Un industriel américain et un fonds du Moyen-Orient sont sur les rangs, ce dernier ayant déjà fait miroiter un bon prix. Et Vivendi qui "hésite à poursuivre", selon plusieurs sources proches du groupe. Dans son entourage, on assure que le prix demandé par Fimalac, autour d’un milliard d’euros, est trop élevé. Webedia réalise 435 millions de chiffre d’affaires pour 80 millions d’euros de marge brute, selon l’entreprise. "C’est le jeu de Bolloré pour faire baisser le prix, explique une source proche du dossier. Mais Webedia l’intéresse".