Toi qui me lis, je veux que tu me FOUDROIES L'ANUS.
Tu peux comprendre ça le détraqué ? Je veux voir l'ombre de ta silhouette s'agiter sur le mur de ma chambre, mes dents serrant le coussin, ma salive s'écoulant le long de mes beaux draps blancs et mon cul en l'air. Je veux que chaque va-et-vient que tu accompliras pour me pourfendre la rondelle émette un tel boucan que mes voisins crieront au cambriolage.
Je te veux, toi, dans mon gros fion graisseux et velu qui suintera d'avoir trop subi. Et à mesure que s'abattront tes couilles sur mon énorme croupion dans une cadence enragée, je me tirerai la quille au rythme de tes boules.
Les effluves de foutre chaud savamment mêlés aux putrides relents de nos croûtes anales viendront s'immiscer dans nos narines de chiens galeux, emportant avec eux une saveur mésestimée.
Tu verras, nous deux formerons un ensemble dynamique qui confine à la grâce et l'exotisme.