Ayao le zinzolin qui repost ses tirades lyriques parce qu'on l'ignore. Apaise ton cœur mon clé, tu sembles un peu trop attaché à ta pertinence (que tu détruis toi-même ) virtuelle. Cela dit, on passe toujours un bon moment en lisant les gens dans ton cas, Dieu merci le ridicule ne tue pas.