Le meurtre de Lola 12 ans serait en fait... Totalement gratuit !

Dahbia B., une SDF au profil de déséquilibrée au cœur de l’enquête

Quatre suspects restaient en garde à vue dimanche soir après la mort de la collégienne, dont le corps a été retrouvé dans une malle La principale suspecte est une SDF de 24 ans dont la santé mentale pose question. La piste d’un meurtre gratuit sur fond de marginalité était pour l’heure privilégiée.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-de-lola-12-ans-a-paris-dahbia-b-une-sdf-au-profil-de-desequilibree-au-coeur-de-lenquete-16-10-2022-QSQCYKSHYNASJJUXVZNPA62MQM.php

Le 16 octobre 2022 à 21:06:18 :
L'horreur.
J'ai vu que sur le fb de la daronne celle-ci a retiré les godes car cela faisait tâche.

Quel rapport le golem? Vous découvrez en 2022 les daronnes fb génantes qui partagent des images potaches?

déséquilibré

on a déjà une idée de la peine qui va être décidée

Le 16 octobre 2022 à 21:07:17 :
Tu as le screen de l'article complet khey ?

En ouvrant la porte de son studio, Kamel plisse les yeux et se gratte la tête. Impossible de dormir. Les policiers de la brigade criminelle de Paris l’ont relâché samedi après-midi et son corps lui réclame maintenant du sommeil. « Mais je n’arrête pas de penser à la gamine, grommelle-t-il. J’ai vu à la télévision ce qu’il s’était passé à Paris. Je n’arrive pas à y croire. »

C’est chez lui, dans son appartement de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), que la suspecte principale dans l’affaire du meurtre effroyable de Lola, 12 ans, a été arrêtée, quelques heures seulement après le crime.

Dahbia B., une SDF de 24 ans filmée par la vidéosurveillance de l’immeuble où habitait la victime, se trouvait dans la cuisine avec Amine K., le colocataire de Kamel, quand la porte a éclaté samedi à l’aube. « Regardez, elle est là maintenant la porte », montre-t-il près de l’ascenseur de l’immeuble.

De « potentiels troubles psychiatriques »
La jeune femme et Amine K., 33 ans, faisaient partie des quatre personnes encore en garde à vue ce dimanche 16 octobre dans la soirée rue du Bastion dans l’enquête sur la mort de Lola, retrouvée égorgée vendredi soir dans une caisse en plastique dans le XIXe arrondissement. Les investigations sont ouvertes pour « meurtre sur mineur de 15 ans avec actes de torture et barbarie ».

Les suspects, tous nés en Algérie, pourraient être présentés ce lundi à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen. Selon nos informations, la piste d’un meurtre gratuit et insensé sur fond de marginalité était privilégiée dimanche soir.

La future expertise psychiatrique de Dahbia B., « aux potentiels troubles psychiatriques », selon une source proche de l’enquête, permettra d’avoir davantage de certitudes. Sollicité, son avocat, Me Alexandre Silva, n’a pas souhaité s’exprimer.

Parmi les autres suspects encore entendus, Friha B., la grande sœur de la jeune femme, et Rachid N., un homme de 43 ans domicilié à Asnières (Hauts-de-Seine), à moins de dix minutes de Bois-Colombes. Quel rôle chacun a éventuellement joué dans le drame ? Auraient-ils éventuellement apporté une assistance à Dahbia B. ou s’agit-il seulement de vérifications dans l’entourage de la suspecte ? Mystère.

« Il ne pose pas de problèmes »
Les policiers ont en tout cas procédé initialement à un coup de filet élargi six personnes au total avaient été placées en garde à vue notamment en raison de déclarations de la meurtrière présumée rapportées par un témoin. Ce dernier avait confié aux policiers avoir croisé Dahbia B., peu avant son arrestation, en train de pousser la malle contenant le corps de Lola. La suspecte lui aurait alors demandé de l’aide contre de l’argent dans le cadre d’un « trafic d’organe ». On ignore à ce stade s’il s’agit de propos décousus.

L’autre inconnue réside dans les conditions dans lesquelles Dahbia B. et la collégienne se sont rencontrées et si elles se connaissaient d’avant. Seule certitude : Lola a été aperçue par la vidéosurveillance en train de rentrer dans son immeuble, rue Manin, au retour du collège accompagnée d’une femme correspondant à la description physique de Dahbia B.

Un témoin dit avoir vu ressortir la meurtrière présumée, sans l’adolescente, de la résidence et l’avoir vue charger deux valises, une format cabine et une grand format, dans un véhicule. Selon les déclarations de ce riverain, la malle en plastique était « tachée de sang » et « sentait fortement l’eau de javel ».

Meurtre d’une collégienne de 12 ans à Paris : «Lola était une petite fille toute mignonne»
En tout cas pour Kamel, brièvement entendu, il est totalement inenvisageable que son colocataire Amine K. ait pu se prêter aux « actes de barbarie » commis sur la victime. « Nous sommes du même village en Algérie. Je l’ai accueilli chez moi parce que cela fait près de 20 ans que je suis en France. Il ne pose pas de problèmes. Il bricole à droite à gauche. Il est sans papiers ».

On comprend assez vite que son copain est plutôt désœuvré. « Il ne va jamais à Paris, insiste Kamel. Il passe son temps entre mon appartement et les Quatre-Routes (un carrefour entre Asnières et Bois-Colombes) où il boit dans la rue avec d’autres personnes ».

« Ce n’était pas sa compagne, il l’a juste ramenée à la maison »
Est-ce dans ce milieu un peu marginal qu’il a fait la connaissance de Dahbia ? « Il venait tout juste de la rencontrer, précise Kamel. Ce n’était pas sa compagne. Il l’a juste ramenée à la maison dans la nuit de vendredi à samedi. » Difficile de croire que son colocataire puisse être impliqué dans ce drame.

« Je ne suis pas bien du tout là, s’excuse-t-il. Je suis triste. Pas pour Amine mais pour la fillette. Les policiers qui m’ont arrêté ont été sympas quand ils ont compris que je n’avais rien à voir avec ce meurtre. Ils m’ont même donné une cigarette et m’ont déposé porte de Clichy. Mais là je n’arrête pas de penser à ce qui est arrivé à la victime. Et je ne comprends toujours pas ce qui a pu se passer ».

Le 16 octobre 2022 à 21:06:18 el_zlipo a écrit :
L'horreur.
J'ai vu que sur le fb de la daronne celle-ci a retiré les godes car cela faisait tâche.

de quoi tu parle ?

Le 16 octobre 2022 à 21:10:01 :

Le 16 octobre 2022 à 21:06:18 :
L'horreur.
J'ai vu que sur le fb de la daronne celle-ci a retiré les godes car cela faisait tâche.

Quel rapport le golem? Vous découvrez en 2022 les daronnes fb génantes qui partagent des images potaches?

Juste à côté des photos des gosses... Non ça part contre j'ai jamais vue

https://twitter.com/AymericDurox/status/1581651950138839041?t=QmrPecH_WJy1JduGZ5k0mA&s=19

Tous nés en Algérie. Sans doute des pieds noirs

Le 16 octobre 2022 à 21:11:58 :
Comment c’est possible d’être une meuf de 24 ans et sdf ahi

Bah déjà celles qui sortent de la ddass vers 18 ans termine souvent SDF c'est possible khey

Y a des mecs qui ont inventé un trafic d'organes alors que l'organe de conserve 3 heures max

On savait que c'était des chances, si c'était des judoka ont en aurait même pas entendu parler

Le 16 octobre 2022 à 21:10:01 :

Le 16 octobre 2022 à 21:06:18 :
L'horreur.
J'ai vu que sur le fb de la daronne celle-ci a retiré les godes car cela faisait tâche.

Quel rapport le golem? Vous découvrez en 2022 les daronnes fb génantes qui partagent des images potaches?

Le golem c'est celui qui ne voit rien à redire à une daronne qui fout des godes immondes entre deux photos de ses enfants. Bordel

Le 16 octobre 2022 à 21:11:25 :

Le 16 octobre 2022 à 21:07:17 :
Tu as le screen de l'article complet khey ?

En ouvrant la porte de son studio, Kamel plisse les yeux et se gratte la tête. Impossible de dormir. Les policiers de la brigade criminelle de Paris l’ont relâché samedi après-midi et son corps lui réclame maintenant du sommeil. « Mais je n’arrête pas de penser à la gamine, grommelle-t-il. J’ai vu à la télévision ce qu’il s’était passé à Paris. Je n’arrive pas à y croire. »

C’est chez lui, dans son appartement de Bois-Colombes (Hauts-de-Seine), que la suspecte principale dans l’affaire du meurtre effroyable de Lola, 12 ans, a été arrêtée, quelques heures seulement après le crime.

Dahbia B., une SDF de 24 ans filmée par la vidéosurveillance de l’immeuble où habitait la victime, se trouvait dans la cuisine avec Amine K., le colocataire de Kamel, quand la porte a éclaté samedi à l’aube. « Regardez, elle est là maintenant la porte », montre-t-il près de l’ascenseur de l’immeuble.

De « potentiels troubles psychiatriques »
La jeune femme et Amine K., 33 ans, faisaient partie des quatre personnes encore en garde à vue ce dimanche 16 octobre dans la soirée rue du Bastion dans l’enquête sur la mort de Lola, retrouvée égorgée vendredi soir dans une caisse en plastique dans le XIXe arrondissement. Les investigations sont ouvertes pour « meurtre sur mineur de 15 ans avec actes de torture et barbarie ».

Les suspects, tous nés en Algérie, pourraient être présentés ce lundi à un juge d’instruction en vue d’une mise en examen. Selon nos informations, la piste d’un meurtre gratuit et insensé sur fond de marginalité était privilégiée dimanche soir.

La future expertise psychiatrique de Dahbia B., « aux potentiels troubles psychiatriques », selon une source proche de l’enquête, permettra d’avoir davantage de certitudes. Sollicité, son avocat, Me Alexandre Silva, n’a pas souhaité s’exprimer.

Parmi les autres suspects encore entendus, Friha B., la grande sœur de la jeune femme, et Rachid N., un homme de 43 ans domicilié à Asnières (Hauts-de-Seine), à moins de dix minutes de Bois-Colombes. Quel rôle chacun a éventuellement joué dans le drame ? Auraient-ils éventuellement apporté une assistance à Dahbia B. ou s’agit-il seulement de vérifications dans l’entourage de la suspecte ? Mystère.

« Il ne pose pas de problèmes »
Les policiers ont en tout cas procédé initialement à un coup de filet élargi six personnes au total avaient été placées en garde à vue notamment en raison de déclarations de la meurtrière présumée rapportées par un témoin. Ce dernier avait confié aux policiers avoir croisé Dahbia B., peu avant son arrestation, en train de pousser la malle contenant le corps de Lola. La suspecte lui aurait alors demandé de l’aide contre de l’argent dans le cadre d’un « trafic d’organe ». On ignore à ce stade s’il s’agit de propos décousus.

L’autre inconnue réside dans les conditions dans lesquelles Dahbia B. et la collégienne se sont rencontrées et si elles se connaissaient d’avant. Seule certitude : Lola a été aperçue par la vidéosurveillance en train de rentrer dans son immeuble, rue Manin, au retour du collège accompagnée d’une femme correspondant à la description physique de Dahbia B.

Un témoin dit avoir vu ressortir la meurtrière présumée, sans l’adolescente, de la résidence et l’avoir vue charger deux valises, une format cabine et une grand format, dans un véhicule. Selon les déclarations de ce riverain, la malle en plastique était « tachée de sang » et « sentait fortement l’eau de javel ».

Meurtre d’une collégienne de 12 ans à Paris : «Lola était une petite fille toute mignonne»
En tout cas pour Kamel, brièvement entendu, il est totalement inenvisageable que son colocataire Amine K. ait pu se prêter aux « actes de barbarie » commis sur la victime. « Nous sommes du même village en Algérie. Je l’ai accueilli chez moi parce que cela fait près de 20 ans que je suis en France. Il ne pose pas de problèmes. Il bricole à droite à gauche. Il est sans papiers ».

On comprend assez vite que son copain est plutôt désœuvré. « Il ne va jamais à Paris, insiste Kamel. Il passe son temps entre mon appartement et les Quatre-Routes (un carrefour entre Asnières et Bois-Colombes) où il boit dans la rue avec d’autres personnes ».

« Ce n’était pas sa compagne, il l’a juste ramenée à la maison »
Est-ce dans ce milieu un peu marginal qu’il a fait la connaissance de Dahbia ? « Il venait tout juste de la rencontrer, précise Kamel. Ce n’était pas sa compagne. Il l’a juste ramenée à la maison dans la nuit de vendredi à samedi. » Difficile de croire que son colocataire puisse être impliqué dans ce drame.

« Je ne suis pas bien du tout là, s’excuse-t-il. Je suis triste. Pas pour Amine mais pour la fillette. Les policiers qui m’ont arrêté ont été sympas quand ils ont compris que je n’avais rien à voir avec ce meurtre. Ils m’ont même donné une cigarette et m’ont déposé porte de Clichy. Mais là je n’arrête pas de penser à ce qui est arrivé à la victime. Et je ne comprends toujours pas ce qui a pu se passer ».