :
Ca étonne qui ?
Les utopistes qui font fi de la nature humaine dans leur équation.
Aristote l'avait déjà parfaitement compris en son temps :
« Est aussi facteur de sédition l’absence de communauté ethnique tant que les citoyens n’en sont pas arrivés à respirer d’un même souffle. Car de même qu’une cité ne se forme pas à partir d’une masse de gens pris au hasard, de même ne se forme-t-elle pas dans n’importe quel espace de temps. C’est pourquoi parmi ceux qui ont, jusqu’à présent, accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux ou pour les agréger à la cité, la plupart ont connu des séditions. Ainsi des Achéens fondèrent Sybaris avec des Trézéniens, puis les Achéens devenus majoritaires chassèrent les Trézéniens, d’où la souillure qui échut aux Sybarites. Et à Thourioi des Sybarites entrèrent en conflit avec ceux qui avaient fondé cette cité en même temps qu’eux parce qu’ils s’estimaient en droit d’avoir plus qu’eux sous prétexte que c’était leur propre pays : ils en furent chassés. À Byzance les nouveaux arrivants, pris en flagrant délit de conspiration, furent chassés par les armes. Les gens d’Antissa chassèrent par les armes ceux qui fuyaient Chios et qu’ils avaient accueillis. Les gens de Zancle ayant accueillis des Samiens, ceux-ci les chassèrent de chez eux. Les Appoloniates du Pont-Euxin connurent des séditions après avoir introduit des étrangers chez eux. Les Syracusains, après la période des tyrans, ayant fait citoyens des étrangers, en l’occurrence des mercenaires, connurent des séditions et en vinrent aux armes. Les gens d’Amphipolis, ayant accepté des colons de Chalcis furent en grande majorité chassés par ces derniers. »
Les Politiques, livre V, chapitre III
Le 03 novembre 2022 à 08:50:48 :
Les sciences sociales ont observé que l'incorporation de différentes cultures sur un même sol détruit systématiquement le capital social d'une nation qui repose sur des rituels communs.https://www.annualreviews.org/doi/abs/10.1146/annurev-polisci-052918-020708
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ».
https://www.puttingourdifferencestowork.com/pdf/j.1467-9477.2007.00176%20Putnam%20Diversity.pdf
Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
Plus une société est métissée plus elle a tendance à sombrer dans le politiquement correct, le wokisme etc. ça aussi j'ai constaté.
y avait pas d'immigration en france en 68 ou pendant la révolution française
y'a jamais eu de cohésion sociale en france et c'est ce qui explique POURQUOI tu as 2500 partis politiques dans ce pays
tout le monde pense d'abord à sa gueule avant de s'intéresser au sort du voisin
cohésion sociale
Le 03 novembre 2022 à 10:42:47 :
y avait pas d'immigration en france en 68 ou pendant la révolution françaisey'a jamais eu de cohésion sociale en france et c'est ce qui explique POURQUOI tu as 2500 partis politiques dans ce pays
tout le monde pense d'abord à sa gueule avant de s'intéresser au sort du voisin
cohésion sociale
Cohésion sociale n'est pas l'uniformité idéologique c'est ce qui fait que tu as envie d'avoir une conversation agréable avec ton voisin.
Le 03 novembre 2022 à 10:49:58 :
Je comprends pas, ça profite à qui ?
A court terme ça profite à la classe dirigeante qui maintien son pouvoir en capitalisant sur le traumatisme du nazisme et le danger des prétendu extrêmes.
A long terme ça profite à l'Islam qui va pouvoir imposer la Charia en Europe.
Le 03 novembre 2022 à 10:53:56 :
Le 03 novembre 2022 à 10:49:58 :
Je comprends pas, ça profite à qui ?A court terme ça profite à la classe dirigeante qui maintien son pouvoir en capitalisant sur le traumatisme du nazisme et le danger des prétendu extrêmes.
A long terme ça profite à l'Islam qui va pouvoir imposer la Charia en Europe.
Chouette, allonzykoi, on va pouvoir couper les mains des voleurs et marier 3 femmes de 14 ans
Le 03 novembre 2022 à 10:42:47 :
y avait pas d'immigration en france en 68 ou pendant la révolution françaisey'a jamais eu de cohésion sociale en france et c'est ce qui explique POURQUOI tu as 2500 partis politiques dans ce pays
tout le monde pense d'abord à sa gueule avant de s'intéresser au sort du voisin
cohésion sociale
Pas de chance mais si, il y a eu une énorme immigration des pays de l'est la veille de la Révolution. Beaucoup d'anciens forçats et de criminels d'ailleurs qui ont marché de Marseille sur Paris en rejoignant les bonnêts phrygiens. Taine détaille ça dans les Origines de la France Contemporaine, les contemporains voyaient passer des tonnes et des tonnes de faces inconnues, toute la journée, des mines effroyables qui se rendaient à Paris. L'immigration a joué un rôle important dans la Révolution, les parisiens eux même avaient peur de ces individus, les exactions proviennent en grande partie de ces gens là.
Quant à 68 c'est pareil « Nous sommes tous des Juifs-Allemands. », ça sort pas de nulle part.
Le 03 novembre 2022 à 11:03:33 :
Le 03 novembre 2022 à 10:53:56 :
Le 03 novembre 2022 à 10:49:58 :
Je comprends pas, ça profite à qui ?A court terme ça profite à la classe dirigeante qui maintien son pouvoir en capitalisant sur le traumatisme du nazisme et le danger des prétendu extrêmes.
A long terme ça profite à l'Islam qui va pouvoir imposer la Charia en Europe.Chouette, allonzykoi, on va pouvoir couper les mains des voleurs et marier 3 femmes de 14 ans
Certains incel pourront en profiter.
Voir la conspiration du Caire au cinéma pour avoir un petit avant goût de ce qui nous attend
Le 03 novembre 2022 à 08:50:48 :
Les sciences sociales ont observé que l'incorporation de différentes cultures sur un même sol détruit systématiquement le capital social d'une nation qui repose sur des rituels communs.https://www.annualreviews.org/doi/abs/10.1146/annurev-polisci-052918-020708
Il n’y a plus en effet, en sus de règles minimales de coexistence et des appareils policiers et judiciaires qui s’emploient avec plus ou moins de succès à les faire respecter, que le commerce pour transcender l’hétérogénéité des modes de vie en un même lieu. Le commandement est “Enchantez vous de la diversité : vous êtes tous un dans l’économie de marché."
Dans les communautés censées être enrichies par la diversité, les voisins se faisaient confiance à peu près moitié moins qu’ils ne le faisaient dans les communautés qui restaient homogènes.
Putnam a défini ce déclin de l’engagement communautaire ou public comme un déclin du « capital social ». Par « capital social », Putnam entendait tous ces « réseaux sociaux » par lesquels les gens font des choses les uns pour les autres, s’engagent dans des actions collectives-publiques, telles que « dans des réseaux d’amitié, de quartiers, d’églises, d’écoles, de clubs de bridge, d’associations civiques et même de bars ».
https://www.puttingourdifferencestowork.com/pdf/j.1467-9477.2007.00176%20Putnam%20Diversity.pdf
Selon Putnam, ces réseaux sociaux ne font pas seulement la promotion de « sentiments chaleureux et affectifs, mais encouragent une grande variété d’avantages communautaires spécifiques qui découlent de la confiance, de la réciprocité, de l’information et de la coopération » qui est intrinsèque à ces réseaux.
En conclusion, Putnam a fait remarquer que les membres de communautés plus diversifiées ont tendance à se méfier de leurs voisins, quelle que soit la couleur de leur peau, de se retirer même de leurs amis proches, de s’attendre au pire de leur communauté et de ses dirigeants, de faire moins de bénévolat, de donner moins à la charité et de travailler moins souvent sur des projets communautaires, de s’inscrire pour voter moins souvent, de faire campagne pour la réforme sociale, mais d’avoir moins confiance qu’ils peuvent réellement faire une différence, et de se blottir malheureusement devant la télévision.
En gros quand ca vous arrange, les sciences sociales disent vrai, quand ca vous arrange pas c'est li michant gauche
Données du topic
- Auteur
- ObjectifMagalax
- Date de création
- 3 novembre 2022 à 08:50:48
- Date de suppression
- 3 novembre 2022 à 11:42:00
- Supprimé par
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