Quand est-ce que les militants pour la transidentité comprendront que ce que beaucoup d'entre nous ne supportent pas avec cela, c'est le déni de réalité ? L'idée que le réel, en ce qui concerne un sujet, puisse être déterminé par ce sujet s'il le souhaite ? C'est ça que je trouve philosophiquement insupportable. D'ailleurs, les professeurs sont aujourd'hui sensés appeler les élèves par le prénom et les pronoms que cet élève souhaite, c'est une obligation. Je trouve ça d'une violence inouïe, et on ne parle jamais de cette violence là.
J'aimerais qu'on parle de ça dans les débats sur le sujet dans les grands médias, ou que des associations, toujours si promptes à réagir de part en part, commentent cela.