Les premiers entrepreneurs calvinistes, qui voyaient dans leur succès entrepreneurial un signe d'élection divine, qui réinvestissaient chaque denier dans leur activité en refusant de céder aux basses aliénations de la matérialité.
Nous sommes passés d'un capitalisme héroïque et abnégatif à un capitalisme de la prédation. Aujourd'hui, les capitalistes vampirisent leurs propres entreprises par les buy backs et autres dividendes en pagaille.